La population de la commune de Freha mais aussi celle des localités voisines observeront une marche populaire ce matin au chef-lieu de la commune de Freha. L'objectif de cette manifestation populaire consiste à exiger la libération de S.Omar. Ce dernier a été enlevé par un groupe armé dimanche passé dans un faux barrage dressé à Aghrib, 40 kilomètres au nord-est de Tizi Ouzou. La population de toute la région était sous le choc, hier vendredi, quand la nouvelle de la mort de S.Hend leur est parvenue. Celui-ci, âgé de 49 ans, était entrepreneur dans le secteur des travaux publics. Il a pu prendre la fuite en constatant la présence du faux barrage mais les terroristes ont immédiatement ouvert le feu sur lui le blessant grièvement. Suite à cela, les agresseurs s'en sont pris au cousin de la première victime, à savoir le dénommé S.Omar, âgé de trente quatre ans. Jusqu'à hier, en milieu d'après midi, aucune nouvelle n'a filtré quant au sort de ce dernier. Des rumeurs font état d'un « premier contact entre les ravisseurs et la famille de l'otage ». Jusqu'à hier, cette information était impossible à confirmer. La marche d'aujourd'hui sera ponctuée par une grève générale dans la ville de Freha qui durera deux heures et qui touchera toutes les activités des secteurs privé et public. Une déclaration rendue publique par le comité du village d'Aghrib précise que « la mobilisation des citoyens se poursuivra jusqu'à la libération de notre frère ». Le comité du village d'Aghrib, soutenu par d'autres, a mis en place une cellule de crise à même de suivre cette affaire, la énième dans la wilaya de Tizi Ouzou depuis le début du phénomène des kidnappings en 2005. Par ailleurs, le premier jour de l'Aïd, une caravane avec des centaines de citoyens, venant de divers villages, a parcouru les maquis de la région avec le lancement d'un appel visant la libération du citoyen S.Omar. Notons que le commerçant enlevé il y a deux mois à Tala Bounane sur la route d'Ath Douala a été relâché dans la commune de Mâatkas lundi passé. Aucune précision n'a été communiquée à la presse concernant les circonstances de cette libération ou d'une éventuelle rançon versée par la famille de l'otage. La population de la commune de Freha mais aussi celle des localités voisines observeront une marche populaire ce matin au chef-lieu de la commune de Freha. L'objectif de cette manifestation populaire consiste à exiger la libération de S.Omar. Ce dernier a été enlevé par un groupe armé dimanche passé dans un faux barrage dressé à Aghrib, 40 kilomètres au nord-est de Tizi Ouzou. La population de toute la région était sous le choc, hier vendredi, quand la nouvelle de la mort de S.Hend leur est parvenue. Celui-ci, âgé de 49 ans, était entrepreneur dans le secteur des travaux publics. Il a pu prendre la fuite en constatant la présence du faux barrage mais les terroristes ont immédiatement ouvert le feu sur lui le blessant grièvement. Suite à cela, les agresseurs s'en sont pris au cousin de la première victime, à savoir le dénommé S.Omar, âgé de trente quatre ans. Jusqu'à hier, en milieu d'après midi, aucune nouvelle n'a filtré quant au sort de ce dernier. Des rumeurs font état d'un « premier contact entre les ravisseurs et la famille de l'otage ». Jusqu'à hier, cette information était impossible à confirmer. La marche d'aujourd'hui sera ponctuée par une grève générale dans la ville de Freha qui durera deux heures et qui touchera toutes les activités des secteurs privé et public. Une déclaration rendue publique par le comité du village d'Aghrib précise que « la mobilisation des citoyens se poursuivra jusqu'à la libération de notre frère ». Le comité du village d'Aghrib, soutenu par d'autres, a mis en place une cellule de crise à même de suivre cette affaire, la énième dans la wilaya de Tizi Ouzou depuis le début du phénomène des kidnappings en 2005. Par ailleurs, le premier jour de l'Aïd, une caravane avec des centaines de citoyens, venant de divers villages, a parcouru les maquis de la région avec le lancement d'un appel visant la libération du citoyen S.Omar. Notons que le commerçant enlevé il y a deux mois à Tala Bounane sur la route d'Ath Douala a été relâché dans la commune de Mâatkas lundi passé. Aucune précision n'a été communiquée à la presse concernant les circonstances de cette libération ou d'une éventuelle rançon versée par la famille de l'otage.