Des salariés travaillant dans des entreprises étatiques ou privées viennent d'être mis en chômage technique. A qui la faute ? A la contestation populaire qui a déferlé dans les rues et qui a saccagé tout sur son passage suite à la hausse surprenante des prix de l'huile et du sucre. Et qui paie la note ? Les travailleurs n'avaient vraiment pas besoin de cette interruption temporaire d'activité qui se fera sentir sur la fiche de paie. Les émeutiers y ont-ils pensé un moment ? Non car la raison n'était pas de mise ces jours-là. Les responsables de certaines entreprises se sont vus obligés de fermer pour entreprendre les réparations des dégâts causés par les émeutier. A Baraki, des sociétés ont fermé leurs portes, à l'exemple de l'entreprise spécialisée dans les métaux précieux « AGENOR » . Cette dernière est en rénovation. Selon une responsable, AGENOR a été saccagée et un agent blessé. « Pour l'heure, il faut régler les problèmes techniques, ensuite on verra pour les salariés quand ces derniers pourront reprendre leur activité. C'est dommage que cela ce soit passé de cette façon, parce qu'il y a des manières plus civilisées et qui peuvent aboutir pour débloquer la situation, car casser ne fera qu'aggraver les conditions de vie, déjà pénibles, que vivent les Algériens » s'est exclamée cette responsable. Plus de 3000 salariés se retrouvent ainsi au chômage subitement et se retrouvent dans le désarroi. Les émeutiers ont saccagé et incendié les outils de travail de tous ces chefs de famille qui ont des bouches à nourrir. A Baraki, les heurts les plus violents ont été enregistrés au niveau de la poste, les manifestants voulant accéder à l'intérieur. Il n'y a pas que les biens de l'Etat qui a ont été pillés, plusieurs entreprises privées aussi ont subi le même sort comme l'entreprise française Renault. Des voitures du concessionnaire ainsi que d'autres modèles de véhicules de différentes marques ont été carbonisés. A proximité de cette société, un magasin qui fait dans la vente de tissu a été vandalisé et pillé. Là encore, ce sont des pères de famille qui sont mis d'office en chômage, une situation dramatique que vont vivre ces familles qui n'auront pas de revenus à la fin du mois. Le mal est fait. Et la fracture de la misère sociale plus grande. A qui la faute ? Des salariés travaillant dans des entreprises étatiques ou privées viennent d'être mis en chômage technique. A qui la faute ? A la contestation populaire qui a déferlé dans les rues et qui a saccagé tout sur son passage suite à la hausse surprenante des prix de l'huile et du sucre. Et qui paie la note ? Les travailleurs n'avaient vraiment pas besoin de cette interruption temporaire d'activité qui se fera sentir sur la fiche de paie. Les émeutiers y ont-ils pensé un moment ? Non car la raison n'était pas de mise ces jours-là. Les responsables de certaines entreprises se sont vus obligés de fermer pour entreprendre les réparations des dégâts causés par les émeutier. A Baraki, des sociétés ont fermé leurs portes, à l'exemple de l'entreprise spécialisée dans les métaux précieux « AGENOR » . Cette dernière est en rénovation. Selon une responsable, AGENOR a été saccagée et un agent blessé. « Pour l'heure, il faut régler les problèmes techniques, ensuite on verra pour les salariés quand ces derniers pourront reprendre leur activité. C'est dommage que cela ce soit passé de cette façon, parce qu'il y a des manières plus civilisées et qui peuvent aboutir pour débloquer la situation, car casser ne fera qu'aggraver les conditions de vie, déjà pénibles, que vivent les Algériens » s'est exclamée cette responsable. Plus de 3000 salariés se retrouvent ainsi au chômage subitement et se retrouvent dans le désarroi. Les émeutiers ont saccagé et incendié les outils de travail de tous ces chefs de famille qui ont des bouches à nourrir. A Baraki, les heurts les plus violents ont été enregistrés au niveau de la poste, les manifestants voulant accéder à l'intérieur. Il n'y a pas que les biens de l'Etat qui a ont été pillés, plusieurs entreprises privées aussi ont subi le même sort comme l'entreprise française Renault. Des voitures du concessionnaire ainsi que d'autres modèles de véhicules de différentes marques ont été carbonisés. A proximité de cette société, un magasin qui fait dans la vente de tissu a été vandalisé et pillé. Là encore, ce sont des pères de famille qui sont mis d'office en chômage, une situation dramatique que vont vivre ces familles qui n'auront pas de revenus à la fin du mois. Le mal est fait. Et la fracture de la misère sociale plus grande. A qui la faute ?