Le Grand Sud a de tout temps fasciné les touristes étrangers. Mais aujourd'hui même les nationaux le découvrent et beaucoup d'entre eux l'ont choisi cette année pour les vacances scolaires et les fêtes de fin d'année. Le ministère du Tourisme en général et les chaînes d'hôtels en particulier ont réuni les conditions nécéssaires pour offrir une prise en charge de qualité et un agréable séjour dans les différents sites aux formes fantasmagoriques comme l'Ahaggar, la vallée de M'Zab la Saoura du Tidikelt de Gourara et du Tanezrouft. Pour cela il existe une panoplie de structures hotelières et villages touristiques des auberges et maisons traditionnelles qui relèvent des secteurs public et privé. Les opérateurs mettent le paquet pour soigner leur image de marque du tourisme saharien qui recèle de nombreuses potentialités touristiques à l'instar des lacs et des chotts, des monuments historiques comme le tombeau de Ti Hi Nan et une riche faune pour les amoureux de la chasse à la gazelle ainsi que les produits de l'artisanat traditionnel. Des métiers hérités des anciens et jalousement préservés à travers les générations qui perpétuent le travail du cuir du bijou traditionnel chez les Touaregs du Tassili des Ajjers de la tapisserie et la dinanderie de Ghardaia et du célèbre tapis d'Aflou. 27 hôtels peuvent acceuillir les touristes épris de la vallée du M'zab. 21 agences de voyages 8 locaux de tourisme et 13 associations activent dans le tourisme dans la wilaya de Ghardaia. Quant à Ouargla, 21 hôtels sont disséminés sur trois grands centres urbains à savoir Hassi Messaoud, Ouargla et Toggourt. Dans la Saoura, où l'hôtel Taghit est en rénovation, la commune vient de lancer, avec l'aide de la daïra, une opération de promotion de la zone d'expansion touristique (ZET) de Taghit, qui s'étend sur 120 ha, afin d'intéresser les investisseurs publics et privés dans cette région à vocation essentiellement touristique. Dans le Sahara central, c'est forte de son inestimable patrimoine touristique (oasis rouges), archéologique (ksour), et religieux (zaouias et mausolées), ses fabuleux fêtes et festivals locaux (Ahellil et Seboue), et l'hospitalité légendaire de ses populations, qu'Adrar a lancé les chantiers d'une vingtaine de projets pour renforcer son tissu structurel. Ces projets portent sur une dizaine de stations de repos, 5 hôtels, 2 résidences touristiques et un camping, en majorité dans le Gourara, pour accroître de quelque 600 lits la capacité d'accueil de la wilaya. Cela en plus de la mise à niveau de deux hôtels classés à Timimoun et Adrar. Les pouvoirs publics ont également entrepris une mise à niveau, actuellement en cours, de 9 établissements hôteliers classés, pour une enveloppe de près de 3 milliards de dinars. Il s'agit, des hôtels Tahat (Tamanrasset), Mehri (Ouargla), Djanoub et M'zab (Ghardaia), Louss (El-Oued), Gourara (Timimoun), Touat (Adrar), Oasis (Touggourt) et Antar (Bechar). Toutes ces actions visent à remettre sur rail le patrimoine touristique saharien Le Grand Sud a de tout temps fasciné les touristes étrangers. Mais aujourd'hui même les nationaux le découvrent et beaucoup d'entre eux l'ont choisi cette année pour les vacances scolaires et les fêtes de fin d'année. Le ministère du Tourisme en général et les chaînes d'hôtels en particulier ont réuni les conditions nécéssaires pour offrir une prise en charge de qualité et un agréable séjour dans les différents sites aux formes fantasmagoriques comme l'Ahaggar, la vallée de M'Zab la Saoura du Tidikelt de Gourara et du Tanezrouft. Pour cela il existe une panoplie de structures hotelières et villages touristiques des auberges et maisons traditionnelles qui relèvent des secteurs public et privé. Les opérateurs mettent le paquet pour soigner leur image de marque du tourisme saharien qui recèle de nombreuses potentialités touristiques à l'instar des lacs et des chotts, des monuments historiques comme le tombeau de Ti Hi Nan et une riche faune pour les amoureux de la chasse à la gazelle ainsi que les produits de l'artisanat traditionnel. Des métiers hérités des anciens et jalousement préservés à travers les générations qui perpétuent le travail du cuir du bijou traditionnel chez les Touaregs du Tassili des Ajjers de la tapisserie et la dinanderie de Ghardaia et du célèbre tapis d'Aflou. 27 hôtels peuvent acceuillir les touristes épris de la vallée du M'zab. 21 agences de voyages 8 locaux de tourisme et 13 associations activent dans le tourisme dans la wilaya de Ghardaia. Quant à Ouargla, 21 hôtels sont disséminés sur trois grands centres urbains à savoir Hassi Messaoud, Ouargla et Toggourt. Dans la Saoura, où l'hôtel Taghit est en rénovation, la commune vient de lancer, avec l'aide de la daïra, une opération de promotion de la zone d'expansion touristique (ZET) de Taghit, qui s'étend sur 120 ha, afin d'intéresser les investisseurs publics et privés dans cette région à vocation essentiellement touristique. Dans le Sahara central, c'est forte de son inestimable patrimoine touristique (oasis rouges), archéologique (ksour), et religieux (zaouias et mausolées), ses fabuleux fêtes et festivals locaux (Ahellil et Seboue), et l'hospitalité légendaire de ses populations, qu'Adrar a lancé les chantiers d'une vingtaine de projets pour renforcer son tissu structurel. Ces projets portent sur une dizaine de stations de repos, 5 hôtels, 2 résidences touristiques et un camping, en majorité dans le Gourara, pour accroître de quelque 600 lits la capacité d'accueil de la wilaya. Cela en plus de la mise à niveau de deux hôtels classés à Timimoun et Adrar. Les pouvoirs publics ont également entrepris une mise à niveau, actuellement en cours, de 9 établissements hôteliers classés, pour une enveloppe de près de 3 milliards de dinars. Il s'agit, des hôtels Tahat (Tamanrasset), Mehri (Ouargla), Djanoub et M'zab (Ghardaia), Louss (El-Oued), Gourara (Timimoun), Touat (Adrar), Oasis (Touggourt) et Antar (Bechar). Toutes ces actions visent à remettre sur rail le patrimoine touristique saharien