80 clichés pris entre décembre 2009 et janvier 2010 qui témoignent de l'extrême violence de l'opération Plomb durci menée contre les Ghazaouis et la bande de Ghaza. Les clichés des bâtiments détruits et des corps amputés révèlent l'insoutenable quotidien 80 clichés pris entre décembre 2009 et janvier 2010 qui témoignent de l'extrême violence de l'opération Plomb durci menée contre les Ghazaouis et la bande de Ghaza. Les clichés des bâtiments détruits et des corps amputés révèlent l'insoutenable quotidien Les associations de solidarité avec le peuple palestinien, dont le collectif EuroPalestine, appellent, dans un communiqué publié hier à Paris, à se rendre aujourd'hui au musée d'art moderne où se tient une exposition photos du photojournaliste allemand Kai Wiedenhöfe. Ce sont 80 clichés pris entre décembre 2009 et janvier 2010 qui témoignent de l'extrême violence de l'opération Plomb durci menée contre les Ghazaouis et la bande de Ghaza. Les clichés des bâtiments détruits et des corps amputés révèlent l'insoutenable quotidien du peuple palestinien. Mais l'appel des associations n'est pas seulement dans le but de faire connaître cette réalité, mais surtout de dénoncer l'attitude extrémiste et intolérante des organisations juives de France. Dimanche dernier, les responsables du musée ont dû faire appel à la police pour évacuer les militants pro israéliens venus contester la tenue de cette exposition. Hystériques pour certains, ils ont scandé des slogans et affiché des tracts ne laissant aucun doute sur leur extrémisme «L'antisionisme est un antisémitisme politique», «Ligue de défense juive», «Le palestinisme est un antisémitisme ». Les responsables du musée ont dû fermer la salle d'exposition au nez des visiteurs désappointés. Pour EuroPalestine, « les émules des nazis n'ont évidemment pas craint, dans leur assaut, de tenter de saccager les multiples œuvres exposées aux côtés des photographies de Gaza dans l'enceinte du Musée d'Art Moderne, à savoir les toiles de Pablo Picasso, Henri Matisse, Amadeo Modigliani, Marc Chagall ou Henri Matisse. Pas plus qu'ils ne se souciaient, quand ils attaquaient la librairie Résistances à Paris en juillet 2009, de savoir si les livres qu'ils détruisaient avaient pour auteurs Mahmoud Darwish ou Primo Levi. Et nous mettons en cause le CRIF, vitrine « présentable » du lobby israélien en France, et non pas la seule « Ligue de Défense Juive », dont on ne savait pas encore, dimanche soir, si elle revendiquerait l'attentat contre le Musée. Car c'est le CRIF lui-même qui a donné le signal la semaine dernière, en appelant à la suppression de l'exposition ». La fondation Carmignac qui avait décerné au photographe le Prix du photojournalisme craignant les foudres du CRIF s'est dépêchée de déclarer qu'elle n'entend pas «prendre parti» sur le conflit israélo-palestinien. Depuis 1989, le photographe Kai Wiedenhöfer réalise un travail documentaire sur le conflit israélo-palestinien. Le Prix Carmignac Gestion du photojournalisme lui a permis de poursuivre ses recherches, principalement consacrées à Ghaza et aux conséquences de l'offensive israélienne connue sous le nom de « Plomb durci ». En novembre 2009, quand Kai Wiedenhöfer a commencé à travailler sur ce projet, Ghaza était encore marquée par de terribles destructions humaines et matérielles. Ses photographies, récompensées par de nombreux prix internationaux, sont reconnues pour leur originalité et leur force de témoignage. Réunissant 85 photographies en couleurs, l'exposition s'articule autour de deux thèmes majeurs, les décombres et les portraits. Il va sans dire qu'aucune condamnation officielle ou des intellectuels et artistes français n'est venue dénoncer cette atteinte à la liberté d'expression et de création perpétrée par le pro israéliens si prompts d'habitude à crier à l'anti sémitisme à la moindre critique d'Israël. Les associations de solidarité avec le peuple palestinien, dont le collectif EuroPalestine, appellent, dans un communiqué publié hier à Paris, à se rendre aujourd'hui au musée d'art moderne où se tient une exposition photos du photojournaliste allemand Kai Wiedenhöfe. Ce sont 80 clichés pris entre décembre 2009 et janvier 2010 qui témoignent de l'extrême violence de l'opération Plomb durci menée contre les Ghazaouis et la bande de Ghaza. Les clichés des bâtiments détruits et des corps amputés révèlent l'insoutenable quotidien du peuple palestinien. Mais l'appel des associations n'est pas seulement dans le but de faire connaître cette réalité, mais surtout de dénoncer l'attitude extrémiste et intolérante des organisations juives de France. Dimanche dernier, les responsables du musée ont dû faire appel à la police pour évacuer les militants pro israéliens venus contester la tenue de cette exposition. Hystériques pour certains, ils ont scandé des slogans et affiché des tracts ne laissant aucun doute sur leur extrémisme «L'antisionisme est un antisémitisme politique», «Ligue de défense juive», «Le palestinisme est un antisémitisme ». Les responsables du musée ont dû fermer la salle d'exposition au nez des visiteurs désappointés. Pour EuroPalestine, « les émules des nazis n'ont évidemment pas craint, dans leur assaut, de tenter de saccager les multiples œuvres exposées aux côtés des photographies de Gaza dans l'enceinte du Musée d'Art Moderne, à savoir les toiles de Pablo Picasso, Henri Matisse, Amadeo Modigliani, Marc Chagall ou Henri Matisse. Pas plus qu'ils ne se souciaient, quand ils attaquaient la librairie Résistances à Paris en juillet 2009, de savoir si les livres qu'ils détruisaient avaient pour auteurs Mahmoud Darwish ou Primo Levi. Et nous mettons en cause le CRIF, vitrine « présentable » du lobby israélien en France, et non pas la seule « Ligue de Défense Juive », dont on ne savait pas encore, dimanche soir, si elle revendiquerait l'attentat contre le Musée. Car c'est le CRIF lui-même qui a donné le signal la semaine dernière, en appelant à la suppression de l'exposition ». La fondation Carmignac qui avait décerné au photographe le Prix du photojournalisme craignant les foudres du CRIF s'est dépêchée de déclarer qu'elle n'entend pas «prendre parti» sur le conflit israélo-palestinien. Depuis 1989, le photographe Kai Wiedenhöfer réalise un travail documentaire sur le conflit israélo-palestinien. Le Prix Carmignac Gestion du photojournalisme lui a permis de poursuivre ses recherches, principalement consacrées à Ghaza et aux conséquences de l'offensive israélienne connue sous le nom de « Plomb durci ». En novembre 2009, quand Kai Wiedenhöfer a commencé à travailler sur ce projet, Ghaza était encore marquée par de terribles destructions humaines et matérielles. Ses photographies, récompensées par de nombreux prix internationaux, sont reconnues pour leur originalité et leur force de témoignage. Réunissant 85 photographies en couleurs, l'exposition s'articule autour de deux thèmes majeurs, les décombres et les portraits. Il va sans dire qu'aucune condamnation officielle ou des intellectuels et artistes français n'est venue dénoncer cette atteinte à la liberté d'expression et de création perpétrée par le pro israéliens si prompts d'habitude à crier à l'anti sémitisme à la moindre critique d'Israël.