Quelque 1.894 locaux à usage professionnel, en cours de réalisation à travers les différentes localités de la wilaya de Tizi-Ouzou, devraient, selon les prévisions, être réceptionnés durant l'année 2011, a-t-on indiqué auprès de la Direction du logement et des équipements publics. Quelque 1.894 locaux à usage professionnel, en cours de réalisation à travers les différentes localités de la wilaya de Tizi-Ouzou, devraient, selon les prévisions, être réceptionnés durant l'année 2011, a-t-on indiqué auprès de la Direction du logement et des équipements publics. Ce lot de locaux fait partie d'un programme de 6.700 unités allouées à la wilaya en vertu du quinquennal 2005-2009 destinées à "accompagner" les projets initiés par des jeunes sans emploi, par le biais des différents dispositifs d'investissement, a précisé le DLEP. Selon un planning établi par la DLEP, 652 locaux seront réceptionnés le 1er trimestre de l'année en cours, 752 autres pour le second trimestre. 133 et 357 locaux devraient être respectivement réceptionnés les troisième et quatrième trimestre 2011. Le programme a été mis en oeuvre en 2006 et a nécessite une enveloppe de plus de six milliards de dinars. 2013 locaux à usage professionnel ont été réalisés, dont 724 en 2010, 2713 autres locaux sont en cours de réalisation et 1033 autres unités sont en voie de lancement. Selon la même source, d'autres unités nécessitent une réévaluation alors que pour d'autres, le chantier est à l'arrêt. Le retard enregistré dans la réalisation de cet ambitieux projet est en partie imputable à un ensemble de contraintes liées notamment à la rareté du foncier, la morphologie accidentée d'une partie de terrains disponibles, l'insuffisance des dossiers de maturation des études préalables au lancement des travaux de réalisation, des terrains d'assiette traversés par diverses servitudes (lignes électriques, conduites d'AEP et d'assainissement). Cette situation a conduit le maître d'ouvrage (DLEP) à opter pour le changement de sites de réalisation de locaux, avec une réadaptation des études des projets délocalisés. Le retard accusé dans la concrétisation de ce programme est causé par "le manque d'entreprises qualifiées et le désistement d'autres au motif d'insuffisance des enveloppes de réalisation", selon le DLEP. Des demandes de réévaluation des coûts des projets ont été introduites par certaines entreprises au motif que les estimations initiales ''n'ont pas tenu compte des surcoûts induits par des travaux supplémentaires, nécessités par les spécificités du terrain". Pour faire face à cette contrainte, des élus de l'APW ont jugé "opportun" de chercher d'autres sources de financement de ces projets en souffrance, sachant que les projets financés sur le Fonds commun des collectivités locales (FCCL), comme c'est le cas pour ce programme, ne peuvent pas faire l'objet d'une réévaluation. D'autre part, la DLEP a suggéré de subordonner, à l'avenir, toute affectation de projet à la disponibilité d'assiettes foncières, estimant que toute délocalisation de projet est synonyme de "glissement sur les délais impartis de réalisation". Le wali a recommandé à la faveur d'une visite d'inspection d'une partie des projets dans la daïra de Bouzguene de confier l'opération d'attribution de ces locaux à des commissions communales "plus proches de la réalité des postulants" Ce lot de locaux fait partie d'un programme de 6.700 unités allouées à la wilaya en vertu du quinquennal 2005-2009 destinées à "accompagner" les projets initiés par des jeunes sans emploi, par le biais des différents dispositifs d'investissement, a précisé le DLEP. Selon un planning établi par la DLEP, 652 locaux seront réceptionnés le 1er trimestre de l'année en cours, 752 autres pour le second trimestre. 133 et 357 locaux devraient être respectivement réceptionnés les troisième et quatrième trimestre 2011. Le programme a été mis en oeuvre en 2006 et a nécessite une enveloppe de plus de six milliards de dinars. 2013 locaux à usage professionnel ont été réalisés, dont 724 en 2010, 2713 autres locaux sont en cours de réalisation et 1033 autres unités sont en voie de lancement. Selon la même source, d'autres unités nécessitent une réévaluation alors que pour d'autres, le chantier est à l'arrêt. Le retard enregistré dans la réalisation de cet ambitieux projet est en partie imputable à un ensemble de contraintes liées notamment à la rareté du foncier, la morphologie accidentée d'une partie de terrains disponibles, l'insuffisance des dossiers de maturation des études préalables au lancement des travaux de réalisation, des terrains d'assiette traversés par diverses servitudes (lignes électriques, conduites d'AEP et d'assainissement). Cette situation a conduit le maître d'ouvrage (DLEP) à opter pour le changement de sites de réalisation de locaux, avec une réadaptation des études des projets délocalisés. Le retard accusé dans la concrétisation de ce programme est causé par "le manque d'entreprises qualifiées et le désistement d'autres au motif d'insuffisance des enveloppes de réalisation", selon le DLEP. Des demandes de réévaluation des coûts des projets ont été introduites par certaines entreprises au motif que les estimations initiales ''n'ont pas tenu compte des surcoûts induits par des travaux supplémentaires, nécessités par les spécificités du terrain". Pour faire face à cette contrainte, des élus de l'APW ont jugé "opportun" de chercher d'autres sources de financement de ces projets en souffrance, sachant que les projets financés sur le Fonds commun des collectivités locales (FCCL), comme c'est le cas pour ce programme, ne peuvent pas faire l'objet d'une réévaluation. D'autre part, la DLEP a suggéré de subordonner, à l'avenir, toute affectation de projet à la disponibilité d'assiettes foncières, estimant que toute délocalisation de projet est synonyme de "glissement sur les délais impartis de réalisation". Le wali a recommandé à la faveur d'une visite d'inspection d'une partie des projets dans la daïra de Bouzguene de confier l'opération d'attribution de ces locaux à des commissions communales "plus proches de la réalité des postulants"