Bouteflika a été explicite en indiquant que la « la lutte contre le crime organisé, sous toutes ses formes dans le respect de la protection des libertés et des droits et de la présomption d'innocence » est à même de consolider « la crédibilité des institutions de l'Etat ». Bouteflika a été explicite en indiquant que la « la lutte contre le crime organisé, sous toutes ses formes dans le respect de la protection des libertés et des droits et de la présomption d'innocence » est à même de consolider « la crédibilité des institutions de l'Etat ». Le crime organisé, qui tend à prendre des proportions dangereuses, ne laisse plus le choix aux pouvoirs publics qui doivent ainsi mettre tous les moyens pour le juguler. C'est en substance ce qu'a dit le président de la République, jeudi dernier, à l'occasion de l'ouverture de l'année judiciaire. Enumérant les différentes mesures prises dans le cadre de la réforme de la justice, Abdelaziz Bouteflika dira, en effet, que « nous avons également procédé à l'installation de pôles judiciaires à compétences territoriales élargies, chargés de poursuivre et juger les auteurs de crimes organisés qui tendent à devenir de plus en plus graves et pourraient, s'ils venaient à prendre d'autres proportions, entraver le développement national et porter atteinte à l'économie du pays ». Ce lourd aveu du chef de l'Etat, qui semble ainsi tirer la sonnette d'alarme, atteste de l'importance que doit prendre la lutte contre le crime organisé qui devient ainsi est une priorité absolue pour les pouvoirs publics .Une lutte qui ne doit pas occulter aussi les autres maux sociaux qui rongent le tissu social. Bouteflika a été explicite en indiquant que la « la lutte contre le crime organisé, sous toutes ses formes dans le respect de la protection des libertés et des droits et de la présomption d'innocence » est à même de consolider « la crédibilité des institutions de l'Etat ». Le président de la République n'a pas omis aussi d'évoquer la lancinante question de la corruption lorsqu'il a précisé, lors de ce discours prononcé en présence des membres du gouvernement, que pour « conférer l'action du pouvoir judiciaire toute l'efficacité qui lui permettrait de lutter contre les fléaux sociaux, à leur tête le crime organisé et la corruption sous toutes ses formes, nous avons mis sur pied une instance nationale de lutte contre la corruption dotée d'un outil opérationnel, l'Office central de répression de la corruption ». Un office qui n'est pas, cela dit, encore opérationnel puisqu'il n'a pas encore été installé. Il a rappelé les objectifs majeurs de la réforme de la justice entamée depuis une dizaine d'années maintenant et qui a permis la refonte de nombreuses lois en vue de les adapter avec les nouvelles mutations. Une réforme qui, comme l'a explicitement souligné le chef de l'Etat, « comporte des objectifs majeurs dont la réhabilitation de l'autorité de l'Etat, la suprématie de la loi et la protection des libertés individuelles et collectives pour asseoir la paix sociale et garantir l'exercice, par tous les citoyens, de leurs droits fondamentaux dans la sérénité et la justice ». Une réforme qui tend à la consolidation de l'Etat de droit et qui compte aussi sur l'amélioration des conditions d'exercice des hommes de loi, à commencer par les magistrats qui ont surtout bénéficié d'une révision de leur statut, ainsi que les avocats les huissiers de justice et les notaires. Toutes ces nouvelles mesures ont été rappelées par le président de la République, qui a estimé que « le magistrat est l'élément central de cette reforme de la justice ». « Autant de réformes qui ont porté leurs fruits et profité à la société et au pays notamment aux volets socio-économique et sécuritaire à travers la réduction de la criminalité ce qui a permis l'instauration d'un climat de sécurité et de stabilité » dira en outre le premier magistrat du pays. Considérant que la réforme de la justice « n'est qu'un maillon de la chaîne d'instruments de lutte contre les fléaux sociaux et leurs manifestations au sein de la société » le Président Bouteflika a aussi mis particulièrement l'accent tout au long de son discours sur un des objectifs majeurs de la réforme de la justice, qui est