On parle d'infarctus du myocarde lorsque l'organe touché est le cœur et d'accident cardiovasculaire (AVC) lorsque c'est le cerveau. Lorsque l'atteinte est moindre, il y a instauration d'une insuffisance cardiaque. Mais parfois, l'étendue des dégâts est trop importante, occasionnant un arrêt cardiaque définitif. On parle d'infarctus du myocarde lorsque l'organe touché est le cœur et d'accident cardiovasculaire (AVC) lorsque c'est le cerveau. Lorsque l'atteinte est moindre, il y a instauration d'une insuffisance cardiaque. Mais parfois, l'étendue des dégâts est trop importante, occasionnant un arrêt cardiaque définitif. Il existe de nombreux infarctus qui peuvent avoir lieu dans plusieurs parties du corps, comme le cœur, les poumons, le cerveau, les membres. Les infarctus consistent en la fermeture des vaisseaux sanguins irriguant ces parties du corps (ischémie). Il s'ensuit alors un mauvais fonctionnement de cet organe ou de ce membre touché, voir la mort de l'organe en question. On parle d'infarctus du myocarde lorsque l'organe touché est le cœur et d'accident cardiovasculaire (AVC) lorsque c'est le cerveau. Lorsque l'atteinte est moindre, il y a instauration d'une insuffisance cardiaque. Mais parfois, l'étendue des dégâts est trop importante, occasionnant un arrêt cardiaque définitif. Dans ce dossier, nous allons exclusivement traiter l'infarctus du myocarde, avec ses causes, ses conséquences. Nous mettrons un point d'honneur sur les méthodes de prévention de l'infarctus du myocarde. En effet, les maladies cardiaques représentent un facteur de mortalité considérable. En dehors des facteurs génétiques non modifiables, il existe des facteurs modifiables, comme l'hygiène de vie, en faisant attention à son alimentation et à ses activités physiques. Ainsi, il est possible de prévenir l'infarctus du myocarde. L'infarctus du myocarde est due au bouchement d'une artère vascularisant le cœur, appelée artère coronaire. Il en résulte de cette occlusion, une mort du tissu cardiaque (nécrose ischémique), vu que ce dernier n'est plus irrigué, plus «nourri» par du sang riche en oxygène. Lorsqu'une petite partie du cœur est atteinte, il peut s'instaurer une insuffisance cardiaque. Par contre, une nécrose importante, va conduire à un arrêt cardiaque à l'issue souvent fatale. Les symptômes d'un infarctus du myocarde ressemblent beaucoup à l'angine de poitrine. Mais lors d'infarctus du myocarde, la circulation coronarienne est totalement arrêtée, contrairement à l'angine de poitrine, où le flux sanguin coronarien est diminué. En cas d'infarctus du myocarde, le but est de soulager les douleurs, mais surtout de sauver la vie du malade. Une fois le patient remis sur pieds, il sera nécessaire de le suivre en lui administrant les médicaments adéquats afin de prévenir des complications ainsi que des récidives. Les proches pourront également être informés pour reconnaître rapidement un début d'infarctus du myocarde, afin d'agir rapidement et non seulement sauver la vie du malade mais également prévenir les complications d'un infarctus du myocarde. Lors d'infarctus du myocarde, une hospitalisation d'urgence est toujours nécessaire. La cause principale d'un infarctus du myocarde est la thrombose d'un ou des coronaires du muscle cardiaque. L'artère coronaire complètement bouchée, ne peut plus apporter du sang au coeur. Le muscle cardiaque n'est plus irrigué à certains endroits, le tissu meurt et se nécrose. Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde se divisent en facteurs non modifiables (âge, sexe, hérédité) et en facteurs modifiables (hygiène de vie: obésité-surpoids, sédentarité, hypertension, diabète, taux élevé de cholestérol, alimentation, tabagisme et stress). Ainsi, en améliorant les facteurs de risque modifiables de l'infarctus du myocarde, on s'inscrit dans une mesure de prévention de la maladie. Les personnes susceptibles de développer un infarctus du myocarde sont les hommes, les personnes âgées et les personnes dont la famille a déjà vu un membre souffrir d'un infarctus du myocarde avant l'âge de 60 ans. On appelle cela les facteurs de risque non modifiables de l'infarctus du myocarde: - l'âge - le sexe - l'hérédité.Il existe