La conférence mondiale ouverte contre la guerre et l'exploitation qui s'est tenue à Alger les 27, 28 et 29 novembre dernier initiée par l'Entente internationale, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et le Parti des travailleurs (PT) est un « événement majeur, couronné de succès », a estimé, hier au cours d'une conférence de presse à Alger, la secrétaire générale du PT, soulignant qu'il s'agit d'un « nouveau départ » pour « renforcer le mouvement ouvrier à travers le monde et consolider la solidarité internationale avec les peuples opprimés ». Présentant les conclusions de la conférence mondiale ouverte « contre la guerre et l'exploitation », la conférencière a souligné la nécessité de faire appel à la solidarité internationale pour combattre l'exploitation et lutter contre les inégalités sociales à travers le monde et exprime sa conviction qu' « aujourd'hui, il y a lieu de réaffirmer que nous nous opposons à la guerre qui entraîne pour les peuples et les travailleurs du monde entier des souffrances intolérables, le chômage généralisé, et impose la destruction de pans entiers de l'industrie ». Cette conférence a été une occasion aux participants pour affirmer leur opposition "aux ingérences étrangères, aux menaces d'interventions militaires et à la présence de bases militaires impérialistes qui remettent en cause la souveraineté des nations". Plus de 200 participants étrangers représentant 52 pays ont assisté à cette conférence. Des chiffres qui permettent à Louisa Hanoune de dire que l'objectif assigné à cette manifestation a été largement atteint et cela atteste, s'est-elle réjouie que « nous sommes en train de nous réapproprier la place qui nous revient sur la scène internationale ». De son côté, Julio Turra, membre de la centrale syndicale des travailleurs du Brésil, a mis en exergue le fait que les travailleurs dans le monde « sont aujourd'hui victimes de systèmes capitalistes et de crises dont ils ne sont en rien responsables », raison pour laquelle, selon lui, « il fallait, à travers la conférence d'Alger, porter un appui fort à la résistance des peuples et à leur combat contre l'oppression et l'exploitation ». Dans ce cadre, il a préconisé l'organisation d'un « G20 syndical » pour « reproduire la même texture et le même schéma des gouvernements du G20 ». Les participants à la conférence d'Alger ont souligné avec force leur rejet aux « diktats imposés par les sommets du G8, du G20, du FMI et de l'Union européenne » qui font payer le prix toujours plus lourd, des conséquences de la crise économique mondiale aux travailleurs et à la jeunesse et considéré que « seule l'union des travailleurs et des peuples du monde, peut empêcher que l'humanité soit entraînée dans une catastrophe, à l'image de celle qui frappe d'ores et déjà les peuples de Haïti, d'Afghanistan et tant d'autres pays meurtris» La conférence mondiale ouverte contre la guerre et l'exploitation qui s'est tenue à Alger les 27, 28 et 29 novembre dernier initiée par l'Entente internationale, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et le Parti des travailleurs (PT) est un « événement majeur, couronné de succès », a estimé, hier au cours d'une conférence de presse à Alger, la secrétaire générale du PT, soulignant qu'il s'agit d'un « nouveau départ » pour « renforcer le mouvement ouvrier à travers le monde et consolider la solidarité internationale avec les peuples opprimés ». Présentant les conclusions de la conférence mondiale ouverte « contre la guerre et l'exploitation », la conférencière a souligné la nécessité de faire appel à la solidarité internationale pour combattre l'exploitation et lutter contre les inégalités sociales à travers le monde et exprime sa conviction qu' « aujourd'hui, il y a lieu de réaffirmer que nous nous opposons à la guerre qui entraîne pour les peuples et les travailleurs du monde entier des souffrances intolérables, le chômage généralisé, et impose la destruction de pans entiers de l'industrie ». Cette conférence a été une occasion aux participants pour affirmer leur opposition "aux ingérences étrangères, aux menaces d'interventions militaires et à la présence de bases militaires impérialistes qui remettent en cause la souveraineté des nations". Plus de 200 participants étrangers représentant 52 pays ont assisté à cette conférence. Des chiffres qui permettent à Louisa Hanoune de dire que l'objectif assigné à cette manifestation a été largement atteint et cela atteste, s'est-elle réjouie que « nous sommes en train de nous réapproprier la place qui nous revient sur la scène internationale ». De son côté, Julio Turra, membre de la centrale syndicale des travailleurs du Brésil, a mis en exergue le fait que les travailleurs dans le monde « sont aujourd'hui victimes de systèmes capitalistes et de crises dont ils ne sont en rien responsables », raison pour laquelle, selon lui, « il fallait, à travers la conférence d'Alger, porter un appui fort à la résistance des peuples et à leur combat contre l'oppression et l'exploitation ». Dans ce cadre, il a préconisé l'organisation d'un « G20 syndical » pour « reproduire la même texture et le même schéma des gouvernements du G20 ». Les participants à la conférence d'Alger ont souligné avec force leur rejet aux « diktats imposés par les sommets du G8, du G20, du FMI et de l'Union européenne » qui font payer le prix toujours plus lourd, des conséquences de la crise économique mondiale aux travailleurs et à la jeunesse et considéré que « seule l'union des travailleurs et des peuples du monde, peut empêcher que l'humanité soit entraînée dans une catastrophe, à l'image de celle qui frappe d'ores et déjà les peuples de Haïti, d'Afghanistan et tant d'autres pays meurtris»