la protection des libertés des citoyens. Cependant, pour le chef de l'Etat, l'objectif suprême de cette reforme « consiste à inciter l'individu au strict respect de la loi dans ses relations avec autrui, condition sine qua non de l'instauration de la paix sociale ». K .H. Le crime organisé, qui tend à prendre des proportions dangereuses, ne laisse plus le choix aux pouvoirs publics qui doivent ainsi mettre tous les moyens pour le juguler. C'est en substance ce qu'a dit le président de la République, jeudi dernier, à l'occasion de l'ouverture de l'année judiciaire. Enumérant les différentes mesures prises dans le cadre de la réforme de la justice, Abdelaziz Bouteflika dira, en effet, que « nous avons également procédé à l'installation de pôles judiciaires à compétences territoriales élargies, chargés de poursuivre et juger les auteurs de crimes organisés qui tendent à devenir de plus en plus graves et pourraient, s'ils venaient à prendre d'autres proportions, entraver le développement national et porter atteinte à l'économie du pays ». Ce lourd aveu du chef de l'Etat, qui semble ainsi tirer la sonnette d'alarme, atteste de l'importance que doit prendre la lutte contre le crime organisé qui devient ainsi est une priorité absolue pour les pouvoirs publics .Une lutte qui ne doit pas occulter aussi les autres maux sociaux qui rongent le tissu social. Bouteflika a été explicite en indiquant que la « la lutte contre le crime organisé, sous toutes ses formes dans le respect de la protection des libertés et des droits et de la présomption d'innocence » est à même de consolider « la crédibilité des institutions de l'Etat ». Le président de la République n'a pas omis aussi d'évoquer la lancinante question de la corruption lorsqu'il a précisé, lors de ce discours prononcé en présence des membres du gouvernement, que pour « conférer l'action du pouvoir judiciaire toute l'efficacité qui lui permettrait de lutter contre les fléaux sociaux, à leur tête le crime organisé et la corruption sous toutes ses formes, nous avons mis sur pied une instance nationale de lutte contre la corruption dotée d'un outil opérationnel, l'Office central de répression de la corruption ». Un office qui n'est pas, cela dit, encore opérationnel puisqu'il n'a pas encore été installé. Il a rappelé les objectifs majeurs de la réforme de la justice entamée depuis une dizaine d'années maintenant et qui a permis la refonte de nombreuses lois en vue de les adapter avec les nouvelles mutations. Une réforme qui, comme l'a explicitement souligné le chef de l'Etat, « comporte des objectifs majeurs dont la réhabilitation de l'autorité de l'Etat, la suprématie de la loi et la protection des libertés individuelles et collectives pour asseoir la paix sociale et garantir l'exercice, par tous les citoyens, de leurs droits fondamentaux dans la sérénité et la justice ». Une réforme qui tend à la consolidation de l'Etat de droit et qui compte aussi sur l'amélioration des conditions d'exercice des hommes de loi, à commencer par les magistrats qui ont surtout bénéficié d'une révision de leur statut, ainsi que les avocats les huissiers de justice et les notaires. Toutes ces nouvelles mesures ont été rappelées par le président de la République, qui a estimé que « le magistrat est l'élément central de cette reforme de la justice ». « Autant de réformes qui ont porté leurs fruits et profité à la société et au pays notamment aux volets socio-économique et sécuritaire à travers la réduction de la criminalité ce qui a permis l'instauration d'un climat de sécurité et de stabilité » dira en outre le premier magistrat du pays. Considérant que la réforme de la justice « n'est qu'un maillon de la chaîne d'instruments de lutte contre les fléaux sociaux et leurs manifestations au sein de la société » le Président Bouteflika a aussi mis particulièrement l'accent tout au long de son discours sur un des objectifs majeurs de la réforme de la justice, qui est la protection des libertés des citoyens. Cependant, pour le chef de l'Etat, l'objectif suprême de cette reforme « consiste à inciter l'individu au strict respect de la loi dans ses relations avec autrui, condition sine qua non de l'instauration de la paix sociale ». K .H.