Les prix du pétrole évoluaient en légère hausse, hier, en cours d'échanges européens, montant à un nouveau plus haut en deux ans à Londres, toujours porté par la vague de froid en Europe. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février s'échangeait à 93,60 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 40 cents par rapport à la clôture de mardi. Il a grimpé jusqu'à 93,79 dollars, un niveau sans précédent depuis le 3 octobre 2008. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février, dont c'est le second jour comme contrat de référence, progressait quant à lui de 36 cents à 90,18 dollars, après une incursion jusqu'à 90,37 dollars. La vague de froid sévissant en Europe et dans une partie des Etats-Unis continuait de soutenir le marché, stimulant la consommation des produits pétroliers, ce qui tirait vers le haut les cours.Par ailleurs, les estimations hebdomadaires dévoilées mardi soir par l'Association professionnelle américaine API "continuaient d'apporter leur soutien aux prix", soulignaient les analystes. L'API a fait état d'un recul de 5,8 millions de barils des stocks américains de brut la semaine dernière, tandis que les réserves d'essence auraient quant à elles diminué de 2,9 millions de barils. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, le DoE devrait faire état d'un recul de 2,3 millions de baril des stocks de brut, d'une augmentation de 900.000 barils des stocks d'essence ainsi que d'un repli de 600.000 barils des réserves de produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage). Les prix du pétrole évoluaient en légère hausse, hier, en cours d'échanges européens, montant à un nouveau plus haut en deux ans à Londres, toujours porté par la vague de froid en Europe. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février s'échangeait à 93,60 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 40 cents par rapport à la clôture de mardi. Il a grimpé jusqu'à 93,79 dollars, un niveau sans précédent depuis le 3 octobre 2008. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février, dont c'est le second jour comme contrat de référence, progressait quant à lui de 36 cents à 90,18 dollars, après une incursion jusqu'à 90,37 dollars. La vague de froid sévissant en Europe et dans une partie des Etats-Unis continuait de soutenir le marché, stimulant la consommation des produits pétroliers, ce qui tirait vers le haut les cours.Par ailleurs, les estimations hebdomadaires dévoilées mardi soir par l'Association professionnelle américaine API "continuaient d'apporter leur soutien aux prix", soulignaient les analystes. L'API a fait état d'un recul de 5,8 millions de barils des stocks américains de brut la semaine dernière, tandis que les réserves d'essence auraient quant à elles diminué de 2,9 millions de barils. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires, le DoE devrait faire état d'un recul de 2,3 millions de baril des stocks de brut, d'une augmentation de 900.000 barils des stocks d'essence ainsi que d'un repli de 600.000 barils des réserves de produits distillés (dont gazole et fioul de chauffage).