La ville d'El Ayoun, capitale occupée du Sahara occidental, a connu certaines protestations, au courant de la semaine. Et pour cause, la population sahraouie a campé, à maintes reprises, devant le siège de la cour de justice de la même ville. Mardi, un deuxième groupe composé de dix prisonniers politiques sahraouis arrêtés pour leur participation au camp de protestation de Gdeim Izik, a comparu devant le juge de la Cour coloniale d'appel à El Ayoun, après 2 mois de détention, a rapporté une source judiciaire sahraouie. Ce groupe est le deuxième du genre à comparaître devant le même tribunal en moins de deux jours, d'une liste estimée à 160 prisonniers sahraouis arrêtés dans le cadre d'une campagne d'arrestations et de harcèlement menée par les services de renseignements marocains après l'assaut de l'armée marocaine pour le démantèlement du camp de Gdeim Izik, le 8 novembre dernier. Plusieurs familles de détenus, apprend-on, ont protesté mardi devant l'administration coloniale à El Ayoun exigeant la libération de leurs fils soumis à la torture et au harcèlement de la part des geôliers de la Carcel Negra (prison noire) de la ville d'El Ayoun. Lundi dernier, pour rappel, un premier groupe, composé de 8 prisonniers sahraouis, arrêtés dans les mêmes circonstances en novembre dernier, a comparu lui aussi devant cette même cour d'appel. La ville d'El Ayoun, capitale occupée du Sahara occidental, a connu certaines protestations, au courant de la semaine. Et pour cause, la population sahraouie a campé, à maintes reprises, devant le siège de la cour de justice de la même ville. Mardi, un deuxième groupe composé de dix prisonniers politiques sahraouis arrêtés pour leur participation au camp de protestation de Gdeim Izik, a comparu devant le juge de la Cour coloniale d'appel à El Ayoun, après 2 mois de détention, a rapporté une source judiciaire sahraouie. Ce groupe est le deuxième du genre à comparaître devant le même tribunal en moins de deux jours, d'une liste estimée à 160 prisonniers sahraouis arrêtés dans le cadre d'une campagne d'arrestations et de harcèlement menée par les services de renseignements marocains après l'assaut de l'armée marocaine pour le démantèlement du camp de Gdeim Izik, le 8 novembre dernier. Plusieurs familles de détenus, apprend-on, ont protesté mardi devant l'administration coloniale à El Ayoun exigeant la libération de leurs fils soumis à la torture et au harcèlement de la part des geôliers de la Carcel Negra (prison noire) de la ville d'El Ayoun. Lundi dernier, pour rappel, un premier groupe, composé de 8 prisonniers sahraouis, arrêtés dans les mêmes circonstances en novembre dernier, a comparu lui aussi devant cette même cour d'appel.