Les grandes lignes des conventions de branche dans le secteur de la communication ont été examinées, hier, lors d'une réunion entre le ministre de la Communication, Nacer Mehal et le secrétaire national de l'Union générale des travailleurs algériens UGTA, Achour Telli, a rapporté l'Agence de presse algérienne. Une réunion qui a particulièrement permis de distinguer deux conventions-types. Il s'agit de celle concernant les journalistes, et celle qui concerne les personnels des métiers liés à la profession à l'image de ceux des imprimeries. Nacer Mehal a, dans ce sens, mis l'accent sur la nécessité d'inclure, dans ces nouvelles conventions, l'organisation des carrières en plus de la grille indiciaire de base et les indemnités spécifiques. En outre, il a été retenu, lors de cette rencontre, la mise en place de deux groupes de travail mixtes. Ces groupes, informe-t-on, ont pour mission de prendre en charge la finalisation de ces conventions de branche. Par ailleurs, le ministre algérien a tenu à démentir « avec force » les propos qui lui ont été attribués, par certains titres de la presse nationale, à propos des journalistes de la télévision. « J'ai trop de respect pour tous les journalistes pour avoir à toucher à leur dignité » a-t-il lancé à ce propos. Sur ce dernier point, Mehal a indiqué que « parmi les journalistes de la télévision comme ceux de tous les autres organes de presse, il se trouve que certains ont de grandes capacités, d'autres un peu moins et qui bénéficieront d'une formation de mise à niveau ». Cest pour cela, a poursuivi le ministre, que « j'ai insisté pour dire que les débats politiques, pour avoir de la hauteur, ont besoin de professionnels aguerris pour servir à la fois la crédibilité du débat et la performance de la télévision ». A cet effet, « dans l'esprit d'améliorer le niveau général des journalistes, qu'ils soient de la presse publique ou de la presse privée, nous étudions actuellement, de concert avec l'Ecole supérieure de journalisme et d'autres partenaires étrangers, la meilleure formule et le meilleur programme pour une formation de qualité pour tous les métiers du journalisme », a souligné Mehal. Les grandes lignes des conventions de branche dans le secteur de la communication ont été examinées, hier, lors d'une réunion entre le ministre de la Communication, Nacer Mehal et le secrétaire national de l'Union générale des travailleurs algériens UGTA, Achour Telli, a rapporté l'Agence de presse algérienne. Une réunion qui a particulièrement permis de distinguer deux conventions-types. Il s'agit de celle concernant les journalistes, et celle qui concerne les personnels des métiers liés à la profession à l'image de ceux des imprimeries. Nacer Mehal a, dans ce sens, mis l'accent sur la nécessité d'inclure, dans ces nouvelles conventions, l'organisation des carrières en plus de la grille indiciaire de base et les indemnités spécifiques. En outre, il a été retenu, lors de cette rencontre, la mise en place de deux groupes de travail mixtes. Ces groupes, informe-t-on, ont pour mission de prendre en charge la finalisation de ces conventions de branche. Par ailleurs, le ministre algérien a tenu à démentir « avec force » les propos qui lui ont été attribués, par certains titres de la presse nationale, à propos des journalistes de la télévision. « J'ai trop de respect pour tous les journalistes pour avoir à toucher à leur dignité » a-t-il lancé à ce propos. Sur ce dernier point, Mehal a indiqué que « parmi les journalistes de la télévision comme ceux de tous les autres organes de presse, il se trouve que certains ont de grandes capacités, d'autres un peu moins et qui bénéficieront d'une formation de mise à niveau ». Cest pour cela, a poursuivi le ministre, que « j'ai insisté pour dire que les débats politiques, pour avoir de la hauteur, ont besoin de professionnels aguerris pour servir à la fois la crédibilité du débat et la performance de la télévision ». A cet effet, « dans l'esprit d'améliorer le niveau général des journalistes, qu'ils soient de la presse publique ou de la presse privée, nous étudions actuellement, de concert avec l'Ecole supérieure de journalisme et d'autres partenaires étrangers, la meilleure formule et le meilleur programme pour une formation de qualité pour tous les métiers du journalisme », a souligné Mehal.