La conférence sur les effets économiques et sociaux de la drogue, initiée par le Conseil de la nation en collaboration avec l'ONLCDT, a rassemblé des parlementaires, des experts et chercheurs dans le domaine, ainsi que de représentants de ministères et d'institutions sécuritaires. La conférence sur les effets économiques et sociaux de la drogue, initiée par le Conseil de la nation en collaboration avec l'ONLCDT, a rassemblé des parlementaires, des experts et chercheurs dans le domaine, ainsi que de représentants de ministères et d'institutions sécuritaires. La toxicomanie a atteint des seuils alarmants en Algérie. La prévalence de ce phénomène dans la société est inquiétante. Ils sont en effet quelque 300.000 jeunes, âgés entre 12 ans et 35 ans, consomment de la drogue en Algérie, a indiqué hier, à Alger, le directeur général de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLCDT), Abdelmalek Sayeh. «Entre 250.000 et 300.000 jeunes, âgés entre 12 ans et 35 ans, consomment de la drogue, selon une enquête nationale sur la drogue dans le pays», a indiqué Abdelmalek Sayeh lors d'une conférence sur le thème «Les effets économiques et sociaux de la drogue» organisée au Conseil de la Nation. Il a précisé que 5% des consommateurs sont de sexe féminin et 95% de sexe masculin, ajoutant que la consommation de drogue, qui touche essentiellement les villes, commence à s'élargir aux zones rurales et même dans les régions du sud du pays. La consommation de drogue «touche également les universités et les cités universitaires», a-t-il déploré, soulignant que l'Office prépare un projet d'enquête sur le phénomène en milieu universitaire et scolaire. Sayeh a indiqué que «la drogue est l'un des facteurs d'augmentation de la criminalité, de la violence dans les stades, des accidents de la route et des accidents du travail». Il a ainsi recommandé de renforcer les campagnes de sensibilisation sur les effets néfastes de la drogue destinées aux jeunes en impliquant les parties concernées par la lutte contre la drogue, à travers la prévention. La conférence sur les effets économiques et sociaux de la drogue, initiée par le Conseil de la nation en collaboration avec l'ONLCDT, a rassemblé des parlementaires, des experts et chercheurs dans le domaine, ainsi que de représentants de ministères et d'institutions sécuritaires. Le chiffre avancé par l'Office de lutte contre la toxicomanie, aussi hallucinant soit-il, serait peut-être encore inférieur à la réalité de la société algérienne, où la consommation de cannabis et autres sortes de drogues douces, et même lourdes, est devenue légion. Le phénomène n'épargne désormais aucun lieu. Dans les lieux publics, dans les cafés et même dans les universités, collèges et lycées, censés être des lieux de savoir, les jeunes s'adonnent malheureusement de plus belle à cette «passion éphémère». Au travail de sensibilisation préconisé par la DG de l'ONLCTD, serait recommandable une lutte plus sévère contre les dealers et les «grands» fournisseurs de cette substance qui inonde le marché, empoisonnant des jeunes désœuvrés, généralement sans qualification scolaire ou professionnelle. La toxicomanie a atteint des seuils alarmants en Algérie. La prévalence de ce phénomène dans la société est inquiétante. Ils sont en effet quelque 300.000 jeunes, âgés entre 12 ans et 35 ans, consomment de la drogue en Algérie, a indiqué hier, à Alger, le directeur général de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLCDT), Abdelmalek Sayeh. «Entre 250.000 et 300.000 jeunes, âgés entre 12 ans et 35 ans, consomment de la drogue, selon une enquête nationale sur la drogue dans le pays», a indiqué Abdelmalek Sayeh lors d'une conférence sur le thème «Les effets économiques et sociaux de la drogue» organisée au Conseil de la Nation. Il a précisé que 5% des consommateurs sont de sexe féminin et 95% de sexe masculin, ajoutant que la consommation de drogue, qui touche essentiellement les villes, commence à s'élargir aux zones rurales et même dans les régions du sud du pays. La consommation de drogue «touche également les universités et les cités universitaires», a-t-il déploré, soulignant que l'Office prépare un projet d'enquête sur le phénomène en milieu universitaire et scolaire. Sayeh a indiqué que «la drogue est l'un des facteurs d'augmentation de la criminalité, de la violence dans les stades, des accidents de la route et des accidents du travail». Il a ainsi recommandé de renforcer les campagnes de sensibilisation sur les effets néfastes de la drogue destinées aux jeunes en impliquant les parties concernées par la lutte contre la drogue, à travers la prévention. La conférence sur les effets économiques et sociaux de la drogue, initiée par le Conseil de la nation en collaboration avec l'ONLCDT, a rassemblé des parlementaires, des experts et chercheurs dans le domaine, ainsi que de représentants de ministères et d'institutions sécuritaires. Le chiffre avancé par l'Office de lutte contre la toxicomanie, aussi hallucinant soit-il, serait peut-être encore inférieur à la réalité de la société algérienne, où la consommation de cannabis et autres sortes de drogues douces, et même lourdes, est devenue légion. Le phénomène n'épargne désormais aucun lieu. Dans les lieux publics, dans les cafés et même dans les universités, collèges et lycées, censés être des lieux de savoir, les jeunes s'adonnent malheureusement de plus belle à cette «passion éphémère». Au travail de sensibilisation préconisé par la DG de l'ONLCTD, serait recommandable une lutte plus sévère contre les dealers et les «grands» fournisseurs de cette substance qui inonde le marché, empoisonnant des jeunes désœuvrés, généralement sans qualification scolaire ou professionnelle.