L'écrivain-journaliste algérien, Anouar Malek réagit à ce qui a été rapporté ces derniers jours dans la presse, et précise que la plainte déposée contre le président du Mouvement de la société pour la paix est toujours maintenue. L'écrivain-journaliste algérien, Anouar Malek réagit à ce qui a été rapporté ces derniers jours dans la presse, et précise que la plainte déposée contre le président du Mouvement de la société pour la paix est toujours maintenue. En revanche, il confirme le retrait de l'autre plainte déposée contre l'Etat algérien. « La plainte (contre Bouguerra Soltani) est maintenue à ce jour, je n'ai entrepris aucune procédure de retrait ou d'abandon et Soltani reste poursuivi par le Tribunal international », lit-on dans le communiqué rendu public par Anouar Malek, parvenu, hier, à notre rédaction. Il tient cependant à « lever l'amalgame » qui entoure cette affaire, en précisant qu'il a effectivement sursis à sa plainte déposée contre l'Etat algérien, devant le comité contre la torture des Nations unies à Genève en date du 17 juillet 2009, acceptée le 6 novembre de la même année, inscrite sous le numéro 42/2009. « Tel que consacré par le droit international, il n'est pas possible de déposer une plainte contre une personne physique auprès du comité des droits de l'homme onusien, mais contre un Etat, et c'est les Etats également qui sont passibles de condamnations, pas les personnes », écrit-il, avant d'ajouter « en réponse à la volonté insistante de mon père moudjahid, dans le souci de sauvegarder l'image de mon pays qui est inégalable dans la vie et de barrer le chemin aux opportunistes de l'intérieur et de l'extérieur, j'ai décidé de m'en désister définitivement ». Par ailleurs, Anouar Malek fait part de la validité de la troisième plainte déposée, le 7 novembre 2009, contre le ministère des Affaires étrangères et les services de sécurité suisses, accusés d'avoir ébruité des informations qui avaient permis à Bouguerra Soltani de fuir le territoire suisse. « Cette troisième plainte fait l'objet d'enquêtes judiciaires à la justice suisse », lit-on encore dans le communiqué. Pour rappel, en visite à Genève en octobre 2009 pour participer à une conférence de la Ligue des Musulmans de Suisse à Fribourg, le président du MSP, Bouguerra Soltani avait dû écourter son séjour et rentrer précipitamment sur Alger, échappant ainsi à la justice suisse qui le recherchait sur la base de la plainte déposée par Anouar Malek. Ce dernier avait affirmé avoir subi de nombreux sévices durant une séance de torture qui aurait été dirigée par Bouguerra Soltani le 1er juillet 2005 au centre de Châteauneuf à Alger. En revanche, il confirme le retrait de l'autre plainte déposée contre l'Etat algérien. « La plainte (contre Bouguerra Soltani) est maintenue à ce jour, je n'ai entrepris aucune procédure de retrait ou d'abandon et Soltani reste poursuivi par le Tribunal international », lit-on dans le communiqué rendu public par Anouar Malek, parvenu, hier, à notre rédaction. Il tient cependant à « lever l'amalgame » qui entoure cette affaire, en précisant qu'il a effectivement sursis à sa plainte déposée contre l'Etat algérien, devant le comité contre la torture des Nations unies à Genève en date du 17 juillet 2009, acceptée le 6 novembre de la même année, inscrite sous le numéro 42/2009. « Tel que consacré par le droit international, il n'est pas possible de déposer une plainte contre une personne physique auprès du comité des droits de l'homme onusien, mais contre un Etat, et c'est les Etats également qui sont passibles de condamnations, pas les personnes », écrit-il, avant d'ajouter « en réponse à la volonté insistante de mon père moudjahid, dans le souci de sauvegarder l'image de mon pays qui est inégalable dans la vie et de barrer le chemin aux opportunistes de l'intérieur et de l'extérieur, j'ai décidé de m'en désister définitivement ». Par ailleurs, Anouar Malek fait part de la validité de la troisième plainte déposée, le 7 novembre 2009, contre le ministère des Affaires étrangères et les services de sécurité suisses, accusés d'avoir ébruité des informations qui avaient permis à Bouguerra Soltani de fuir le territoire suisse. « Cette troisième plainte fait l'objet d'enquêtes judiciaires à la justice suisse », lit-on encore dans le communiqué. Pour rappel, en visite à Genève en octobre 2009 pour participer à une conférence de la Ligue des Musulmans de Suisse à Fribourg, le président du MSP, Bouguerra Soltani avait dû écourter son séjour et rentrer précipitamment sur Alger, échappant ainsi à la justice suisse qui le recherchait sur la base de la plainte déposée par Anouar Malek. Ce dernier avait affirmé avoir subi de nombreux sévices durant une séance de torture qui aurait été dirigée par Bouguerra Soltani le 1er juillet 2005 au centre de Châteauneuf à Alger.