Le retour des pluies orageuses ont été la source de divers maux pour les Algérois : routes inondées et quartiers noyés par les eaux des égouts et la boue engendrée par les nombreux chantiers, cela sans parler des interminables bouchons. Il suffit que le ciel décide d'être un tant soit peu généreux pour que la capitale soit inondée et que la vie y soit paralysée. Heureusement que pour de très nombreux fonctionnaires, ce lundi était férié, car ils auraient été très nombreux à ne pas pouvoir rejoindre leurs postes de travail au cours de la matinée vu les interminables bouchons causés par les flaques ou plutôt ces petites piscines formées d'eaux pluviales tout au long de la route nationale reliant Alger à Tipasa. Le même scénario était visible au niveau de plusieurs autres communes et quartiers à travers la capitale, notamment celles qui contiennent des chantiers notamment ceux abritant des chantiers du métro ou du tramway. Les oueds de la capitale étaient en crue à l'instar de celui de Mazafran à Zéralda qui constitue aujourd'hui une véritable menace sur les habitants qui vivent sur ses rives. Du côté de la cité Maya, même tableau de désolation avec menace sur les baraquements des chantiers du métro. Oued Ouchayah menace,comme du reste oued Semmar, oued Beni Messous..., comme nous le rappelle le triste souvenir de oued Koriche à Bab El-Oued. « Les automobilistes patinaient en surfant sur l'eau pour tenter de trouver un passage moins dangereux pour le delco de leur véhicule, car tomber en panne sur ces lieux serait le comble aussi bien pour le chauffeur que pour les autres automobilistes qui prenaient leur mal en patience, du moins en apparence», s'est désolé un citoyen qui ajoute, « nous craignons aujourd'hui chaque goutte de pluie qui tombe parce que dans nos mémoires de douloureux souvenirs sont toujours vivaces et les blessures ne sont pas encore guéries » . « Nous voulons un vrai plan pour la capitale et nous en avons marre de la politique de bricolage qui règne aujourd'hui dans nos communes », dira un autre citoyen. Il faut signaler que de nombreux ouvrages d'art dans la capitale ont été inondés par les eaux pluviales et il a fallu faire usage de pompes pour aspirer l'eau et libérer le passage, cela s'est passé au niveau de la trémie de Ruisseau dans la commune d'Hussein Dey qui a été hier matin coupée à la circulation. Ce qui est encore inexplicable, c'est que «l'on ne fasse pas appel aux pompiers qui disposent de moyens plus sophistiqués et de pompes plus puissantes pour dégager toutes ces eaux», s'est indigné un transporteur. Mais combien faudrait-il de pompes pour contrer tous les points noirs de la capitale ô combien nombreux. Il reste à dire que ce scénario n'est malheureusement pas nouveau et il semble devoir se renouveller à chaque chute de pluie un peu importante, du moins jusqu'à ce que les autorités concernées prennent conscience du danger, le citoyen, piéton ou automobiliste, paie encore plus et chaque fois que plus de « trois gouttes » de pluie tombent sur la ville. Le retour des pluies orageuses ont été la source de divers maux pour les Algérois : routes inondées et quartiers noyés par les eaux des égouts et la boue engendrée par les nombreux chantiers, cela sans parler des interminables bouchons. Il suffit que le ciel décide d'être un tant soit peu généreux pour que la capitale soit inondée et que la vie y soit paralysée. Heureusement que pour de très nombreux fonctionnaires, ce lundi était férié, car ils auraient été très nombreux à ne pas pouvoir rejoindre leurs postes de travail au cours de la matinée vu les interminables bouchons causés par les flaques ou plutôt ces petites piscines formées d'eaux pluviales tout au long de la route nationale reliant Alger à Tipasa. Le même scénario était visible au niveau de plusieurs autres communes et quartiers à travers la capitale, notamment celles qui contiennent des chantiers notamment ceux abritant des chantiers du métro ou du tramway. Les oueds de la capitale étaient en crue à l'instar de celui de Mazafran à Zéralda qui constitue aujourd'hui une véritable menace sur les habitants qui vivent sur ses rives. Du côté de la cité Maya, même tableau de désolation avec menace sur les baraquements des chantiers du métro. Oued Ouchayah menace,comme du reste oued Semmar, oued Beni Messous..., comme nous le rappelle le triste souvenir de oued Koriche à Bab El-Oued. « Les automobilistes patinaient en surfant sur l'eau pour tenter de trouver un passage moins dangereux pour le delco de leur véhicule, car tomber en panne sur ces lieux serait le comble aussi bien pour le chauffeur que pour les autres automobilistes qui prenaient leur mal en patience, du moins en apparence», s'est désolé un citoyen qui ajoute, « nous craignons aujourd'hui chaque goutte de pluie qui tombe parce que dans nos mémoires de douloureux souvenirs sont toujours vivaces et les blessures ne sont pas encore guéries » . « Nous voulons un vrai plan pour la capitale et nous en avons marre de la politique de bricolage qui règne aujourd'hui dans nos communes », dira un autre citoyen. Il faut signaler que de nombreux ouvrages d'art dans la capitale ont été inondés par les eaux pluviales et il a fallu faire usage de pompes pour aspirer l'eau et libérer le passage, cela s'est passé au niveau de la trémie de Ruisseau dans la commune d'Hussein Dey qui a été hier matin coupée à la circulation. Ce qui est encore inexplicable, c'est que «l'on ne fasse pas appel aux pompiers qui disposent de moyens plus sophistiqués et de pompes plus puissantes pour dégager toutes ces eaux», s'est indigné un transporteur. Mais combien faudrait-il de pompes pour contrer tous les points noirs de la capitale ô combien nombreux. Il reste à dire que ce scénario n'est malheureusement pas nouveau et il semble devoir se renouveller à chaque chute de pluie un peu importante, du moins jusqu'à ce que les autorités concernées prennent conscience du danger, le citoyen, piéton ou automobiliste, paie encore plus et chaque fois que plus de « trois gouttes » de pluie tombent sur la ville.