La commune d'Aghribs, située à quelque 45 km au nord-est de la capitale du Djurdjura, semble être loin de tout projet de développement. Un manque terrible des moindres moyens d'une condition de vie décente est le quotidien de ses habitants. La commune d'Aghribs, située à quelque 45 km au nord-est de la capitale du Djurdjura, semble être loin de tout projet de développement. Un manque terrible des moindres moyens d'une condition de vie décente est le quotidien de ses habitants. La plupart des villages de la commune ne sont pas raccordés au réseaux d'assainissement ce qui favorise très sensiblement la propagation des bactéries et l'apparition des maladies liées à l'hygiène. La région, bien qu'elle soit très bien située géographiquement, souffre d'un réseau routier des plus déplorables et qui devient quasiment impraticable même pour les piétons qui se retrouvent obligés de traverser des flaques de boue en hiver et des montagnes de poussières en été pour rejoindre leurs destinations.Quant à la classe juvénile de la région, le désarroi atteint son paroxysme en raison de l'absence de la moindre structure qui peut leur servir d'échappatoire à leur situation de chômage et de oisiveté. Les jeunes déplorent un état de laisser-aller total de la part des autorités quant à leurs préoccupations et à leurs besoins en structures culturelles et sportives. «Les jeunes ici manquent de tout. Nous aimerions bien avoir un édifice où nous pourrons nous rencontrer pour nous divertir et passer du bon temps, au lieu de rester comme ça au pied des murs et à la portée de tous les vents, proie à la délinquance », fulmine un jeune adolescent de la commune. Ainsi, les habitant d'Aghribs continuent à espéré que les autorités concernées prêtent un jour une oreille attentive à leurs cris de détresse et à leurs préoccupations qui grandissent au fil du temps. La plupart des villages de la commune ne sont pas raccordés au réseaux d'assainissement ce qui favorise très sensiblement la propagation des bactéries et l'apparition des maladies liées à l'hygiène. La région, bien qu'elle soit très bien située géographiquement, souffre d'un réseau routier des plus déplorables et qui devient quasiment impraticable même pour les piétons qui se retrouvent obligés de traverser des flaques de boue en hiver et des montagnes de poussières en été pour rejoindre leurs destinations.Quant à la classe juvénile de la région, le désarroi atteint son paroxysme en raison de l'absence de la moindre structure qui peut leur servir d'échappatoire à leur situation de chômage et de oisiveté. Les jeunes déplorent un état de laisser-aller total de la part des autorités quant à leurs préoccupations et à leurs besoins en structures culturelles et sportives. «Les jeunes ici manquent de tout. Nous aimerions bien avoir un édifice où nous pourrons nous rencontrer pour nous divertir et passer du bon temps, au lieu de rester comme ça au pied des murs et à la portée de tous les vents, proie à la délinquance », fulmine un jeune adolescent de la commune. Ainsi, les habitant d'Aghribs continuent à espéré que les autorités concernées prêtent un jour une oreille attentive à leurs cris de détresse et à leurs préoccupations qui grandissent au fil du temps.