Des experts et responsables de pays africains en matière de développement des énergies renouvelables ont débattu, hier à l'hôtel Hilton d'Alger, les opportunités et les moyens de développer la génération et l'utilisation des énergies renouvelables, particulièrement le solaire et le photovoltaïque, sachant que l'Afrique renferme des possibilités importantes dans le domaine de la production de l'électricité à partir de l'énergie solaire. Des experts et responsables de pays africains en matière de développement des énergies renouvelables ont débattu, hier à l'hôtel Hilton d'Alger, les opportunités et les moyens de développer la génération et l'utilisation des énergies renouvelables, particulièrement le solaire et le photovoltaïque, sachant que l'Afrique renferme des possibilités importantes dans le domaine de la production de l'électricité à partir de l'énergie solaire. L‘atelier sur l‘exploitation du potentiel d‘énergie solaire du désert et du Sahara pour la production d‘électricité s‘inscrit, notamment, dans la perspective d‘optimiser cette industrie florissante de l‘énergie solaire sachant que l‘Algérie produit, actuellement, plus de 5 % de son électricité avec la source solaire, alors que d‘ici 2020, les pouvoirs publics tablent sur 40 % de production d‘électricité d‘origine solaire. De nombreux participants de pays africains et européens ont pris part à cette rencontre organisée par la Commission africaine de l‘énergie. Il s‘agit d‘experts de renommée internationale, tels que l‘Algérien Mostefa Kara, directeur de l‘Agence nationale des changements climatiques (ANCC). L‘importance de cet atelier a regroupé des spécialistes et séminaristes venus du Maroc, de Tunisie, de Lybie et d‘Egypte, mais également du Nigeria, du Sénégal, du Burkina Faso et du Bénin. D‘autres pays, notamment, l‘Afrique du Sud, la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et l‘Ethiopie, ainsi que le Soudan, ont également été représentés lors de cette rencontre où l‘examen des opportunités de coopération dans le domaine de l‘énergie solaire était le point dominant. Les autres entités participantes sont le CREG (commission de régulation de l‘électricité et du gaz) dont le rôle essentiel consiste à "veiller au fonctionnement concurrentiel et transparent du marché de l‘électricité et du marché national du gaz, dans l‘intérêt des consommateurs et de celui des opérateurs", et le CREDEG (centre de recherche et de développement d‘électricité et du gaz) qui est une filiale du groupe Sonelgaz. Sa mission primordiale se situe au niveau de la recherche appliquée, le développement technologique, et les services techniques relatifs à l‘expertise des équipements industriels et au contrôle de la qualité des matériaux et produits des équipements pour ce qui concerne leur fabrication, leur construction et leur exploitation en fonctionnement et leur comportement au sein de leur environnement et ce principalement dans le domaine des métiers de base de Sonelgaz. Il s‘agit de production, de transport et de distribution de l‘électricité, et le transport et distribution du gaz par canalisations. Les experts estiment "qu‘en matière d‘énergies renouvelables, c‘est que l‘investissement qui est cher au début du lancement des projets de développement solaire, mais les gains et les avantages sont importants et rentables sur le long terme". Rappelons que le ministre de l‘Energie et des Mines, Youcef Yousfi, qui a présenté, hier au Conseil du gouvernement, la politique énergétique nationale en matière solaire, a affirmé récemment qu‘une soixantaine de projets et une usine de silicium pour fabriquer des cellules solaires seront prêtes en 2016. Les potentialités nationales en matière solaire sont immenses dans la mesure où le soleil brille durant plus de 3.200 heures par an dans certaines régions du pays, tel que le Sahara où des populations nomades ont déjà commencé à utiliser les pannaeux solaires pour la génération d‘électricité. L‘atelier sur l‘exploitation du potentiel d‘énergie solaire du désert et du Sahara pour la production d‘électricité s‘inscrit, notamment, dans la perspective d‘optimiser cette industrie florissante de l‘énergie solaire sachant que l‘Algérie produit, actuellement, plus de 5 % de son électricité avec la source solaire, alors que d‘ici 2020, les pouvoirs publics tablent sur 40 % de production d‘électricité d‘origine solaire. De nombreux participants de pays africains et européens ont pris part à cette rencontre organisée par la Commission africaine de l‘énergie. Il s‘agit d‘experts de renommée internationale, tels que l‘Algérien Mostefa Kara, directeur de l‘Agence nationale des changements climatiques (ANCC). L‘importance de cet atelier a regroupé des spécialistes et séminaristes venus du Maroc, de Tunisie, de Lybie et d‘Egypte, mais également du Nigeria, du Sénégal, du Burkina Faso et du Bénin. D‘autres pays, notamment, l‘Afrique du Sud, la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et l‘Ethiopie, ainsi que le Soudan, ont également été représentés lors de cette rencontre où l‘examen des opportunités de coopération dans le domaine de l‘énergie solaire était le point dominant. Les autres entités participantes sont le CREG (commission de régulation de l‘électricité et du gaz) dont le rôle essentiel consiste à "veiller au fonctionnement concurrentiel et transparent du marché de l‘électricité et du marché national du gaz, dans l‘intérêt des consommateurs et de celui des opérateurs", et le CREDEG (centre de recherche et de développement d‘électricité et du gaz) qui est une filiale du groupe Sonelgaz. Sa mission primordiale se situe au niveau de la recherche appliquée, le développement technologique, et les services techniques relatifs à l‘expertise des équipements industriels et au contrôle de la qualité des matériaux et produits des équipements pour ce qui concerne leur fabrication, leur construction et leur exploitation en fonctionnement et leur comportement au sein de leur environnement et ce principalement dans le domaine des métiers de base de Sonelgaz. Il s‘agit de production, de transport et de distribution de l‘électricité, et le transport et distribution du gaz par canalisations. Les experts estiment "qu‘en matière d‘énergies renouvelables, c‘est que l‘investissement qui est cher au début du lancement des projets de développement solaire, mais les gains et les avantages sont importants et rentables sur le long terme". Rappelons que le ministre de l‘Energie et des Mines, Youcef Yousfi, qui a présenté, hier au Conseil du gouvernement, la politique énergétique nationale en matière solaire, a affirmé récemment qu‘une soixantaine de projets et une usine de silicium pour fabriquer des cellules solaires seront prêtes en 2016. Les potentialités nationales en matière solaire sont immenses dans la mesure où le soleil brille durant plus de 3.200 heures par an dans certaines régions du pays, tel que le Sahara où des populations nomades ont déjà commencé à utiliser les pannaeux solaires pour la génération d‘électricité.