Trois accords de partenariat ont été conclus entre des entreprises algériennes et britanniques à l'occasion de la visite que mène depuis dimanche dernier une délégation d'hommes d'affaires de Grande-Bretagne à Alger, annonce hier le chef de cette délégation, M. Charles Hollis. «Trois partenariats ont été déjà conclus (entre des entreprises algériennes et britanniques) alors que notre visite en Algérie n'est pas encore terminée", s'est félicité le directeur général de la "Middle East Association», M. Charles Hollis lors d'une conférence de presse qu'il a animée conjointement avec l'ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper. Ces partenariats ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et la formation, de l'engineering et celui de l'industrie pharmaceutique, a-t-il précisé, rapporte. Selon M. Hollis, l'"engouement manifesté par les opérateurs britanniques pour ce déplacement en Algérie témoigne de l'intérêt qu'ils portent pour le marché algérien''. «La forte présence des hommes d'affaires britanniques (36 hommes d'affaires représentant 24 entreprises), qui nous ont accompagnés renseigne sur leur volonté d'investir en Algérie et de s'y implanter dans leurs secteurs respectifs», a-t-il estimé. La délégation du Royaume Uni qui séjourne depuis dimanche en Algérie est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone ou SeerPharm. Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, l'industrie, la formation professionnelle pour les entreprises, le matériel électronique ou la santé. La Grande-Bretagne veut rebondir en Algérie, et ses investissements montent en cadence, avec un niveau de 1,4 milliard de livres sterling en 2009. Le partenariat entre les deux pays a encore un grand potentiel d'évolution et il s'agira d'en mettre en place les mécanismes, à l'occasion des prochaines rencontres bilatérales, selon les milieux d'affaires britanniques. Il y a de nombreuses possibilités pour les entreprises britanniques d'investir en Algérie dans les secteurs hors hydrocarbures, dans les infrastructures de base, la construction, l'environnement, l'eau, les ports, la production pharmaceutique, ou les transports, notamment ferroviaires. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie et aussi son 13e fournisseur. Trois accords de partenariat ont été conclus entre des entreprises algériennes et britanniques à l'occasion de la visite que mène depuis dimanche dernier une délégation d'hommes d'affaires de Grande-Bretagne à Alger, annonce hier le chef de cette délégation, M. Charles Hollis. «Trois partenariats ont été déjà conclus (entre des entreprises algériennes et britanniques) alors que notre visite en Algérie n'est pas encore terminée", s'est félicité le directeur général de la "Middle East Association», M. Charles Hollis lors d'une conférence de presse qu'il a animée conjointement avec l'ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, M. Martyn Roper. Ces partenariats ambitionnent de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation et la formation, de l'engineering et celui de l'industrie pharmaceutique, a-t-il précisé, rapporte. Selon M. Hollis, l'"engouement manifesté par les opérateurs britanniques pour ce déplacement en Algérie témoigne de l'intérêt qu'ils portent pour le marché algérien''. «La forte présence des hommes d'affaires britanniques (36 hommes d'affaires représentant 24 entreprises), qui nous ont accompagnés renseigne sur leur volonté d'investir en Algérie et de s'y implanter dans leurs secteurs respectifs», a-t-il estimé. La délégation du Royaume Uni qui séjourne depuis dimanche en Algérie est composée de représentants de grands groupes industriels leaders dans leurs secteurs, notamment Rolls-Royce, Cameron, General Dynamics, IHG, Multitone ou SeerPharm. Ces groupes sont présents dans les secteurs de l'énergie, l'industrie, la formation professionnelle pour les entreprises, le matériel électronique ou la santé. La Grande-Bretagne veut rebondir en Algérie, et ses investissements montent en cadence, avec un niveau de 1,4 milliard de livres sterling en 2009. Le partenariat entre les deux pays a encore un grand potentiel d'évolution et il s'agira d'en mettre en place les mécanismes, à l'occasion des prochaines rencontres bilatérales, selon les milieux d'affaires britanniques. Il y a de nombreuses possibilités pour les entreprises britanniques d'investir en Algérie dans les secteurs hors hydrocarbures, dans les infrastructures de base, la construction, l'environnement, l'eau, les ports, la production pharmaceutique, ou les transports, notamment ferroviaires. Les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Grande-Bretagne avaient atteint en 2010, selon les chiffres des Douanes algériennes, plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. En 2010, la Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie et aussi son 13e fournisseur.