Les prix du pétrole ont grimpé hier à leur plus haut niveau depuis six mois en début d'échanges européens, portés par la faiblesse du dollar et l'anticipation par le marché d'une baisse des réserves pétrolières américaines. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 86,22 dollars en fin de matinée, en hausse de 81 cents par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance semblable gagnait 78 cents à 84,68 dollars. Les prix du Brent et du WTI étaient respectivement montés un peu plus tôt mercredi jusqu'à 86,32 dollars et 84,73 dollars, leurs plus hauts niveaux depuis le 4 mai. "Les cours du brut continuent de trouver un soutien dans l'affaiblissement du dollar avant l'annonce aujourd'hui de la décision de la Réserve fédérale américaine sur un (éventuel) assouplissement quantitatif", relevait un analyste. La Fed devrait annoncer hier de nouvelles injections de liquidités sur les marchés pour conforter la croissance de la première économie mondiale. Cette perspective, qui agite les marchés depuis plus d'un mois, avait lourdement pesé sur le dollar, contribuant à faire bondir les cours des matières premières. Par ailleurs, la baisse, "bien plus qu'attendue" des stocks pétroliers et de produits distillés la semaine dernière aux Etats-Unis sont de nature à rassurer le marché pétrolier "affolé" par le niveau historiquement élevé des stocks pétroliers aux Etats-Unis, où les réserves de brut étaient montés, selon les chiffres officiels publiés la semaine dernière, à leur plus haut niveau en vingt ans. Les prix du pétrole ont grimpé hier à leur plus haut niveau depuis six mois en début d'échanges européens, portés par la faiblesse du dollar et l'anticipation par le marché d'une baisse des réserves pétrolières américaines. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 86,22 dollars en fin de matinée, en hausse de 81 cents par rapport à la clôture de mardi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance semblable gagnait 78 cents à 84,68 dollars. Les prix du Brent et du WTI étaient respectivement montés un peu plus tôt mercredi jusqu'à 86,32 dollars et 84,73 dollars, leurs plus hauts niveaux depuis le 4 mai. "Les cours du brut continuent de trouver un soutien dans l'affaiblissement du dollar avant l'annonce aujourd'hui de la décision de la Réserve fédérale américaine sur un (éventuel) assouplissement quantitatif", relevait un analyste. La Fed devrait annoncer hier de nouvelles injections de liquidités sur les marchés pour conforter la croissance de la première économie mondiale. Cette perspective, qui agite les marchés depuis plus d'un mois, avait lourdement pesé sur le dollar, contribuant à faire bondir les cours des matières premières. Par ailleurs, la baisse, "bien plus qu'attendue" des stocks pétroliers et de produits distillés la semaine dernière aux Etats-Unis sont de nature à rassurer le marché pétrolier "affolé" par le niveau historiquement élevé des stocks pétroliers aux Etats-Unis, où les réserves de brut étaient montés, selon les chiffres officiels publiés la semaine dernière, à leur plus haut niveau en vingt ans.