Selon le Fonds alimentaire mondial (FAO), les tensions mondiales qui affectent l'offre de céréales ont permis aux cours de poursuivre leur ascension la semaine dernière. Les cours du blé et du maïs ont continué à augmenter pour se rapprocher de leurs pics de 2008. Sur le CBOT (marché de Chicago), les contrats à terme sur le blé à échéance mars ont gagné 10,77% depuis le 14 janvier. Dans le même temps, les cours du blé meunier européen ont progressé de 6%, et terminé vendredi à 268 euros la tonne, tirés par des importants achats effectués par l'Algérie et d'autres pays d'Afrique du Nord, affirme Natixis. Cette source ajoute qu' "en Europe, les cours du blé ont été soutenus par la forte demande mondiale au cours des deux dernières semaines. Les pays d'Afrique du Nord, fortement préoccupés par la hausse des denrées alimentaires, et par l'agitation sociale qui peut en résulter, ont activement participé aux ventes aux enchères pour renforcer leurs stocks. L'Egypte, la Libye et l'Algérie ont acheté des quantités importantes de blé." D'autres livraisons de blé ont été acheminées vers des pays pourtant réputés pour leur vocation agricole. En effet, cette source indique qu' "au cours de la semaine du 21 janvier, l'Union européenne a accordé des licences d'exportation sur le blé tendre, à hauteur de 171.000 tonnes, ce qui porte le total des exportations depuis le début de la saison à 12,5 millions de tonnes (alors que le total des licences accordées n'avait atteint que 9,6 millions de tonnes l'année précédente)". Le blé exporté provient, selon Natixis, "d'abord de France (avec 86.500 tonnes), puis d'Allemagne (79.200 tonnes) et de Hongrie (5.000 tonnes). Toutefois, alors que les cours du blé tendre européen continuent à progresser par rapport à ceux du blé américain libellés en dollars, il est tout à fait possible que les acheteurs se détournent du blé européen au profit du blé américain au cours des prochains mois, après que le blé argentin et australien aura été absorbé par le marché". Selon le Fonds alimentaire mondial (FAO), les tensions mondiales qui affectent l'offre de céréales ont permis aux cours de poursuivre leur ascension la semaine dernière. Les cours du blé et du maïs ont continué à augmenter pour se rapprocher de leurs pics de 2008. Sur le CBOT (marché de Chicago), les contrats à terme sur le blé à échéance mars ont gagné 10,77% depuis le 14 janvier. Dans le même temps, les cours du blé meunier européen ont progressé de 6%, et terminé vendredi à 268 euros la tonne, tirés par des importants achats effectués par l'Algérie et d'autres pays d'Afrique du Nord, affirme Natixis. Cette source ajoute qu' "en Europe, les cours du blé ont été soutenus par la forte demande mondiale au cours des deux dernières semaines. Les pays d'Afrique du Nord, fortement préoccupés par la hausse des denrées alimentaires, et par l'agitation sociale qui peut en résulter, ont activement participé aux ventes aux enchères pour renforcer leurs stocks. L'Egypte, la Libye et l'Algérie ont acheté des quantités importantes de blé." D'autres livraisons de blé ont été acheminées vers des pays pourtant réputés pour leur vocation agricole. En effet, cette source indique qu' "au cours de la semaine du 21 janvier, l'Union européenne a accordé des licences d'exportation sur le blé tendre, à hauteur de 171.000 tonnes, ce qui porte le total des exportations depuis le début de la saison à 12,5 millions de tonnes (alors que le total des licences accordées n'avait atteint que 9,6 millions de tonnes l'année précédente)". Le blé exporté provient, selon Natixis, "d'abord de France (avec 86.500 tonnes), puis d'Allemagne (79.200 tonnes) et de Hongrie (5.000 tonnes). Toutefois, alors que les cours du blé tendre européen continuent à progresser par rapport à ceux du blé américain libellés en dollars, il est tout à fait possible que les acheteurs se détournent du blé européen au profit du blé américain au cours des prochains mois, après que le blé argentin et australien aura été absorbé par le marché".