La firme russe Gazprom a réalisé une importante découverte de gaz en Algérie et entend fuctifier les champs gaziers en intensifiant ses activités de production et de valorisation. La firme russe Gazprom a réalisé une importante découverte de gaz en Algérie et entend fuctifier les champs gaziers en intensifiant ses activités de production et de valorisation. Selon une déclaration de Boris Ivanov, directeur général de Gazprom Exploration et Production international, filiale du russe Gazprom, faite à l'agence Bloomberg, un important gisement de gaz aurait été découvert dans la région d'El Assel, en Algérie. Un puits situé à 500 kilomètres au sud d'Alger dans le bassin de Berkine pourrait fournir 76.460 mètres cube de gaz par jour et disposerait également d'importantes réserves récupérables de 30 millions de tonnes de pétrole. Le directeur général de Gazprom EP International (ex- Gazprom Netherlands BV créée en mai 2007) a qualifié d'"extrêmement importante" cette découverte effectuée par ses équipes. Sur ce site d'El Assel où les forages ont débuté en mars 2010, Gazprom détient 49% des parts dans un contrat d'association avec le groupe Sonatrach majoritaire dans le capital avec 51% des parts. Tous deux ont investi, dans un cadre de partenariat, la somme de 90 millions de dollars, soit 63,9 millions d'euros en 2010 pour mener à bien des explorations nécessaires de gisements d'hydrocarbures. Faut-il rappeler que Gazprom s'est vu attribuer ce bloc dans le cadre du premier appel d'offres lancé par Alnaft en 2008, conformément aux nouvelles dispositions de la nouvelle loi sur les hydrocarbures. Il faut noter que le premier appel d'offres d'Alnaft concernait quelque 45 blocs, partagés sur 16 périmètres situés dans une dizaine de bassins parmi lesquels Berkine, Illizi, Béchar, Hodna, Gourara et Ahnet. Ce premier appel avait été pensé comme un levier pour la stratégie de Sonatrach à l'international, grâce à une nouvelle démarche qui consiste à chercher des partenaires qui, en contrepartie de l'accès aux réserves de Sonatrach, donneraient l'accès à leurs réserves et à d'autres marchés, y compris des participations dans des entreprises de raffinage. L'appel d'offres s'est soldé par l'attribution de 4 périmètres sur un ensemble de 16 proposés. Deux dans le bassin de Gourara (Kerzaz et Guern Guessa) et les deux autres dans le bassin de Berkine (El Assel et Rhourde Yacoub). Gazprom s'est vu attribuer le périmètre d'El Assel. Le périmètre de Rhourde Yacoub a été attribué à l'allemand EON Rhurghaz. Cela prouve, une fois de plus, que le Sud algérien renferme d'immenses capacités de réserves de pétrole et de gaz naturel et à une profondeur moyenne, selon les experts en génie civil qui activent dans l'exploration en Algérie. La récente visite de Medvedev à Alger où il a rencontré Bouteflika a été, donc, couronnée de succès puisque ce partenariat gazier ouvre de nouvelles perspectives de coopération stratégique entre l'Algérie et la Russie, deux pays regorgeant de ressources gazières, sans oublier que les firmes russes spécialisées dans les transports offrent leur savoir-faire et leur expertise dans le domaine des chemins de fer. Selon une déclaration de Boris Ivanov, directeur général de Gazprom Exploration et Production international, filiale du russe Gazprom, faite à l'agence Bloomberg, un important gisement de gaz aurait été découvert dans la région d'El Assel, en Algérie. Un puits situé à 500 kilomètres au sud d'Alger dans le bassin de Berkine pourrait fournir 76.460 mètres cube de gaz par jour et disposerait également d'importantes réserves récupérables de 30 millions de tonnes de pétrole. Le directeur général de Gazprom EP International (ex- Gazprom Netherlands BV créée en mai 2007) a qualifié d'"extrêmement importante" cette découverte effectuée par ses équipes. Sur ce site d'El Assel où les forages ont débuté en mars 2010, Gazprom détient 49% des parts dans un contrat d'association avec le groupe Sonatrach majoritaire dans le capital avec 51% des parts. Tous deux ont investi, dans un cadre de partenariat, la somme de 90 millions de dollars, soit 63,9 millions d'euros en 2010 pour mener à bien des explorations nécessaires de gisements d'hydrocarbures. Faut-il rappeler que Gazprom s'est vu attribuer ce bloc dans le cadre du premier appel d'offres lancé par Alnaft en 2008, conformément aux nouvelles dispositions de la nouvelle loi sur les hydrocarbures. Il faut noter que le premier appel d'offres d'Alnaft concernait quelque 45 blocs, partagés sur 16 périmètres situés dans une dizaine de bassins parmi lesquels Berkine, Illizi, Béchar, Hodna, Gourara et Ahnet. Ce premier appel avait été pensé comme un levier pour la stratégie de Sonatrach à l'international, grâce à une nouvelle démarche qui consiste à chercher des partenaires qui, en contrepartie de l'accès aux réserves de Sonatrach, donneraient l'accès à leurs réserves et à d'autres marchés, y compris des participations dans des entreprises de raffinage. L'appel d'offres s'est soldé par l'attribution de 4 périmètres sur un ensemble de 16 proposés. Deux dans le bassin de Gourara (Kerzaz et Guern Guessa) et les deux autres dans le bassin de Berkine (El Assel et Rhourde Yacoub). Gazprom s'est vu attribuer le périmètre d'El Assel. Le périmètre de Rhourde Yacoub a été attribué à l'allemand EON Rhurghaz. Cela prouve, une fois de plus, que le Sud algérien renferme d'immenses capacités de réserves de pétrole et de gaz naturel et à une profondeur moyenne, selon les experts en génie civil qui activent dans l'exploration en Algérie. La récente visite de Medvedev à Alger où il a rencontré Bouteflika a été, donc, couronnée de succès puisque ce partenariat gazier ouvre de nouvelles perspectives de coopération stratégique entre l'Algérie et la Russie, deux pays regorgeant de ressources gazières, sans oublier que les firmes russes spécialisées dans les transports offrent leur savoir-faire et leur expertise dans le domaine des chemins de fer.