Une étude médicale publiée jeudi a révélé que préférer une pomme au biscuit en cas de petite faim était non seulement souhaitable pour éviter le surpoids, mais pourrait réduire le risque de fractures osseuses. Cette étude, publiée par le quotidien américain "journal of clinical nutrition" et conduite par des chercheurs canadiens auprès de 3.539 femmes et 1.649 hommes âgés de cinquante ans et plus, a démontré que les femmes âgées qui consomment beaucoup de fruits et légumes dans leur vie sont moins sujettes à des fractures. Les chercheurs se sont concentrés sur la relation entre le risque de fractures osseuses et la "densité nutritionnelle" (qui calcule la teneur des aliments en minéraux et micro nutriments en fonction de leur apport calorique). Les fruits et légumes présentent alors une densité nutritionnelle élevée, alors que les desserts et biscuits présentent une densité nutritionnelle basse. Pour conclure, l'étude a montré que l'augmentation de 40% la part des aliments à forte densité nutritionnelle dans ses apports caloriques journaliers réduisait de 14%, chez les femmes, le risque de fracture d'un os dans les dix années à venir. Une étude médicale publiée jeudi a révélé que préférer une pomme au biscuit en cas de petite faim était non seulement souhaitable pour éviter le surpoids, mais pourrait réduire le risque de fractures osseuses. Cette étude, publiée par le quotidien américain "journal of clinical nutrition" et conduite par des chercheurs canadiens auprès de 3.539 femmes et 1.649 hommes âgés de cinquante ans et plus, a démontré que les femmes âgées qui consomment beaucoup de fruits et légumes dans leur vie sont moins sujettes à des fractures. Les chercheurs se sont concentrés sur la relation entre le risque de fractures osseuses et la "densité nutritionnelle" (qui calcule la teneur des aliments en minéraux et micro nutriments en fonction de leur apport calorique). Les fruits et légumes présentent alors une densité nutritionnelle élevée, alors que les desserts et biscuits présentent une densité nutritionnelle basse. Pour conclure, l'étude a montré que l'augmentation de 40% la part des aliments à forte densité nutritionnelle dans ses apports caloriques journaliers réduisait de 14%, chez les femmes, le risque de fracture d'un os dans les dix années à venir.