également des facteurs modifiables influençant l'apparition d'un infarctus du myocarde. Ces facteurs sont les suivants: - sédentarité - alimentation - tabagisme - hypertension - diabète - surpoids-obésité - stress - psoriasis. L'age Les hommes de plus de 50 ans ainsi que les femmes au-delà de 60 ans risquent plus facilement de souffrir d'un infarctus du myocarde. Le sexe En effet, les femmes, de par les oestrogènes (hormones féminines) sont protégées jusqu'à la ménopause contre l'infarctus du myocarde – les oestrogènes ayant un bon effet protecteur sur les artères coronaires. En revanche, après la ménopause, la production des oestrogènes diminue, raison pour laquelle les femmes au-delà de 60 ans risquent également de souffrir d'un infarctus du myocarde. L'hérédité Il existe des familles de «cardiaques» qui sont plus à même de faire des infarctus du myocarde. Ces personnes devraient d'autant plus faire attention à leur hygiène de vie, afin d'éviter un infarctus du myocarde. La sédentarité La sédentarité favorise le surpoids qui ensuite peut entraîner la survenue d'un infarctus du myocarde. L'alimentation Les graisses sont à éviter, à cause de leur teneur en cholestérol et en graisse neutre (triglycéride). Ces graisses, consommées en excès, se déposent peu à peu sur les artères, en provoquant, à la longue, de l'athérosclérose, cause de l'infarctus du myocarde. Il ne s'agit pas de ne plus du tout manger ce qui est gras, mais d'en limiter leur consommation. Il faut éviter l'alcool. Cependant, le vin rouge a un effet protecteur des vaisseaux sanguins du cœur, mais à raison de 1 à 2 verre(s) de vin rouge par jour! Le tabagisme Le tabagisme est un facteur de risque avéré des maladies cardiaques, en favorisant l'athérosclérose des artères du cœur. Un fumeur s'expose à un risque 3 fois plus grand de souffrir d'un infarctus du myocarde qu'un non-fumeur. Non seulement la fumée nuit à la santé des fumeurs, mais représente aussi un facteur de risque pour l'entourage du fumeur, exposé au tabagisme passif. Hypertension artérielle L'hypertension artérielle surcharge les artères et les abîme. Cela entraine un risque élevé d'athérosclérose et donc d'infarctus du myocarde. Lors de la prise de la pression, deux mesures sont effectuées, la mesure de la tension systolique et diastolique. La tension systolique doit se trouver entre 120 et 140 (mm Hg) La tension diastolique doit se trouver entre 80 et 90 (mm Hg) Remarquons qu'une mesure ne signifie pas grand chose, vu que la pression fluctue durant la journée. Si la pression artérielle dépasse les valeurs limites à plusieurs reprises, on parlera d'hypertension. Diabète Le diabète est une maladie sournoise, car silencieuse et pouvant entraîner de nombreuses complications, telles que l'athérosclérose et ensuite un infarctus du myocarde. Il s'agit donc de prévenir le diabète (de type II), ce qui diminuera les problèmes cardiovasculaires. Surpoids-obésité Bien que la population française ne soit pas autant en surpoids qu'outre-Atlantique, le phénomène touche pourtant une bonne partie des Français. Le surpoids est un facteur de risque modifiable des maladies coronariennes. On tient compte non seulement de l'IMC (Indice de Poids Corporel) et du tour de taille. L'IMC, qui est le rapport entre le poids et le carré de la taille (grandeur) devrait se situer entre 19 et 25, tandis que le tour de taille chez les femmes ne devrait pas dépasser 88 cm et chez les hommes, il devrait être inférieur à 102 cm. Stress Le stress peut faire augmenter la pression artérielle et du coup être un facteur de risque d'infarctus du myocarde. On ne parle pas du stress «normal», celui que l'on ressent avant de monter sur scène, mais bien du stress ressenti constamment, occasionné par les tensions psychiques, l'énervement au quotidien Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont très semblables à l'angine de poitrine sauf qu'ils durent plus longtemps et sont plus intenses. Les analyses biologiques Par des analyses sanguines, il est possible de retrouver des protéines spécifiques au muscle cardiaque, les CPK MB et de la troponine I ou T dès la 6ème heure suivant un infarctus du myocarde. Cette analyse permettra surtout