«Le projet de loi criminalisant le colonialisme est toujours d'actualité sur le plan de la procédure» a indiqué Abderahmane Belayat et il a souligné que «personne n'a jamais dit que ce projet est abondonné» avant de préciser que le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, «n'a jamais exprimé une position pareille lorsqu'il a évoqué cette question». «Le projet de loi criminalisant le colonialisme est toujours d'actualité sur le plan de la procédure» a indiqué Abderahmane Belayat et il a souligné que «personne n'a jamais dit que ce projet est abondonné» avant de préciser que le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, «n'a jamais exprimé une position pareille lorsqu'il a évoqué cette question». Le FLN ne semble pas, contrairement à ce qui s'est dit çà et là, avoir abandonné l'idée d'initier ou de soutenir une loi criminalisant le colonialisme. « Le projet de loi criminalisant le colonialisme est toujours d'actualité sur le plan de la procédure » a, en effet, indiqué Abderahmane Belayat, membre du bureau politique du vieux parti. Belayat, qui était l'invité d'une émission politique de la chaîne III de la radio nationale, est allé plus loin lorsqu'il a souligné que « personne n'a jamais dit que ce projet est abandonné » avant de préciser que le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, « n'a jamais exprimé une position pareille lorsqu'il a évoqué cette question ». Le président de l'APN, pour rappel, a affirmé il y'a quelques semaines que ce projet de loi « ne sera pas programmé ni pour la session d'automne ni celle de printemps ». Des propos qui ont été interprétés comme un refus de sa part de soumettre ce projet à l'appréciation des députés. « C'est cela l'art de la politique car ce projet peut être repris au moment qu'il faut », a-t-il indiqué comme pour dire que les propos de son collègue au bureau politique du FLN, à savoir Abdelaziz Ziari, ont été mal interprétés. Pour cet ex- ministre, «le colonialisme, qui est une faute, une tare et un crime contre l'humanité, demande excuse et réparation. C'est pourquoi au FLN nous n'allons pas nous départir de cette position» surtout que ce projet de loi est venu en réponse à la loi française de février 3205 qui glorifié le colonialisme et que l'invité de la chaîne III assimile à un « acte hostile et inamical». Passant l'actualité propre au parti FLN Abderahmane Belayat a reconnu que l'opération relative au renouvellement des kasmas, qui devait s'achever le 31 octobre passé accuse un retard. «Il y'a des données objectives qui justifient ce retard. La réalité du terrain a ces exigences et je dois dire que nous subissons les séquelles de la crise de 2004 et 2005» dira-t-il en guise de précision avant d'ajouter que 90% des kasmas ont été renouvelées. Belayat, qui a totalement fait l'impasse sur la crise interne que vit ces derniers temps le parti après la montée au créneau du mouvement de redressement, a aussi admis que la crise des années passée n'a pas été définitivement résorbée. «Au niveau central on a réussi a surmonter cette crise, mais pas au niveau local» dira-t-il encore avant de faire montre de son optimisme quant à l'achèvement de l'ensemble de l'opération de renouvellement des instances locales (kasmas et mouhafadhas) au premier trimestre de l'année 2011. Evoquant les prochaines échéances électorales de 2012, Belayat a fait montre de son optimisme en soutenant que «le FLN, qui a été leader en 2002 et 2007, sera encore leader en 2012 car nous avons cette volonté». Interpellé à propos de la revendication du parti relative à la révision de la loi électorale, l'invité de la radio chaîne III s'est montré peu loquace, notamment sur le mode électoral, en soulignant que «le FLN n'a pas encore officiellement une idée précise et qu'il veut associer ses partenaire et ne pas faire cavalier seul». A propos de la révision de la Constitution, ce membre du bureau politique indique que «cela reste du ressort du président de la République, même si le FLN adhère pleinement à cette idée». Il a aussi soutenu que «le terrorisme n'est pas définitivement écarté, mais il est largement battu, mais il peut y avoir résurgence partielle et circonstanciée». Il a de suite enchaîné en évoquant