Des diplomates auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) se sont rendus, hier, en Iran à l'invitation des autorités iraniennes pour visiter les sites nucléaires du pays, ont rapporté des médias. Dans une déclaration citée par l'agence Fars, l'ambassadeur d'Iran auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, a affirmé que des représentants de "la troïka des pays non alignés, le groupe des 77, la Ligue arabe, la Syrie, le Venezuela et Oman, participent à cette visite". Ces diplomates visiteront, notamment, deux sites nucléaires du pays. Une visite qui témoigne d'"un nouveau signe de bonne volonté" dans le cadre de la coopération entre l'Iran et l'AIEA, avait souligné le porte-parole iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparasrt. "Nous révélerons deux nouveaux succès nucléaires dans le domaine médical lors de la visite à Arak", a indiqué, de son côté, le chef par intérim de la diplomatie iranienne, Ali Akbar Salehi, qui dirige également l'Organisation iranienne de l'énergie atomique. L'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne) doivent se retrouver les 21 et 22 janvier à Istanbul pour reprendre les discussions nucléaires. Les Occidentaux accusent l'Iran de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert d'un programme civil. Mais Téhéran rejette ces accusations, insistant sur le caractère purement civil et pacifique de ses activités d'enrichissement. Elle était chargé de superviser l'après-guerre. Des diplomates auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) se sont rendus, hier, en Iran à l'invitation des autorités iraniennes pour visiter les sites nucléaires du pays, ont rapporté des médias. Dans une déclaration citée par l'agence Fars, l'ambassadeur d'Iran auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, a affirmé que des représentants de "la troïka des pays non alignés, le groupe des 77, la Ligue arabe, la Syrie, le Venezuela et Oman, participent à cette visite". Ces diplomates visiteront, notamment, deux sites nucléaires du pays. Une visite qui témoigne d'"un nouveau signe de bonne volonté" dans le cadre de la coopération entre l'Iran et l'AIEA, avait souligné le porte-parole iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparasrt. "Nous révélerons deux nouveaux succès nucléaires dans le domaine médical lors de la visite à Arak", a indiqué, de son côté, le chef par intérim de la diplomatie iranienne, Ali Akbar Salehi, qui dirige également l'Organisation iranienne de l'énergie atomique. L'Iran et les grandes puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne) doivent se retrouver les 21 et 22 janvier à Istanbul pour reprendre les discussions nucléaires. Les Occidentaux accusent l'Iran de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert d'un programme civil. Mais Téhéran rejette ces accusations, insistant sur le caractère purement civil et pacifique de ses activités d'enrichissement. Elle était chargé de superviser l'après-guerre.