Le président de la République Abdelaziz Bouteflika est depuis hier en Egypte à l'invitation de son homologue égyptien, Hosni Moubarak pour prendre part au 2e Sommet économique arabe dont les travaux débutent aujourd'hui à Charm El-Cheikh. Le sommet procèdera à un suivi de la mise en œuvre des recommandations du Sommet de Koweït portant, notamment, sur l'interconnexion électrique, ferroviaire, terrestre et aérienne dans la région arabe, la création d'une union arabe des Douanes, la sécurité alimentaire et en matière de ressources hydriques, les répercussions de la crise mondiale, l'enseignement et la lutte contre la pauvreté et le chômage. Il s'agira, également, d'examiner, de nouveaux dossiers, dont l'interconnexion maritime, en vue de favoriser les échanges interarabes, l'interconnexion des réseaux Internet et la relance de l'initiative de banques internationales pour soutenir les projets prioritaires de développement dans la région, notamment dans le domaine du développement humain, l'investissement et la création d'emplois. D'autre part la situation, prévalant actuellement en Tunisie, sera au menu du sommet, selon le secrétaire général de la Ligue arabe qui souhaite la participation de ce pays à ce rendez-vous. Trois forums sont prévus, en marge du sommet, consacrés aux hommes d'affaires, à la société civile et aux jeunes. Les conclusions de ces forums seront soumises au sommet. L'idée d'organiser un sommet économique et social a germé lors du Sommet ordinaire de Ryadh en 2007, les pays arabes étant toujours confrontés à des problèmes économiques et sociaux, tels que le chômage, la faiblesse des échanges commerciaux interarabes et un déficit en infrastructures dans plusieurs pays de la région. Lors du 1er sommet, la Déclaration de Koweït avait souligné la nécessité de conférer un caractère prioritaire aux investissements arabes communs, d'offrir davantage d'opportunités au secteur privé et à la société civile pour leur permettre de contribuer au processus de croissance et de développement socio-économique de la région. Le sommet avait adopté plusieurs projets dans le cadre de l'intégration, réalisables dans des domaines comme les infrastructures, la gestion des ressources et la sécurité alimentaire. Il avait adopté aussi des décisions relatives à un projet de programme d'action pour la mise en œuvre de la Déclaration de Koweït et des décisions issues du Sommet afin de les traduire en programmes exécutifs devant constituer une feuille de route pour l'action économique arabe commune dans les années à venir. Le programme d'action proposé comprend un plan global visant la réalisation de la sécurité alimentaire à travers l'encouragement à l'investissement dans des projets de production alimentaire et le développement de politiques agricoles et alimentaires coordonnées au sein des pays arabes. Le président de la République Abdelaziz Bouteflika est depuis hier en Egypte à l'invitation de son homologue égyptien, Hosni Moubarak pour prendre part au 2e Sommet économique arabe dont les travaux débutent aujourd'hui à Charm El-Cheikh. Le sommet procèdera à un suivi de la mise en œuvre des recommandations du Sommet de Koweït portant, notamment, sur l'interconnexion électrique, ferroviaire, terrestre et aérienne dans la région arabe, la création d'une union arabe des Douanes, la sécurité alimentaire et en matière de ressources hydriques, les répercussions de la crise mondiale, l'enseignement et la lutte contre la pauvreté et le chômage. Il s'agira, également, d'examiner, de nouveaux dossiers, dont l'interconnexion maritime, en vue de favoriser les échanges interarabes, l'interconnexion des réseaux Internet et la relance de l'initiative de banques internationales pour soutenir les projets prioritaires de développement dans la région, notamment dans le domaine du développement humain, l'investissement et la création d'emplois. D'autre part la situation, prévalant actuellement en Tunisie, sera au menu du sommet, selon le secrétaire général de la Ligue arabe qui souhaite la participation de ce pays à ce rendez-vous. Trois forums sont prévus, en marge du sommet, consacrés aux hommes d'affaires, à la société civile et aux jeunes. Les conclusions de ces forums seront soumises au sommet. L'idée d'organiser un sommet économique et social a germé lors du Sommet ordinaire de Ryadh en 2007, les pays arabes étant toujours confrontés à des problèmes économiques et sociaux, tels que le chômage, la faiblesse des échanges commerciaux interarabes et un déficit en infrastructures dans plusieurs pays de la région. Lors du 1er sommet, la Déclaration de Koweït avait souligné la nécessité de conférer un caractère prioritaire aux investissements arabes communs, d'offrir davantage d'opportunités au secteur privé et à la société civile pour leur permettre de contribuer au processus de croissance et de développement socio-économique de la région. Le sommet avait adopté plusieurs projets dans le cadre de l'intégration, réalisables dans des domaines comme les infrastructures, la gestion des ressources et la sécurité alimentaire. Il avait adopté aussi des décisions relatives à un projet de programme d'action pour la mise en œuvre de la Déclaration de Koweït et des décisions issues du Sommet afin de les traduire en programmes exécutifs devant constituer une feuille de route pour l'action économique arabe commune dans les années à venir. Le programme d'action proposé comprend un plan global visant la réalisation de la sécurité alimentaire à travers l'encouragement à l'investissement dans des projets de production alimentaire et le développement de politiques agricoles et alimentaires coordonnées au sein des pays arabes.