la situation qui prévaut au Sahel en accusant certaines parties étrangères, à l'exemple de l'entité sioniste, de vouloir nuire à l'Algérie. Enfin Belayat a indiqué que « les relations avec la France sont peut être que les Français n'arrivent pas à se délivrer de leur complexe colonial et c'est sans doute pourquoi certains pensent que l'Algérie est une chasse gardée». Le FLN ne semble pas, contrairement à ce qui s'est dit çà et là, avoir abandonné l'idée d'initier ou de soutenir une loi criminalisant le colonialisme. « Le projet de loi criminalisant le colonialisme est toujours d'actualité sur le plan de la procédure » a, en effet, indiqué Abderahmane Belayat, membre du bureau politique du vieux parti. Belayat, qui était l'invité d'une émission politique de la chaîne III de la radio nationale, est allé plus loin lorsqu'il a souligné que « personne n'a jamais dit que ce projet est abandonné » avant de préciser que le président de l'APN, Abdelaziz Ziari, « n'a jamais exprimé une position pareille lorsqu'il a évoqué cette question ». Le président de l'APN, pour rappel, a affirmé il y'a quelques semaines que ce projet de loi « ne sera pas programmé ni pour la session d'automne ni celle de printemps ». Des propos qui ont été interprétés comme un refus de sa part de soumettre ce projet à l'appréciation des députés. « C'est cela l'art de la politique car ce projet peut être repris au moment qu'il faut », a-t-il indiqué comme pour dire que les propos de son collègue au bureau politique du FLN, à savoir Abdelaziz Ziari, ont été mal interprétés. Pour cet ex- ministre, «le colonialisme, qui est une faute, une tare et un crime contre l'humanité, demande excuse et réparation. C'est pourquoi au FLN nous n'allons pas nous départir de cette position» surtout que ce projet de loi est venu en réponse à la loi française de février 3205 qui glorifié le colonialisme et que l'invité de la chaîne III assimile à un « acte hostile et inamical». Passant l'actualité propre au parti FLN Abderahmane Belayat a reconnu que l'opération relative au renouvellement des kasmas, qui devait s'achever le 31 octobre passé accuse un retard. «Il y'a des données objectives qui justifient ce retard. La réalité du terrain a ces exigences et je dois dire que nous subissons les séquelles de la crise de 2004 et 2005» dira-t-il en guise de précision avant d'ajouter que 90% des kasmas ont été renouvelées. Belayat, qui a totalement fait l'impasse sur la crise interne que vit ces derniers temps le parti après la montée au créneau du mouvement de redressement, a aussi admis que la crise des années passée n'a pas été définitivement résorbée. «Au niveau central on a réussi a surmonter cette crise, mais pas au niveau local» dira-t-il encore avant de faire montre de son optimisme quant à l'achèvement de l'ensemble de l'opération de renouvellement des instances locales (kasmas et mouhafadhas) au premier trimestre de l'année 2011. Evoquant les prochaines échéances électorales de 2012, Belayat a fait montre de son optimisme en soutenant que «le FLN, qui a été leader en 2002 et 2007, sera encore leader en 2012 car nous avons cette volonté». Interpellé à propos de la revendication du parti relative à la révision de la loi électorale, l'invité de la radio chaîne III s'est montré peu loquace, notamment sur le mode électoral, en soulignant que «le FLN n'a pas encore officiellement une idée précise et qu'il veut associer ses partenaire et ne pas faire cavalier seul». A propos de la révision de la Constitution, ce membre du bureau politique indique que «cela reste du ressort du président de la République, même si le FLN adhère pleinement à cette idée». Il a aussi soutenu que «le terrorisme n'est pas définitivement écarté, mais il est largement battu, mais il peut y avoir résurgence partielle et circonstanciée». Il a de suite enchaîné en évoquant la situation qui prévaut au Sahel en accusant certaines parties étrangères, à l'exemple de l'entité sioniste, de vouloir nuire à l'Algérie. Enfin Belayat a indiqué que « les relations avec la France sont peut être que les Français n'arrivent pas à se délivrer de leur complexe colonial et c'est sans doute pourquoi certains pensent que l'Algérie est une chasse gardée».