Deux jours après avoir été détourné par les pirates somaliens, rien n'a filtré à propos du navire «MV Blida» qui a été attaqué, samedi dernier, à 150 miles nautiques au sud-est du port de Salalah (Oman) alors qu'il se rendait au port de Mombasa au Kenya. Deux jours après avoir été détourné par les pirates somaliens, rien n'a filtré à propos du navire «MV Blida» qui a été attaqué, samedi dernier, à 150 miles nautiques au sud-est du port de Salalah (Oman) alors qu'il se rendait au port de Mombasa au Kenya. Aucune communication, n'est possible avec les 27 membres de l'équipage pris en otage. Silence radio. Du reste, le directeur général de la société IBC, armateur du «MV Blida», Nacer Mansour, a confirmé, hier, sur les ondes de la Radio algérienne, les doutes émis par tous. Il dira à ce sujet qu'«aucun contact n'a été établi avec les pirates depuis samedi», avant d'ajouter de ce fait, que «les moyens de communications sont coupés et à l'heure où je vous parle aucun contact n'a été établi avec le navire». Il faut savoir également que, de son côté, l'EUNAVFOR Somalia, la Mission européenne de lutte contre la piraterie, qui a signalé l'attaque contre le vraquier battant pavillon algérien, a indiqué ignorer encore les circonstances et les détails de l'attaque. En règle générale, ce sont les ravisseurs qui rompent leur silence et prennent contact en premier, pour exiger une rançon en échange de la libération des otages. Cette prise d'otage remet sur la table la question du paiement des rançons. La position de l'Algérie, à ce sujet, est connue. Aucun paiement de rançons à des ravisseurs n'est toléré. Maintenant, il est clair qu'il en va de la vie des 17 citoyens algériens de l'équipage du « MV Blida ». Ni la CNAN, ni le groupe jordanien CTI ne se sont encore prononcés à ce propos. Pour le moment, une cellule de crise a été installée au niveau du ministère des Affaires étrangères pour suivre de près les moindres détails relatifs aux développements de l'affaire, a-t-on indiqué auprès de cette même institution. Le navire, qui est la propriété de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), a été affrété pour le compte du groupe jordanien CTI et transportait une cargaison de céréales, a précisé le département de Mourad Medelci. A son bord, 17 personnes de nationalité algérienne. Le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne. Les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1), a signalé un communiqué du ministère des Affaires étrangères, dimanche soir. Aucune communication, n'est possible avec les 27 membres de l'équipage pris en otage. Silence radio. Du reste, le directeur général de la société IBC, armateur du «MV Blida», Nacer Mansour, a confirmé, hier, sur les ondes de la Radio algérienne, les doutes émis par tous. Il dira à ce sujet qu'«aucun contact n'a été établi avec les pirates depuis samedi», avant d'ajouter de ce fait, que «les moyens de communications sont coupés et à l'heure où je vous parle aucun contact n'a été établi avec le navire». Il faut savoir également que, de son côté, l'EUNAVFOR Somalia, la Mission européenne de lutte contre la piraterie, qui a signalé l'attaque contre le vraquier battant pavillon algérien, a indiqué ignorer encore les circonstances et les détails de l'attaque. En règle générale, ce sont les ravisseurs qui rompent leur silence et prennent contact en premier, pour exiger une rançon en échange de la libération des otages. Cette prise d'otage remet sur la table la question du paiement des rançons. La position de l'Algérie, à ce sujet, est connue. Aucun paiement de rançons à des ravisseurs n'est toléré. Maintenant, il est clair qu'il en va de la vie des 17 citoyens algériens de l'équipage du « MV Blida ». Ni la CNAN, ni le groupe jordanien CTI ne se sont encore prononcés à ce propos. Pour le moment, une cellule de crise a été installée au niveau du ministère des Affaires étrangères pour suivre de près les moindres détails relatifs aux développements de l'affaire, a-t-on indiqué auprès de cette même institution. Le navire, qui est la propriété de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), a été affrété pour le compte du groupe jordanien CTI et transportait une cargaison de céréales, a précisé le département de Mourad Medelci. A son bord, 17 personnes de nationalité algérienne. Le capitaine du navire ainsi que 5 membres d'équipage sont de nationalité ukrainienne. Les 4 autres membres sont de nationalité philippine (2), jordanienne (1) et indonésienne (1), a signalé un communiqué du ministère des Affaires étrangères, dimanche soir.