En attendant de trouver un espace pour l'implantation d'un service d'hémodialyse à Taher, qui a été doté d'une enveloppe de 7 milliards de centimes, l'urgence de l'achèvement des travaux en cours d'un centre d'hémodialyse à El-Milia, pour lequel 14 milliards de centimes ont été mobilisés, est plus que nécessaire. En attendant de trouver un espace pour l'implantation d'un service d'hémodialyse à Taher, qui a été doté d'une enveloppe de 7 milliards de centimes, l'urgence de l'achèvement des travaux en cours d'un centre d'hémodialyse à El-Milia, pour lequel 14 milliards de centimes ont été mobilisés, est plus que nécessaire. Une quarantaine d'insuffisants rénaux en stand-by sont dans la détresse depuis quelques semaines faute d'avoir trouver une place dans un des trois centres d'hémodialyse de la wilaya de Jijel, nous a indiqué M. Abdelghani Boufatit, président de l'Association des insuffisants rénaux.La vie de ces malades serait même menacée à long terme, si une solution n'est pas trouvé pour mettre fin à leur calvaire. En attendant de trouver un espace pour l'implantation d'un service d'hémodialyse à Taher, qui a été doté d'une enveloppe de 7 milliards de centimes, l'urgence de l'achèvement des travaux en cours d'un centre d'hémodialyse à El-Milia, pour lequel 14 milliards de centimes ont été mobilisés, est plus que nécessaire.Pendant ce temps-là, le centre d'hémodialyse du chef-lieu de wilaya, mis en service le 07 février 2003, disposant de 24 générateurs, n'est plus en mesure de prodiguer des soins aux dizaines de malades, pour une bonne partie démunis, souffrant dans le silence. Au déficit en personnel paramédical, avec 3 infirmiers la nuit pour 18 malades, "le centre d'hémodialyse de Jijel est confronté, devant la pression des malades et le nombre limité de places, à réduire les séances de dialyse nécessaires à chaque patient de trois à deux et parfois une par semaine", affirme M. Boufatit. Avant de nous apprendre que devant cette situation intenable et l'impossibilité de prendre en charge tous les malades au niveau des structures de santé spécialisées de la wilaya, les jeunes insuffisants rénaux bénéficient de plus d'égard en termes de séances de dialyse que les personnes âgées. Evidemment, cet état de faits n'est pas du goût du président qui milite plutôt pour la «généralisation de l'accès à la dialyse et la promotion de la transplantation rénale». Il convient de souligner que la wilaya de Jijel compte actuellement 3 centres d'hémodialyse, dont deux cliniques privées, qui, ces dernières, prennent en charge 120 malades, sur un total de 350 insuffisants rénaux. Il y a cinq ans, ils étaient à peine 180 malades recensés. Interrogé sur le volet transport des malades de leurs lieux de résidence vers les structures sanitaires, le responsable de cette association nous assura que cette question est prise en charge totalement par les ambulanciers privés conventionnés avec la Cnas. Une quarantaine d'insuffisants rénaux en stand-by sont dans la détresse depuis quelques semaines faute d'avoir trouver une place dans un des trois centres d'hémodialyse de la wilaya de Jijel, nous a indiqué M. Abdelghani Boufatit, président de l'Association des insuffisants rénaux.La vie de ces malades serait même menacée à long terme, si une solution n'est pas trouvé pour mettre fin à leur calvaire. En attendant de trouver un espace pour l'implantation d'un service d'hémodialyse à Taher, qui a été doté d'une enveloppe de 7 milliards de centimes, l'urgence de l'achèvement des travaux en cours d'un centre d'hémodialyse à El-Milia, pour lequel 14 milliards de centimes ont été mobilisés, est plus que nécessaire.Pendant ce temps-là, le centre d'hémodialyse du chef-lieu de wilaya, mis en service le 07 février 2003, disposant de 24 générateurs, n'est plus en mesure de prodiguer des soins aux dizaines de malades, pour une bonne partie démunis, souffrant dans le silence. Au déficit en personnel paramédical, avec 3 infirmiers la nuit pour 18 malades, "le centre d'hémodialyse de Jijel est confronté, devant la pression des malades et le nombre limité de places, à réduire les séances de dialyse nécessaires à chaque patient de trois à deux et parfois une par semaine", affirme M. Boufatit. Avant de nous apprendre que devant cette situation intenable et l'impossibilité de prendre en charge tous les malades au niveau des structures de santé spécialisées de la wilaya, les jeunes insuffisants rénaux bénéficient de plus d'égard en termes de séances de dialyse que les personnes âgées. Evidemment, cet état de faits n'est pas du goût du président qui milite plutôt pour la «généralisation de l'accès à la dialyse et la promotion de la transplantation rénale». Il convient de souligner que la wilaya de Jijel compte actuellement 3 centres d'hémodialyse, dont deux cliniques privées, qui, ces dernières, prennent en charge 120 malades, sur un total de 350 insuffisants rénaux. Il y a cinq ans, ils étaient à peine 180 malades recensés. Interrogé sur le volet transport des malades de leurs lieux de résidence vers les structures sanitaires, le responsable de cette association nous assura que cette question est prise en charge totalement par les ambulanciers privés conventionnés avec la Cnas.