Les cours du pétrole évoluaient en faible hausse jeudi en début d'échanges européens dans le sillage d'un rebond des marchés actions. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 91,21 dollars en fin de matinée, en hausse de 44 cents par rapport à la clôture de mercredi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier progressait quant à lui de 41 cents à 88,69 dollars. D'après des courtiers, la tendance était dictée par les mouvements des marchés d'actions, bien orientés en Asie ainsi qu'en Europe, en l'absence de nouvelles majeures susceptibles de faire réagir les cours. Selon les analystes, "les niveaux actuels des prix du pétrole ne peuvent s'expliquer purement par les fondamentaux". Mercredi, les stocks hebdomadaires de pétrole avaient globalement déçu les investisseurs. D'un côté, les stocks de brut avaient reculé bien plus que prévu, mais les stocks d'essence et de produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage) avaient gonflé au-delà des attentes. Illustrant la nette décorrélation entre les cours et l'état des fondamentaux actuels, les cours du brut avaient touché mardi des plus hauts depuis plus de deux ans (à 92,86 dollars pour le Brent et 90,76 pour le WTI). Un mouvement appelé à se poursuivre, selon certains opérateurs, poussé par des espoirs de tensions entre l'offre et à la demande à moyen terme, grâce aux besoins grandissants en énergie des économies asiatiques. Les cours du pétrole évoluaient en faible hausse jeudi en début d'échanges européens dans le sillage d'un rebond des marchés actions. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s'échangeait à 91,21 dollars en fin de matinée, en hausse de 44 cents par rapport à la clôture de mercredi. A New York, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier progressait quant à lui de 41 cents à 88,69 dollars. D'après des courtiers, la tendance était dictée par les mouvements des marchés d'actions, bien orientés en Asie ainsi qu'en Europe, en l'absence de nouvelles majeures susceptibles de faire réagir les cours. Selon les analystes, "les niveaux actuels des prix du pétrole ne peuvent s'expliquer purement par les fondamentaux". Mercredi, les stocks hebdomadaires de pétrole avaient globalement déçu les investisseurs. D'un côté, les stocks de brut avaient reculé bien plus que prévu, mais les stocks d'essence et de produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage) avaient gonflé au-delà des attentes. Illustrant la nette décorrélation entre les cours et l'état des fondamentaux actuels, les cours du brut avaient touché mardi des plus hauts depuis plus de deux ans (à 92,86 dollars pour le Brent et 90,76 pour le WTI). Un mouvement appelé à se poursuivre, selon certains opérateurs, poussé par des espoirs de tensions entre l'offre et à la demande à moyen terme, grâce aux besoins grandissants en énergie des économies asiatiques.