de confirmer le diagnostic. Il ne faut jamais attendre le résultat de cette analyse pour démarrer un traitement contre l'infarctus du myocarde. En effet, lors d'infarctus du myocarde, le temps joue en défaveur du malade. Il faut agir très vite afin d'éviter les séquelles de la maladie et sauver la vie du malade. Il existe de nombreux infarctus qui peuvent avoir lieu dans plusieurs parties du corps, comme le cœur, les poumons, le cerveau, les membres. Les infarctus consistent en la fermeture des vaisseaux sanguins irriguant ces parties du corps (ischémie). Il s'ensuit alors un mauvais fonctionnement de cet organe ou de ce membre touché, voir la mort de l'organe en question. On parle d'infarctus du myocarde lorsque l'organe touché est le cœur et d'accident cardiovasculaire (AVC) lorsque c'est le cerveau. Lorsque l'atteinte est moindre, il y a instauration d'une insuffisance cardiaque. Mais parfois, l'étendue des dégâts est trop importante, occasionnant un arrêt cardiaque définitif. Dans ce dossier, nous allons exclusivement traiter l'infarctus du myocarde, avec ses causes, ses conséquences. Nous mettrons un point d'honneur sur les méthodes de prévention de l'infarctus du myocarde. En effet, les maladies cardiaques représentent un facteur de mortalité considérable. En dehors des facteurs génétiques non modifiables, il existe des facteurs modifiables, comme l'hygiène de vie, en faisant attention à son alimentation et à ses activités physiques. Ainsi, il est possible de prévenir l'infarctus du myocarde. L'infarctus du myocarde est due au bouchement d'une artère vascularisant le cœur, appelée artère coronaire. Il en résulte de cette occlusion, une mort du tissu cardiaque (nécrose ischémique), vu que ce dernier n'est plus irrigué, plus «nourri» par du sang riche en oxygène. Lorsqu'une petite partie du cœur est atteinte, il peut s'instaurer une insuffisance cardiaque. Par contre, une nécrose importante, va conduire à un arrêt cardiaque à l'issue souvent fatale. Les symptômes d'un infarctus du myocarde ressemblent beaucoup à l'angine de poitrine. Mais lors d'infarctus du myocarde, la circulation coronarienne est totalement arrêtée, contrairement à l'angine de poitrine, où le flux sanguin coronarien est diminué. En cas d'infarctus du myocarde, le but est de soulager les douleurs, mais surtout de sauver la vie du malade. Une fois le patient remis sur pieds, il sera nécessaire de le suivre en lui administrant les médicaments adéquats afin de prévenir des complications ainsi que des récidives. Les proches pourront également être informés pour reconnaître rapidement un début d'infarctus du myocarde, afin d'agir rapidement et non seulement sauver la vie du malade mais également prévenir les complications d'un infarctus du myocarde. Lors d'infarctus du myocarde, une hospitalisation d'urgence est toujours nécessaire. La cause principale d'un infarctus du myocarde est la thrombose d'un ou des coronaires du muscle cardiaque. L'artère coronaire complètement bouchée, ne peut plus apporter du sang au coeur. Le muscle cardiaque n'est plus irrigué à certains endroits, le tissu meurt et se nécrose. Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde se divisent en facteurs non modifiables (âge, sexe, hérédité) et en facteurs modifiables (hygiène de vie: obésité-surpoids, sédentarité, hypertension, diabète, taux élevé de cholestérol, alimentation, tabagisme et stress). Ainsi, en améliorant les facteurs de risque modifiables de l'infarctus du myocarde, on s'inscrit dans une mesure de prévention de la maladie. Les personnes susceptibles de développer un infarctus du myocarde sont les hommes, les personnes âgées et les personnes dont la famille a déjà vu un membre souffrir d'un infarctus du myocarde avant l'âge de 60 ans. On appelle cela les facteurs de risque non modifiables de l'infarctus du myocarde: - l'âge - le sexe - l'hérédité.Il existe également des facteurs modifiables influençant l'apparition d'un infarctus du myocarde. Ces facteurs sont les suivants: - sédentarité - alimentation - tabagisme - hypertension - diabète - surpoids-obésité - stress - psoriasis. L'age Les hommes de plus de 50 ans ainsi que les femmes au-delà de 60 ans risquent