A 10h, il y avait un peu plus d'un millier de personnes rassemblées au niveau du stade communal de Fréha, point de départ de la marche populaire. «Non aux kidnappings», «Ilaq ad faken idamen», «Barakat tazla idamen», «Non à la violence, non au crime et non au silence», «Halte à la terreur» sont les slogans inscrits sur plusieurs banderoles portées par les manifestants. A 10h, il y avait un peu plus d'un millier de personnes rassemblées au niveau du stade communal de Fréha, point de départ de la marche populaire. «Non aux kidnappings», «Ilaq ad faken idamen», «Barakat tazla idamen», «Non à la violence, non au crime et non au silence», «Halte à la terreur» sont les slogans inscrits sur plusieurs banderoles portées par les manifestants. Comme il fallait s‘y attendre, des centaines de citoyens étaient au rendez-vous, hier, dans la ville de Fréha pour prendre part à la marche populaire à laquelle a appelé la cellule de crise de l‘arch d‘Ath Djennad. Bien que l‘information n‘ait pas bien circulé suite à la libération de l‘otage, Slimana Omar, il n‘en demeure pas moins que les citoyens des communes d‘Aghribs, Timizart, Fréha et Azazga étaient au rendez-vous. A dix heures, il y avait un peu plus d‘un millier de personnes rassemblées au niveau du stade communal de Fréha, point de départ de la marche populaire. «Non aux kidnappings», «Ilaq ad faken idamen», «Barakat tazla idamen», «Non à la violence, non au crime et non au silence», «Halte à la terreur», «Non à l‘impunité», «Non au règne de l‘insécurité» sont les slogans inscrits sur plusieurs banderoles portées par les manifestants. Ces derniers et conformément aux directives données par les organisateurs, à savoir les membres de la cellule de crise de l‘arch n‘Ath Djennad, ont observé une marche silencieuse. Il était dix heures vingt minutes quand la procession humaine s‘est ébranlée à partir du stade pour parcourir ensuite quelques rues du chef lieu de la commune de Fréha et de finir devant le siège de l‘Assemblée populaire communale, situé à l‘entrée de la ville. Les manifestants ont assisté pendant quelques minutes à des prises de paroles de la part des élus locaux et nationaux ayant tenu à prendre part à cette action de protestation. C‘est ainsi que l‘ensemble des intervenants ont mis l‘accent sur la nécessité de s‘unir et de se mobiliser face au danger qui guette les citoyens de la wilaya de Tizi Ouzou suite à la multiplication des actes de kidnappings enregistrés depuis 2006. Les intervenants ont aussi tenu à avoir une pensée à la mémoire du défunt entrepreneur Hend Slimana qui a succombé à ses blessures vendredi dernier suite à sa tentative d‘échapper à trois individus armés. Ces derniers ont, pour rappel, essayé d‘enlever le regretté Slimana Hend il y a huit jours, soit le dimanche d‘avant, dans un faux barrage dressé à Aghribs. La victime est tombée dans le guet-apens aux environs de 21 h. Trois individus armés de kalachnikovs ont tenté d‘enlever l‘entrepreneur avant que ce dernier ne tente de prendre la fuite. Les terroristes ouvrent alors le feu sur lui et l‘atteignent mortellement. Son cousin, Slimana Omar, qui l‘accompagnait, a été emmené par les ravisseurs avec lesquels il est resté jusqu‘à la nuit de samedi à dimanche dernier. Suite à la mobilisation des citoyens de la région des Ath Djennad, Slimana Omar a été libéré, sans versement de rançon, au niveau du village Azelal, près de Souamâa, dans la daïra de Mekla.C‘est au lendemain du kidnapping que la population, via les comités de villages, s‘est mobilisée en créant une cellule de crise pour suivre l‘affaire. En plus de la marche d‘hier ponctuée par une grève des commerçants ayant duré deux heures, la cellule de crise avait aussi organisé une caravane à laquelle des centaines d‘automobilistes ont pris part. La libération de l‘otage Slimana Omar a soulagé certes la population de la wilaya de Tizi Ouzou mais elle n‘a pas fait oublier la douleur incommensurable générée par le décès de Hend Slimana. Comme il fallait s‘y attendre, des centaines de citoyens étaient au rendez-vous, hier, dans la ville de Fréha pour prendre part à la marche populaire à laquelle a appelé la cellule de crise de l‘arch d‘Ath Djennad. Bien que l‘information n‘ait pas bien circulé suite à la libération de l‘otage, Slimana Omar, il n‘en demeure pas moins que les citoyens des communes d‘Aghribs, Timizart, Fréha et Azazga étaient au rendez-vous. A dix heures, il y avait un peu plus d‘un millier de personnes rassemblées au niveau du stade communal de Fréha, point de départ de la marche populaire. «Non aux kidnappings», «Ilaq ad faken idamen», «Barakat tazla idamen», «Non à la violence, non au crime et non au silence», «Halte à la terreur», «Non à l‘impunité», «Non au règne de l‘insécurité» sont les slogans inscrits sur plusieurs banderoles portées par les manifestants. Ces derniers et conformément aux directives données par les organisateurs, à savoir les membres de la cellule de crise de l‘arch n‘Ath Djennad, ont observé une marche silencieuse. Il était dix heures vingt minutes quand la procession humaine s‘est ébranlée à partir du stade pour parcourir ensuite quelques rues du chef lieu de la commune de Fréha et de finir devant le siège de l‘Assemblée populaire communale, situé à l‘entrée de la ville. Les manifestants ont assisté pendant quelques minutes à des prises de paroles de la part des élus locaux et nationaux ayant tenu à prendre part à cette action de protestation. C‘est ainsi que l‘ensemble des intervenants ont mis l‘accent sur la nécessité de s‘unir et de se mobiliser face au danger qui guette les citoyens de la wilaya de Tizi Ouzou suite à la multiplication des actes de kidnappings enregistrés depuis 2006. Les intervenants ont aussi tenu à avoir une pensée à la mémoire du défunt entrepreneur Hend Slimana qui a succombé à ses blessures vendredi dernier suite à sa tentative d‘échapper à trois individus armés. Ces derniers ont, pour rappel, essayé d‘enlever le regretté Slimana Hend il y a huit jours, soit le dimanche d‘avant, dans un faux barrage dressé à Aghribs. La victime est tombée dans le guet-apens aux environs de 21 h. Trois individus armés de kalachnikovs ont tenté d‘enlever l‘entrepreneur avant que ce dernier ne tente de prendre la fuite. Les terroristes ouvrent alors le feu sur lui et l‘atteignent mortellement. Son cousin, Slimana Omar, qui l‘accompagnait, a été emmené par les ravisseurs avec lesquels il est resté jusqu‘à la nuit de samedi à dimanche dernier. Suite à la mobilisation des citoyens de la région des Ath Djennad, Slimana Omar a été libéré, sans versement de rançon, au niveau du village Azelal, près de Souamâa, dans la daïra de Mekla.C‘est au lendemain du kidnapping que la population, via les comités de villages, s‘est mobilisée en créant une cellule de crise pour suivre l‘affaire. En plus de la marche d‘hier ponctuée par une grève des commerçants ayant duré deux heures, la cellule de crise avait aussi organisé une caravane à laquelle des centaines d‘automobilistes ont pris part. La libération de l‘otage Slimana Omar a soulagé certes la population de la wilaya de Tizi Ouzou mais elle n‘a pas fait oublier la douleur incommensurable générée par le décès de Hend Slimana.