L'importance d'une concertation et coordination entre l'administration et les acteurs des secteurs de l'hydraulique et de l'agriculture pour une utilisation plus rationnelle de l'eau a été soulignée mardi à Oran par les secrétaires généraux des deux ministères. L'importance d'une concertation et coordination entre l'administration et les acteurs des secteurs de l'hydraulique et de l'agriculture pour une utilisation plus rationnelle de l'eau a été soulignée mardi à Oran par les secrétaires généraux des deux ministères. Cette coordination aura comme objectif principal d'arriver à une utilisation "plus rationnelle" de l'eau dans l'agriculture, dans le but de protéger les ressources hydriques du pays, a-t-on précisé lors d'une rencontre régionale dédiée à la mise en œuvre du programme de l'hydraulique agricole 2010-2014. A ce titre, le secrétaire général du ministère des Ressources en eau, M. Zidane Merrah, et celui du ministère de l'Agriculture et du Développement local, M. Sid Ahmed Ferroukhi, ont affirmé que la bonne gestion de l'eau dans l'agriculture est l'une des principales orientations du programme quinquennal 2010-2014 dans son volet lié à l'irrigation agricole. Cette réunion, organisée conjointement par les deux ministères et regroupant les responsables locaux des ressources en eau et de l'agriculture de onze wilayas de l'ouest du pays, vise "la sensibilisation des responsables locaux de l'importance d'économiser et de rationaliser l'utilisation de l'eau". S'adressant aux responsables locaux des deux secteurs, M. Ferroukhi a souligné que les objectifs de ce programme étaient "réalisables à condition d'une conjugaison des efforts et une coordination très étroite pour la mise en œuvre de ce programme sur le terrain". "Economiser l'eau demeure une préoccupation majeure", a-t-il estimé en ajoutant qu'il faut revoir les systèmes d'irrigation actuels et les diversifier selon les besoins tels que le système de "goutte à goutte", "l'irrigation d'appoint" et la réutilisation des eaux usées et épurées dans l'agriculture. Pour sa part, le secrétaire général du ministère des Ressources en eau a mis en exergue les actions à mener pour la mise en œuvre de ce programme dans un proche avenir, à savoir l'identification des périmètres d'intervention, l'équipement et la mise à jour du programme de réutilisation des eaux usées et épurées. Par la même occasion, il a insisté sur l'implication "impérative" des Chambres d'agriculture, des représentants des agriculteurs et des institutions liées aux deux secteurs, dont l'Office national d'assainissement (ONA) et l'Agence nationale des ressources hydrauliques (ANRH). Les participants ont débattu, notamment, des moyens matériels à même de mettre en œuvre ce programme, la coordination entre les deux secteurs et le problème des forages illicites. Sur ce dernier point, le représentant du ministère des Ressources en eau a annoncé qu'une opération sera lancée incessamment pour l'identification des forages existants et leur régularisation. "Il sera également procédé à l'installation de compteurs sur chaque puits et l'application de tarifs réels de prélèvement et d'exploitation de cette eau", a-t-il précisé. Cette coordination aura comme objectif principal d'arriver à une utilisation "plus rationnelle" de l'eau dans l'agriculture, dans le but de protéger les ressources hydriques du pays, a-t-on précisé lors d'une rencontre régionale dédiée à la mise en œuvre du programme de l'hydraulique agricole 2010-2014. A ce titre, le secrétaire général du ministère des Ressources en eau, M. Zidane Merrah, et celui du ministère de l'Agriculture et du Développement local, M. Sid Ahmed Ferroukhi, ont affirmé que la bonne gestion de l'eau dans l'agriculture est l'une des principales orientations du programme quinquennal 2010-2014 dans son volet lié à l'irrigation agricole. Cette réunion, organisée conjointement par les deux ministères et regroupant les responsables locaux des ressources en eau et de l'agriculture de onze wilayas de l'ouest du pays, vise "la sensibilisation des responsables locaux de l'importance d'économiser et de rationaliser l'utilisation de l'eau". S'adressant aux responsables locaux des deux secteurs, M. Ferroukhi a souligné que les objectifs de ce programme étaient "réalisables à condition d'une conjugaison des efforts et une coordination très étroite pour la mise en œuvre de ce programme sur le terrain". "Economiser l'eau demeure une préoccupation majeure", a-t-il estimé en ajoutant qu'il faut revoir les systèmes d'irrigation actuels et les diversifier selon les besoins tels que le système de "goutte à goutte", "l'irrigation d'appoint" et la réutilisation des eaux usées et épurées dans l'agriculture. Pour sa part, le secrétaire général du ministère des Ressources en eau a mis en exergue les actions à mener pour la mise en œuvre de ce programme dans un proche avenir, à savoir l'identification des périmètres d'intervention, l'équipement et la mise à jour du programme de réutilisation des eaux usées et épurées. Par la même occasion, il a insisté sur l'implication "impérative" des Chambres d'agriculture, des représentants des agriculteurs et des institutions liées aux deux secteurs, dont l'Office national d'assainissement (ONA) et l'Agence nationale des ressources hydrauliques (ANRH). Les participants ont débattu, notamment, des moyens matériels à même de mettre en œuvre ce programme, la coordination entre les deux secteurs et le problème des forages illicites. Sur ce dernier point, le représentant du ministère des Ressources en eau a annoncé qu'une opération sera lancée incessamment pour l'identification des forages existants et leur régularisation. "Il sera également procédé à l'installation de compteurs sur chaque puits et l'application de tarifs réels de prélèvement et d'exploitation de cette eau", a-t-il précisé.