Alors que les relations économiques et commerciales algéro-turques ont pris de l'ampleur ces dernières années avec l'implantation de plus de 150 entreprises turques en Algérie et un volume d'échanges évalué à 3,8 milliards de dollars en 2009, les autorités chargées du développement des technologies de l'information et de la communication des deux pays veulent booster la coopération dans ce secteur. Alors que les relations économiques et commerciales algéro-turques ont pris de l'ampleur ces dernières années avec l'implantation de plus de 150 entreprises turques en Algérie et un volume d'échanges évalué à 3,8 milliards de dollars en 2009, les autorités chargées du développement des technologies de l'information et de la communication des deux pays veulent booster la coopération dans ce secteur. En recevant l'ambassadeur de Turquie à Alger, Ahmet Necati Bigali, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, a réaffirmé la volonté des pouvoirs publics de fructifier davantage les opportunités de partenariat entre les opérateurs économiques algériens et les entrepreneurs et industriels turcs. « Nous envisageons de reprendre l'élan de coopération économique avec la Turquie » souligne le ministre, qui précise que « l'important consiste à privilégier le système de sociétés mixtes en associant, pour des fins de mutualisation des moyens, les opérateurs économiques publics et privés ». En vertu du traité d'amitié et de coopération liant les deux pays depuis cinq années, les échanges économiques vont s'accroître, en ce sens que l'échange d'expériences va permettre une fluidité dans le transfert de technologie et de savoir-faire. La multiplication des visites d'hommes d'affaires et d'investisseurs de Turquie en Algérie et les tournées régulières des entrepreneurs algériens dans ce pays émergent vont se traduire, selon des responsables du comité mixte de coopération algéro-turc, par des accords importants de partenariat. Les entreprises et firmes turques interviennent dans plusieurs projets de développement économiques en Algérie, tels que les secteurs de la construction et bâtiment et l'agroalimentaire. Mais, en matière de technologies de l'information et de la communication, les sociétés turques sont opérationnelles sur le marché des TIC où les sociétés Kontek et Atlas travaillent dans les projets de cyber parc de Sidi Abdellah tandis que la firme de téléphonie mobile Turkcell intervient dans les activités de roaming. La collocation dans certains projets de Tic entre les deux pays a des résultats appréciables. Etant classée au sixième rang des clients de l'Algérie avec un montant de plus de 2 milliards de dollars, la Turquie est située à la septième place dans le classement des fournisseurs avec un montant de 1,7 milliard de dollars. Par ailleurs, un conseil d'hommes d'affaires algéro-turc aura lieu en mars prochain à Istanbul dans l'optique de rechercher les voies et moyens de dynamiser la coopération multiforme entre les deux pays pour mieux diversifier les échanges. Cela dit, l'Algérie a l'intention de scruter d'autres domaines économiques pour exporter ses produits sur le marché turc sachant que les exportations vers ce pays se confinent, actuellement, aux hydrocarbures, principalement le gaz naturel liquéfié (GNL) où les livraisons sont estimées à 4 milliards de mètres cubes, en vertu d'un accord datant de 1995 et qui expire en 2014. En recevant l'ambassadeur de Turquie à Alger, Ahmet Necati Bigali, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, a réaffirmé la volonté des pouvoirs publics de fructifier davantage les opportunités de partenariat entre les opérateurs économiques algériens et les entrepreneurs et industriels turcs. « Nous envisageons de reprendre l'élan de coopération économique avec la Turquie » souligne le ministre, qui précise que « l'important consiste à privilégier le système de sociétés mixtes en associant, pour des fins de mutualisation des moyens, les opérateurs économiques publics et privés ». En vertu du traité d'amitié et de coopération liant les deux pays depuis cinq années, les échanges économiques vont s'accroître, en ce sens que l'échange d'expériences va permettre une fluidité dans le transfert de technologie et de savoir-faire. La multiplication des visites d'hommes d'affaires et d'investisseurs de Turquie en Algérie et les tournées régulières des entrepreneurs algériens dans ce pays émergent vont se traduire, selon des responsables du comité mixte de coopération algéro-turc, par des accords importants de partenariat. Les entreprises et firmes turques interviennent dans plusieurs projets de développement économiques en Algérie, tels que les secteurs de la construction et bâtiment et l'agroalimentaire. Mais, en matière de technologies de l'information et de la communication, les sociétés turques sont opérationnelles sur le marché des TIC où les sociétés Kontek et Atlas travaillent dans les projets de cyber parc de Sidi Abdellah tandis que la firme de téléphonie mobile Turkcell intervient dans les activités de roaming. La collocation dans certains projets de Tic entre les deux pays a des résultats appréciables. Etant classée au sixième rang des clients de l'Algérie avec un montant de plus de 2 milliards de dollars, la Turquie est située à la septième place dans le classement des fournisseurs avec un montant de 1,7 milliard de dollars. Par ailleurs, un conseil d'hommes d'affaires algéro-turc aura lieu en mars prochain à Istanbul dans l'optique de rechercher les voies et moyens de dynamiser la coopération multiforme entre les deux pays pour mieux diversifier les échanges. Cela dit, l'Algérie a l'intention de scruter d'autres domaines économiques pour exporter ses produits sur le marché turc sachant que les exportations vers ce pays se confinent, actuellement, aux hydrocarbures, principalement le gaz naturel liquéfié (GNL) où les livraisons sont estimées à 4 milliards de mètres cubes, en vertu d'un accord datant de 1995 et qui expire en 2014.