L'une des conséquences majeures de la contestation populaire sans précédent contre le régime égyptien s'est traduite par la chute de plusieurs Bourses des pays arabes du Golfe. Ainsi, à la Bourse de Dubaï, l'indice DFM (Dubai Financial Market) a chuté de 6,4% à 1.509 points, peu après l'ouverture à 6 h GMT, selon le site internet de la Bourse, son plus bas niveau depuis septembre 2010. Après une heure de cotations, l'indice était encore en baisse de 6,27%. Selon des experts des bourses arabes, les grands groupes émiratis qui ont beaucoup investi en Egypte perdaient à l'ouverture entre 9 et 10 % ; dans le secteur de la construction avec Arabtec (9%), dans l'immobilier avec Emaar Properties via sa filiale égyptienne Emaar Misr (9,1%), dans l'énergie avec Danas Gas (9,9%), dans la distribution avec Majid Al futtaim ou encore la compagnie aérienne low-cost de l'émirat de Sharjah Air Arabia (10 %) qui a un hub en Egypte. Les analystes estiment que «d'autres marchés du Golfe étaient également en chute. La Bourse d'Abou Dhabi perdait 3,74% à 2.559,89 points durant les premiers échanges. Le titre du géant des télécommunications Etisalat, qui opère en Egypte par le biais d'Etisalat Misr, perdait 3,35%. A Koweït, la Bourse, le deuxième marché arabe après l'Arabie saoudite, perdait aussi 2,2% à 6.790 points. La Bourse du Qatar a ouvert sur une baisse de plus de 5%. Le marché saoudien, le plus important du Monde arabe, avait cédé 6,43% et clôturé à 6.267,22 points samedi, au premier jour de cotations de la semaine dans le royaume saoudien». Depuis trois jours, il ouvre plus tard dans la journée. «Une exposition directe à (la violence en) Egypte est un problème pour certaines compagnies saoudiennes qui ont pris des participations dans des firmes égyptiennes», a indiqué le bureau de conseil, Jadwa Investment, dans un communiqué. L'une des conséquences majeures de la contestation populaire sans précédent contre le régime égyptien s'est traduite par la chute de plusieurs Bourses des pays arabes du Golfe. Ainsi, à la Bourse de Dubaï, l'indice DFM (Dubai Financial Market) a chuté de 6,4% à 1.509 points, peu après l'ouverture à 6 h GMT, selon le site internet de la Bourse, son plus bas niveau depuis septembre 2010. Après une heure de cotations, l'indice était encore en baisse de 6,27%. Selon des experts des bourses arabes, les grands groupes émiratis qui ont beaucoup investi en Egypte perdaient à l'ouverture entre 9 et 10 % ; dans le secteur de la construction avec Arabtec (9%), dans l'immobilier avec Emaar Properties via sa filiale égyptienne Emaar Misr (9,1%), dans l'énergie avec Danas Gas (9,9%), dans la distribution avec Majid Al futtaim ou encore la compagnie aérienne low-cost de l'émirat de Sharjah Air Arabia (10 %) qui a un hub en Egypte. Les analystes estiment que «d'autres marchés du Golfe étaient également en chute. La Bourse d'Abou Dhabi perdait 3,74% à 2.559,89 points durant les premiers échanges. Le titre du géant des télécommunications Etisalat, qui opère en Egypte par le biais d'Etisalat Misr, perdait 3,35%. A Koweït, la Bourse, le deuxième marché arabe après l'Arabie saoudite, perdait aussi 2,2% à 6.790 points. La Bourse du Qatar a ouvert sur une baisse de plus de 5%. Le marché saoudien, le plus important du Monde arabe, avait cédé 6,43% et clôturé à 6.267,22 points samedi, au premier jour de cotations de la semaine dans le royaume saoudien». Depuis trois jours, il ouvre plus tard dans la journée. «Une exposition directe à (la violence en) Egypte est un problème pour certaines compagnies saoudiennes qui ont pris des participations dans des firmes égyptiennes», a indiqué le bureau de conseil, Jadwa Investment, dans un communiqué.