plus facilement de souffrir d'un infarctus du myocarde. Le sexe En effet, les femmes, de par les oestrogènes (hormones féminines) sont protégées jusqu'à la ménopause contre l'infarctus du myocarde – les oestrogènes ayant un bon effet protecteur sur les artères coronaires. En revanche, après la ménopause, la production des oestrogènes diminue, raison pour laquelle les femmes au-delà de 60 ans risquent également de souffrir d'un infarctus du myocarde. L'hérédité Il existe des familles de «cardiaques» qui sont plus à même de faire des infarctus du myocarde. Ces personnes devraient d'autant plus faire attention à leur hygiène de vie, afin d'éviter un infarctus du myocarde. La sédentarité La sédentarité favorise le surpoids qui ensuite peut entraîner la survenue d'un infarctus du myocarde. L'alimentation Les graisses sont à éviter, à cause de leur teneur en cholestérol et en graisse neutre (triglycéride). Ces graisses, consommées en excès, se déposent peu à peu sur les artères, en provoquant, à la longue, de l'athérosclérose, cause de l'infarctus du myocarde. Il ne s'agit pas de ne plus du tout manger ce qui est gras, mais d'en limiter leur consommation. Il faut éviter l'alcool. Cependant, le vin rouge a un effet protecteur des vaisseaux sanguins du cœur, mais à raison de 1 à 2 verre(s) de vin rouge par jour! Le tabagisme Le tabagisme est un facteur de risque avéré des maladies cardiaques, en favorisant l'athérosclérose des artères du cœur. Un fumeur s'expose à un risque 3 fois plus grand de souffrir d'un infarctus du myocarde qu'un non-fumeur. Non seulement la fumée nuit à la santé des fumeurs, mais représente aussi un facteur de risque pour l'entourage du fumeur, exposé au tabagisme passif. Hypertension artérielle L'hypertension artérielle surcharge les artères et les abîme. Cela entraine un risque élevé d'athérosclérose et donc d'infarctus du myocarde. Lors de la prise de la pression, deux mesures sont effectuées, la mesure de la tension systolique et diastolique. La tension systolique doit se trouver entre 120 et 140 (mm Hg) La tension diastolique doit se trouver entre 80 et 90 (mm Hg) Remarquons qu'une mesure ne signifie pas grand chose, vu que la pression fluctue durant la journée. Si la pression artérielle dépasse les valeurs limites à plusieurs reprises, on parlera d'hypertension. Diabète Le diabète est une maladie sournoise, car silencieuse et pouvant entraîner de nombreuses complications, telles que l'athérosclérose et ensuite un infarctus du myocarde. Il s'agit donc de prévenir le diabète (de type II), ce qui diminuera les problèmes cardiovasculaires. Surpoids-obésité Bien que la population française ne soit pas autant en surpoids qu'outre-Atlantique, le phénomène touche pourtant une bonne partie des Français. Le surpoids est un facteur de risque modifiable des maladies coronariennes. On tient compte non seulement de l'IMC (Indice de Poids Corporel) et du tour de taille. L'IMC, qui est le rapport entre le poids et le carré de la taille (grandeur) devrait se situer entre 19 et 25, tandis que le tour de taille chez les femmes ne devrait pas dépasser 88 cm et chez les hommes, il devrait être inférieur à 102 cm. Stress Le stress peut faire augmenter la pression artérielle et du coup être un facteur de risque d'infarctus du myocarde. On ne parle pas du stress «normal», celui que l'on ressent avant de monter sur scène, mais bien du stress ressenti constamment, occasionné par les tensions psychiques, l'énervement au quotidien Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont très semblables à l'angine de poitrine sauf qu'ils durent plus longtemps et sont plus intenses. Les analyses biologiques Par des analyses sanguines, il est possible de retrouver des protéines spécifiques au muscle cardiaque, les CPK MB et de la troponine I ou T dès la 6ème heure suivant un infarctus du myocarde. Cette analyse permettra surtout de confirmer le diagnostic. Il ne faut jamais attendre le résultat de cette analyse pour démarrer un traitement contre l'infarctus du myocarde. En effet, lors d'infarctus du myocarde, le temps joue en défaveur du malade. Il faut agir très vite afin d'éviter les séquelles de la maladie et sauver la vie du malade.