Plus les apnées se répètent et plus il y a danger pour la santé du ronfleur avec une fatigue constante et des maux de tête au réveil, un risque accru d'hypertension artérielle, d'angine de poitrine, d'infarctus du myocarde ou d'accidents vasculaires cérébraux. Et enfin, des risques décuplés d'accident de la route, de travail ou d'accident domestique. Les autres formes moins sévères d'apnée du sommeil sont encore plus fréquentes avec 15 à 30 pauses par heure ou légères (moins de 15 pauses par heure). Elles n'en sont pas moins gênantes car elles retentissent déjà sur la mémoire et sur la vigilance. «C'est pourquoi lorsque le conjoint se plaint que son épouse fait des pauses quand il respire pendant son sommeil, il n'y a pas à hésiter. Il faut consulter. La chirurgie, dernier recours En revanche, la polysomnographie -la Rolls des examens- ne peut se faire que dans un centre du sommei : elle enregistre en plus l'activité électrique du cerveau, grâce à des électrodes collées sur le crâne du patient endormi. On la réserve à ceux pour qui le diagnostic n'a rien d'évident ou pour rechercher une pathologie du sommeil associée. La solution chirurgicale est la seule solution radicale, non prothétique, pour cette maladie. Plusieurs chirurgies sont possibles : chirurgie du voile du palais, des amygdales, parfois une réduction de langue et désobstruction du nez. Plus les apnées se répètent et plus il y a danger pour la santé du ronfleur avec une fatigue constante et des maux de tête au réveil, un risque accru d'hypertension artérielle, d'angine de poitrine, d'infarctus du myocarde ou d'accidents vasculaires cérébraux. Et enfin, des risques décuplés d'accident de la route, de travail ou d'accident domestique. Les autres formes moins sévères d'apnée du sommeil sont encore plus fréquentes avec 15 à 30 pauses par heure ou légères (moins de 15 pauses par heure). Elles n'en sont pas moins gênantes car elles retentissent déjà sur la mémoire et sur la vigilance. «C'est pourquoi lorsque le conjoint se plaint que son épouse fait des pauses quand il respire pendant son sommeil, il n'y a pas à hésiter. Il faut consulter. La chirurgie, dernier recours En revanche, la polysomnographie -la Rolls des examens- ne peut se faire que dans un centre du sommei : elle enregistre en plus l'activité électrique du cerveau, grâce à des électrodes collées sur le crâne du patient endormi. On la réserve à ceux pour qui le diagnostic n'a rien d'évident ou pour rechercher une pathologie du sommeil associée. La solution chirurgicale est la seule solution radicale, non prothétique, pour cette maladie. Plusieurs chirurgies sont possibles : chirurgie du voile du palais, des amygdales, parfois une réduction de langue et désobstruction du nez.