Les prix du pétrole se redressaient hier en début d'échanges européens, profitant de la faiblesse du dollar face à l'euro après l'annonce d'un plan de sauvetage pour l'Irlande. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 85,37 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,03 dollar par rapport à la clôture de vendredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de " light sweet crude " (WTI) pour livraison en décembre, dont c'est le dernier jour de cotation, progressait de 76 cents à 82,74 dollars. L'Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI) ont répondu favorablement dimanche à une demande d'aide pouvant aller jusqu'à 90 milliards d'euros pour l'Irlande, alors que le pays est confronté à un gigantesque déficit (32% du Produit intérieur brut attendu cette année) susceptible de menacer l'équilibre de la zone euro. Ce développement était également de nature à rassurer quelque peu les cambistes, faisant grimper l'euro à son plus haut niveau depuis plus de dix jours face au dollar. En retour, la dépréciation du billet vert renforçait la propension des investisseurs à se tourner vers les achats de pétrole, libellés en dollars. La banque centrale chinoise a annoncé vendredi une nouvelle hausse de 50 points de base, à 18%, du taux de réserves obligatoires des banques, afin de lutter contre l'inflation, avivant les craintes qu'un resserrement monétaire en Chine ne pèse sur la consommation pétrolière du pays, deuxième consommateur de brut dans le monde. Les prix du baril ont abandonné plus de quatre dollars la semaine dernière sur un marché agité par les inquiétudes sur les tensions en zone euro et la perspective d'un resserrement monétaire en Chine. Les prix du pétrole se redressaient hier en début d'échanges européens, profitant de la faiblesse du dollar face à l'euro après l'annonce d'un plan de sauvetage pour l'Irlande. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 85,37 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,03 dollar par rapport à la clôture de vendredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de " light sweet crude " (WTI) pour livraison en décembre, dont c'est le dernier jour de cotation, progressait de 76 cents à 82,74 dollars. L'Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI) ont répondu favorablement dimanche à une demande d'aide pouvant aller jusqu'à 90 milliards d'euros pour l'Irlande, alors que le pays est confronté à un gigantesque déficit (32% du Produit intérieur brut attendu cette année) susceptible de menacer l'équilibre de la zone euro. Ce développement était également de nature à rassurer quelque peu les cambistes, faisant grimper l'euro à son plus haut niveau depuis plus de dix jours face au dollar. En retour, la dépréciation du billet vert renforçait la propension des investisseurs à se tourner vers les achats de pétrole, libellés en dollars. La banque centrale chinoise a annoncé vendredi une nouvelle hausse de 50 points de base, à 18%, du taux de réserves obligatoires des banques, afin de lutter contre l'inflation, avivant les craintes qu'un resserrement monétaire en Chine ne pèse sur la consommation pétrolière du pays, deuxième consommateur de brut dans le monde. Les prix du baril ont abandonné plus de quatre dollars la semaine dernière sur un marché agité par les inquiétudes sur les tensions en zone euro et la perspective d'un resserrement monétaire en Chine.