Le ministre délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a souligné jeudi à Alger la convergence de vues "totale" entre l'Algérie et le Royaume-Uni dans la lutte contre le terrorisme. «Nous avons une convergence de vues totale avec le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord dans la lutte contre le phénomène du terrorisme», a affirmé M. Messahel à l'issue d'une réunion de travail avec le ministre britannique chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, M. Alistair Burt. S'agissant du paiement des rançons aux groupes terroristes, M. Burt a souligné qu'il était «juste» de lutter contre cette méthode. «Le terrorisme représente une menace pour tout le monde. Il y a différentes manières d'y faire face. Nous sommes de l'avis de l'Algérie en ce qui concerne la criminalisation du paiement de rançons qui, pour nous, peut être la base du financement des terroristes. Il est donc juste de lutter contre le paiement de rançons», a-t-il expliqué à ce propos. Dans un autre sens, le haut responsable britannique, a expliqué «la nécessité de –convaincre- les jeunes générations que "ceux qui adoptent les positions de violences extrémistes ne représentent aucunement la véritable tendance de l'Islam». L'Algérie, a rappelé M. Alistair Burt, est un partenaire «très proche» pour le Royaume. Il dira à ce sujet que «l'Algérie est un partenaire très proche pour le Royaume-Uni, et les deux pays entretiennent d'anciennes et de bonnes relations». D'autant plus, a-t-il affirmé, que les relations entre les deux pays sont «variées, notamment dans les domaines du commerce et l'énergie, la défense et la sécurité». «Il s'agit de ma première visite dans la région depuis que j'occupe le poste de ministre chargé des Affaires du Moyen-orient et de l'Afrique du nord, et c'est une opportunité pour moi pour discuter (avec les responsables algériens) des moyens de développer les relations bilatérales», a ajouté le ministre britannique. Plusieurs volets de la coopération bilatérale entre les deux pays, a indiqué M. Messahel, ont été passés en revue, notamment pour ce qui est des domaines de l'énergie, hors hydrocarbures, la culture, l'éducation et l'assistance technique. M. Messahel a relevé, dans ce sens, que les deux parties ont convenu de travailler ensemble à sa densification, ainsi qu'au renforcement de son cadre juridique à travers la signature de nouveaux accords. La situation sécuritaire dans la région du Sahel a été également évoquée entre les deux parties, a précisé le ministre algérien. Et d'ajouter que «nous avons exposé notre position et approche sur la voie que nous devons entreprendre en tant que pays de la région pour lutter contre le phénomène du terrorisme au Sahel et quelle est la place de nos partenaires européens et autres dans ce qui peut être amené comme moyens d'accompagnement aux pays de la région dans la lutte anti-terroriste». Mercredi passé, faut-il le rappeler, le principal-adjoint de l'assistant du secrétaire à la Défense, chargé des Affaires de sécurité internationale aux Etats-Unis d'Amérique, M. Joseph Mc Millan, avait affirmé qu'aucune concession ne doit être faite aux groupes terroristes en matière de paiement de rançons. Le ministre délégué, chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a souligné jeudi à Alger la convergence de vues "totale" entre l'Algérie et le Royaume-Uni dans la lutte contre le terrorisme. «Nous avons une convergence de vues totale avec le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord dans la lutte contre le phénomène du terrorisme», a affirmé M. Messahel à l'issue d'une réunion de travail avec le ministre britannique chargé des Affaires du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, M. Alistair Burt. S'agissant du paiement des rançons aux groupes terroristes, M. Burt a souligné qu'il était «juste» de lutter contre cette méthode. «Le terrorisme représente une menace pour tout le monde. Il y a différentes manières d'y faire face. Nous sommes de l'avis de l'Algérie en ce qui concerne la criminalisation du paiement de rançons qui, pour nous, peut être la base du financement des terroristes. Il est donc juste de lutter contre le paiement de rançons», a-t-il expliqué à ce propos. Dans un autre sens, le haut responsable britannique, a expliqué «la nécessité de –convaincre- les jeunes générations que "ceux qui adoptent les positions de violences extrémistes ne représentent aucunement la véritable tendance de l'Islam». L'Algérie, a rappelé M. Alistair Burt, est un partenaire «très proche» pour le Royaume. Il dira à ce sujet que «l'Algérie est un partenaire très proche pour le Royaume-Uni, et les deux pays entretiennent d'anciennes et de bonnes relations». D'autant plus, a-t-il affirmé, que les relations entre les deux pays sont «variées, notamment dans les domaines du commerce et l'énergie, la défense et la sécurité». «Il s'agit de ma première visite dans la région depuis que j'occupe le poste de ministre chargé des Affaires du Moyen-orient et de l'Afrique du nord, et c'est une opportunité pour moi pour discuter (avec les responsables algériens) des moyens de développer les relations bilatérales», a ajouté le ministre britannique. Plusieurs volets de la coopération bilatérale entre les deux pays, a indiqué M. Messahel, ont été passés en revue, notamment pour ce qui est des domaines de l'énergie, hors hydrocarbures, la culture, l'éducation et l'assistance technique. M. Messahel a relevé, dans ce sens, que les deux parties ont convenu de travailler ensemble à sa densification, ainsi qu'au renforcement de son cadre juridique à travers la signature de nouveaux accords. La situation sécuritaire dans la région du Sahel a été également évoquée entre les deux parties, a précisé le ministre algérien. Et d'ajouter que «nous avons exposé notre position et approche sur la voie que nous devons entreprendre en tant que pays de la région pour lutter contre le phénomène du terrorisme au Sahel et quelle est la place de nos partenaires européens et autres dans ce qui peut être amené comme moyens d'accompagnement aux pays de la région dans la lutte anti-terroriste». Mercredi passé, faut-il le rappeler, le principal-adjoint de l'assistant du secrétaire à la Défense, chargé des Affaires de sécurité internationale aux Etats-Unis d'Amérique, M. Joseph Mc Millan, avait affirmé qu'aucune concession ne doit être faite aux groupes terroristes en matière de paiement de rançons.