Les participants au colloque international sur les enjeux de la qualité dans l'enseignement supérieur, qui a pris fin hier à Skikda après deux jours de travaux, ont appelé à la création d'un observatoire "assurance qualité" au niveau du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Un observatoire qui aura comme objectif d' «accompagner les universités du pays dans la mise en place d'indicateurs référentiels qui serviraient de base pour les normes nationales d'assurance qualité», a-t-on précisé lors de la lecture des recommandations de cette rencontre qui a réuni des universitaires algériens, jordaniens, français, belges et italiens, rapporte l'APS. Les séminaristes ont également estimé que l'approche assurance qualité dans les universités doit toucher "toutes les composantes liées aux activités pédagogiques et administratives". Les participants ont également préconisé l'installation de "structures d'assurance qualité autonomes" au niveau de chaque établissement universitaire en les appuyant de textes réglementaires définissant leur rôle et leur fonction. La création d'un site web destiné à la "diffusion des bonnes pratiques de l'activité d'enseignement et de recherche" a également été souhaitée. Le Dr. Abdennour Moussaoui, de l'université de Constantine, dans une intervention intitulée "La qualité à l'université : une affaire de tous", avait auparavant attiré l'attention sur le fait que la qualité de l'enseignement à l'université est devenue, ces dernières années, une "préoccupation constante", notamment avec la généralisation progressive du système LMD (licence-master-doctorat). Il a indiqué dans ce contexte que ce système "impose un souci permanent de la qualité de l'enseignement, de la recherche et de leurs outputs". Sa communication, a-t-il soutenu, se veut un "signal" aux institutions universitaires algériennes et à la tutelle pour qu'une "définition claire de la politique qualité soit mise en œuvre afin que la démarche qualité devienne pérenne". Cette rencontre, organisée par le consortium des universités de l'est du pays (Skikda, Tébessa avait pour but «d'assurer la lisibilité de l'évaluation à l'ensemble de la communauté universitaire et d'assurer la transparence de ses actions en vue d'améliorer, d'innover, de réguler et de changer les pratiques pédagogiques". Les participants au colloque international sur les enjeux de la qualité dans l'enseignement supérieur, qui a pris fin hier à Skikda après deux jours de travaux, ont appelé à la création d'un observatoire "assurance qualité" au niveau du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Un observatoire qui aura comme objectif d' «accompagner les universités du pays dans la mise en place d'indicateurs référentiels qui serviraient de base pour les normes nationales d'assurance qualité», a-t-on précisé lors de la lecture des recommandations de cette rencontre qui a réuni des universitaires algériens, jordaniens, français, belges et italiens, rapporte l'APS. Les séminaristes ont également estimé que l'approche assurance qualité dans les universités doit toucher "toutes les composantes liées aux activités pédagogiques et administratives". Les participants ont également préconisé l'installation de "structures d'assurance qualité autonomes" au niveau de chaque établissement universitaire en les appuyant de textes réglementaires définissant leur rôle et leur fonction. La création d'un site web destiné à la "diffusion des bonnes pratiques de l'activité d'enseignement et de recherche" a également été souhaitée. Le Dr. Abdennour Moussaoui, de l'université de Constantine, dans une intervention intitulée "La qualité à l'université : une affaire de tous", avait auparavant attiré l'attention sur le fait que la qualité de l'enseignement à l'université est devenue, ces dernières années, une "préoccupation constante", notamment avec la généralisation progressive du système LMD (licence-master-doctorat). Il a indiqué dans ce contexte que ce système "impose un souci permanent de la qualité de l'enseignement, de la recherche et de leurs outputs". Sa communication, a-t-il soutenu, se veut un "signal" aux institutions universitaires algériennes et à la tutelle pour qu'une "définition claire de la politique qualité soit mise en œuvre afin que la démarche qualité devienne pérenne". Cette rencontre, organisée par le consortium des universités de l'est du pays (Skikda, Tébessa avait pour but «d'assurer la lisibilité de l'évaluation à l'ensemble de la communauté universitaire et d'assurer la transparence de ses actions en vue d'améliorer, d'innover, de réguler et de changer les pratiques pédagogiques".