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Grave détérioration du cadre de vie
Bouzareah, Quartier Blad El-Fedh
Publié dans Le Midi Libre le 17 - 01 - 2011

Des travaux inachevés ou encore présentant d'importantes malfaçons, cela fait partie du triste quotidien de certaines localités algéroises, particulièrement celles se trouvant loin des feux de la rampe. Ces situations ne manquent pas de se répercuter négativement sur le quotidien des familles qui voient ainsi, jour après jour leur cadre de vie se détériorer. C'est le cas pour les résidants du quartier Blad El-Fedh situé dans l'agglomération urbaine de Bouzareah. Là la patience des familles a atteint ses lmites en attendant depuis de très longues années le réglement des innombrables problèmes qui font de leur vie un calvaire au quotidien. Les derniers chantiers, mis en place voilà plus de six mois, ne sont toujours pas achevés et soumettent les nerfs des citoyens à rude épreuve . L'arrivée de la nouvelle année 2011 n'a amené aucun changement positif pour les familles qui n'en peuvent plus de cette longue attente pour une amélioration, aussi minime, soit-elle, dans leur environnement. Rues non goudronnés et canalisations d'eau exposées à ciel ouvert, sont parmi les principaux points et désagréments denoncés en vain, il faut le dire, par les familles. Cette situation constitue pourtant, à n'en pas douter, un réel danger sur la santé des habitants. La détérioration des rues de ce quartier oublié, intervient il faut le rappeler, en raison d'un énième chantier inaboutis mené dans ce quartier. Un chantier, entamé l'été dernier, et qui avait pour vocation le raccordement des foyers au réseau de l'eau courante. Cette situation délétère s'aggrave à la moindre averse que dire des pluies diluvienne, connues voilà quelques semaines, et surtout il ne faut pas oublier que nous sommes en hiver, donc des intempéries ne sont pas à écarter. La majorité des résidants du quartier Blad El-Fedh s'accorde à dire : «Nos élus n'accordent aucune importance à notre quartier sinon ils se seraient inquiété du devenir de ce chantier laissé en plan». Ces nouvelles canalisations, du fait qu'elles n'aient pas été recouvertes, sont à présent exposées à l'air libre, représentant ainsi une source idéale pour la prolifération des bactéries et donc des maladies à transmission hydrique.
Cette crainte a obligé les familles à recourir, pour ceux qui le peuvent, à l'achat d'eau de source ou d'eau minérale, pendant que les autres se contentent de la faire bouillir pour écarter tout danger. Une mère de famille intérrogé à ce propos nous dira avec colère : «Jusqu'à quand continuerons-nous à subir les désagréments causés par l'«irresponsabilité» de nos élus. Il est vraiment grand temps temps qu'ils se réveillent et prêtent une oreille à nos revendications légitimes».
Les habitants de Blad El-Fedh expriment ainsi un malaise général devant des conditions de vie qui ne cessent de se dégrader et lancent un énième appel aux autorités communales leur demandant de prendre en considération leurs revendication, ils pointent ainsi du doigt les services de l'assemblée populaire communale les appellant à prendre leurs responsabilités.
Des travaux inachevés ou encore présentant d'importantes malfaçons, cela fait partie du triste quotidien de certaines localités algéroises, particulièrement celles se trouvant loin des feux de la rampe. Ces situations ne manquent pas de se répercuter négativement sur le quotidien des familles qui voient ainsi, jour après jour leur cadre de vie se détériorer. C'est le cas pour les résidants du quartier Blad El-Fedh situé dans l'agglomération urbaine de Bouzareah. Là la patience des familles a atteint ses lmites en attendant depuis de très longues années le réglement des innombrables problèmes qui font de leur vie un calvaire au quotidien. Les derniers chantiers, mis en place voilà plus de six mois, ne sont toujours pas achevés et soumettent les nerfs des citoyens à rude épreuve . L'arrivée de la nouvelle année 2011 n'a amené aucun changement positif pour les familles qui n'en peuvent plus de cette longue attente pour une amélioration, aussi minime, soit-elle, dans leur environnement. Rues non goudronnés et canalisations d'eau exposées à ciel ouvert, sont parmi les principaux points et désagréments denoncés en vain, il faut le dire, par les familles. Cette situation constitue pourtant, à n'en pas douter, un réel danger sur la santé des habitants. La détérioration des rues de ce quartier oublié, intervient il faut le rappeler, en raison d'un énième chantier inaboutis mené dans ce quartier. Un chantier, entamé l'été dernier, et qui avait pour vocation le raccordement des foyers au réseau de l'eau courante. Cette situation délétère s'aggrave à la moindre averse que dire des pluies diluvienne, connues voilà quelques semaines, et surtout il ne faut pas oublier que nous sommes en hiver, donc des intempéries ne sont pas à écarter. La majorité des résidants du quartier Blad El-Fedh s'accorde à dire : «Nos élus n'accordent aucune importance à notre quartier sinon ils se seraient inquiété du devenir de ce chantier laissé en plan». Ces nouvelles canalisations, du fait qu'elles n'aient pas été recouvertes, sont à présent exposées à l'air libre, représentant ainsi une source idéale pour la prolifération des bactéries et donc des maladies à transmission hydrique.
Cette crainte a obligé les familles à recourir, pour ceux qui le peuvent, à l'achat d'eau de source ou d'eau minérale, pendant que les autres se contentent de la faire bouillir pour écarter tout danger. Une mère de famille intérrogé à ce propos nous dira avec colère : «Jusqu'à quand continuerons-nous à subir les désagréments causés par l'«irresponsabilité» de nos élus. Il est vraiment grand temps temps qu'ils se réveillent et prêtent une oreille à nos revendications légitimes».
Les habitants de Blad El-Fedh expriment ainsi un malaise général devant des conditions de vie qui ne cessent de se dégrader et lancent un énième appel aux autorités communales leur demandant de prendre en considération leurs revendication, ils pointent ainsi du doigt les services de l'assemblée populaire communale les appellant à prendre leurs responsabilités.


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