Après presque 2 mois de fermeture, la galerie Racim d'Alger a rouvert ses portes en réunissant un bel ensemble de tableaux pour la majorité appartenant aux précurseurs de l'art plastique algériens. Après presque 2 mois de fermeture, la galerie Racim d'Alger a rouvert ses portes en réunissant un bel ensemble de tableaux pour la majorité appartenant aux précurseurs de l'art plastique algériens. Le vernissage de l'exposition qui a eu lieu jeudi, en fin d'après midi, a été fait dans la limite de la discrétion par crainte des émeutes dont la rue est devenue le théâtre ces derniers jours. Le rideau à demi baissé, sauf une poignée de curieux et les gens de la presse ont daigné franchir le seuil. « Nous voulons à travers cette exposition rappeler le souvenir d'artistes de la première génération dont beaucoup ne sont pas de ce monde » a indiqué lors de la collation de bienvenue Abdelhamid Aroussi, président de l'Union nationale des arts culturels (UNAC), organisme, initiateur de l'exposition. Et de rappeler que « nous avons perdu cette année (2010, ndlr) 7 artistes peintres, Ali Khodja, Mahieddine Cherrad, Mohamed Djenidi, Khaled Kouidri, Salem, Omar Zermane et Ali Gadouchi». En somme l'exposition a réuni les tableaux de 46 peintres, lesquels ont été accrochés malheureusement dans une galerie sans visiteurs, en attendant des jours meilleurs, sachant que l'exposition doit se poursuivre jusqu'au 13 janvier. Située à l'Avenue Pasteur, la galerie Racim, qui occupe le rez-de-chaussée d'un bâtiment a fait les frais des fuites d'eau dues à la vétusté de la canalisation qui provient du voisinage explique le président de l'UNAC. Des chefs-d'œuvre en la matière y sont alignés, comme les toiles de Baya, de Mesli, de Martinez, de Bouzid, Chegrane, Samsom, Arroussi, Nezzar, Chender, Stambouli, etc. Les toiles d'Issiakhem ne s'y trouvent pas car la galerie les a prêtées au Mama (Musée national d'art moderne et contemporain d'Alger) a précisé le président de l'INAC. « Le marché de l'art en Algérie connaît actuellement une régression notable, les gens n'achètent pas encore, l'art n'est pas encore un besoin » a-t-il noté avec amertume. « Il y a beaucoup de choses à revoir » a-t-il ajouté en faisant allusion aux conditions sociales qui prévalent dans le pays. Sur un tout autre ordre d'idées, rappelons qu'un salon du collectionneur s'ouvrira aujourd'hui à 15h au centre des loisirs scientifiques de la rue Didouche Mourad. 10 collectionneurs vont présenter leurs meilleures pièces en rapport avec les collections de timbres postes, cartes postales, bijoux berbères, pins, monnaies anciennes et dinanderie. Le vernissage de l'exposition qui a eu lieu jeudi, en fin d'après midi, a été fait dans la limite de la discrétion par crainte des émeutes dont la rue est devenue le théâtre ces derniers jours. Le rideau à demi baissé, sauf une poignée de curieux et les gens de la presse ont daigné franchir le seuil. « Nous voulons à travers cette exposition rappeler le souvenir d'artistes de la première génération dont beaucoup ne sont pas de ce monde » a indiqué lors de la collation de bienvenue Abdelhamid Aroussi, président de l'Union nationale des arts culturels (UNAC), organisme, initiateur de l'exposition. Et de rappeler que « nous avons perdu cette année (2010, ndlr) 7 artistes peintres, Ali Khodja, Mahieddine Cherrad, Mohamed Djenidi, Khaled Kouidri, Salem, Omar Zermane et Ali Gadouchi». En somme l'exposition a réuni les tableaux de 46 peintres, lesquels ont été accrochés malheureusement dans une galerie sans visiteurs, en attendant des jours meilleurs, sachant que l'exposition doit se poursuivre jusqu'au 13 janvier. Située à l'Avenue Pasteur, la galerie Racim, qui occupe le rez-de-chaussée d'un bâtiment a fait les frais des fuites d'eau dues à la vétusté de la canalisation qui provient du voisinage explique le président de l'UNAC. Des chefs-d'œuvre en la matière y sont alignés, comme les toiles de Baya, de Mesli, de Martinez, de Bouzid, Chegrane, Samsom, Arroussi, Nezzar, Chender, Stambouli, etc. Les toiles d'Issiakhem ne s'y trouvent pas car la galerie les a prêtées au Mama (Musée national d'art moderne et contemporain d'Alger) a précisé le président de l'INAC. « Le marché de l'art en Algérie connaît actuellement une régression notable, les gens n'achètent pas encore, l'art n'est pas encore un besoin » a-t-il noté avec amertume. « Il y a beaucoup de choses à revoir » a-t-il ajouté en faisant allusion aux conditions sociales qui prévalent dans le pays. Sur un tout autre ordre d'idées, rappelons qu'un salon du collectionneur s'ouvrira aujourd'hui à 15h au centre des loisirs scientifiques de la rue Didouche Mourad. 10 collectionneurs vont présenter leurs meilleures pièces en rapport avec les collections de timbres postes, cartes postales, bijoux berbères, pins, monnaies anciennes et dinanderie.