Outre les 200.000 stagiaires inscrits, à la session d'octobre de l'année professionnelle 2010-2011, plus de 200.000 nouveaux postes de formation seront disponibles lors de la prochaine session professionnelle prévue pour le mois en cours. «Au total, 246.000 nouveaux postes de formation, tous modes confondus, dont plus de 68.000 nouveaux postes en formation par apprentissage, sont offerts pour la prochaine rentrée de la formation professionnelle prévue le 27 février», a déclaré à l'APS Ouardia Moualek, sous-directrice des programmes au ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels. Dans ce contexte, il convient de préciser que parmi le nombre global des nouveaux postes de formation, disponibles pour cette session, près de 65.000 sont offerts en formation résidentielle, 18.827 autres pour la formation en cours du soir et 4.000 nouveaux postes pour la formation diplômante à distance. Afin d'assurer l'adéquation formation emploi, ces postes de formation sont programmés en fonction des besoins affichés par chaque wilaya et selon ses spécificités en matière de développement, indique-t-on. Pour ce qui est de la formation en milieu rural, le secteur dispose de 6.460 nouveaux postes de formation destinés notamment aux femmes et jeunes filles résidant dans les zones enclavées. Par ailleurs, les établissements privés offriront, pour leur part, 10.500 nouveaux postes de formation professionnelle. Concernant le programme pédagogique prévu par la tutelle afin d'améliorer le plan qualitatif, pas moins de 222 spécialités couvrant les 20 branches professionnelles, dont 138 spécialités demandées par les différents départements ministériels, sont comptées pour cette rentrée. Dans ce sens, il est utile de noter que parmi ces spécialités 5 nouvelles sont programmées pour la prochaine rentrée, à savoir la menuiserie d'agencement, le suivi de réalisation de chantier, le traitement d'eau, la transformation des dattes, la préparation en confiserie, la chocolaterie et la biscuiterie. «L'objectif de la politique de la formation professionnelle est de répondre aux exigences de l'économie nationale par la disponibilité de spécialités en adéquation avec les besoins du marché national», a-t-elle indiqué. Outre les 200.000 stagiaires inscrits, à la session d'octobre de l'année professionnelle 2010-2011, plus de 200.000 nouveaux postes de formation seront disponibles lors de la prochaine session professionnelle prévue pour le mois en cours. «Au total, 246.000 nouveaux postes de formation, tous modes confondus, dont plus de 68.000 nouveaux postes en formation par apprentissage, sont offerts pour la prochaine rentrée de la formation professionnelle prévue le 27 février», a déclaré à l'APS Ouardia Moualek, sous-directrice des programmes au ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels. Dans ce contexte, il convient de préciser que parmi le nombre global des nouveaux postes de formation, disponibles pour cette session, près de 65.000 sont offerts en formation résidentielle, 18.827 autres pour la formation en cours du soir et 4.000 nouveaux postes pour la formation diplômante à distance. Afin d'assurer l'adéquation formation emploi, ces postes de formation sont programmés en fonction des besoins affichés par chaque wilaya et selon ses spécificités en matière de développement, indique-t-on. Pour ce qui est de la formation en milieu rural, le secteur dispose de 6.460 nouveaux postes de formation destinés notamment aux femmes et jeunes filles résidant dans les zones enclavées. Par ailleurs, les établissements privés offriront, pour leur part, 10.500 nouveaux postes de formation professionnelle. Concernant le programme pédagogique prévu par la tutelle afin d'améliorer le plan qualitatif, pas moins de 222 spécialités couvrant les 20 branches professionnelles, dont 138 spécialités demandées par les différents départements ministériels, sont comptées pour cette rentrée. Dans ce sens, il est utile de noter que parmi ces spécialités 5 nouvelles sont programmées pour la prochaine rentrée, à savoir la menuiserie d'agencement, le suivi de réalisation de chantier, le traitement d'eau, la transformation des dattes, la préparation en confiserie, la chocolaterie et la biscuiterie. «L'objectif de la politique de la formation professionnelle est de répondre aux exigences de l'économie nationale par la disponibilité de spécialités en adéquation avec les besoins du marché national», a-t-elle indiqué.