«Qui ne tente rien n'a rien», c'est l'idée avec laquelle se sont déplacés, hier au Palais de la culture Moufdi-Zakaria à Alger, des milliers de jeunes diplômés en quête d'un débouché professionnel. «Qui ne tente rien n'a rien», c'est l'idée avec laquelle se sont déplacés, hier au Palais de la culture Moufdi-Zakaria à Alger, des milliers de jeunes diplômés en quête d'un débouché professionnel. La première édition du salon de recrutement «Talents et emplois», qui a débuté hier et prendra fin aujourd'hui à 19h, a également mis en contact les responsables de ressources humaines d'une trentaine d'entreprises, opérant dans différents domaines, avec les jeunes potentielles recrues. «C'est une opportunité pour les chercheurs d'emploi de prouver leurs capacités mais, aussi cette rencontre permet d'expliquer aux demandeurs d'emploi les raisons pour lesquelles leurs candidatures peuvent être refusées», dira Nadia Amara Korba, directrice de communication et marketing au portail algérien, dédié à l'emploi et au recrutement, «emploitic.com», qui est rappelons- le, parmi les organisateurs de cette manifestation. Sur un autre plan, «c'est une occasion aussi pour les entreprises de se rapprocher des jeunes talents et de les recruter plus facilement» a-t-elle ajouté, expliquant ainsi le choix du slogan «Talents et emplois». Il faut dire que ce salon s'est adressé à toutes les catégories de demandeurs d'emplois, incluant les étudiants, les jeunes diplômés et les primo-demandeurs d'emploi de même que les employés confirmés et les cadres moyens. Pour leur part, les visiteurs, dont la majorité était de la tranche juvénile, espéraient, par cette occasion, rentrer chez eux avec en amin un contrat de recrutement paraphé. Ces jeunes, dont le nombre a, a-t-on constaté, visiblement dépassé mille, étaient optimistes. «Ici, (au Salon) le piston n'a pas sa place, on ne doit montrer que notre savoir- faire pour être recruté» déclare Amel, jeune diplômée à la recherche d'un emploi. Par ailleurs, d'autres raisons sont mises en évidence par ces postulants, «je préfère me déplacer, à chaque fois, et déposer ma candidature plutôt que de payer, avant chaque concours de la Fonction publique, les frais de candidature» explique un autre jeune. En outre, «le salaire au sein des sociétés privés est beaucoup plus élevé que celui des établissements étatiques» a-t-il indiqué. Pour ce qui est des exposants, outre les entreprises, spécialisées dans divers domaines, à l'image de l'agroalimentaire, l'automobile, les finances..., l'Agence nationale de l'emploi (Anem) était également au rendez-vous. D'autres exposants ont préféré apprendre aux jeunes à pêcher le poisson au lieu de le leur offrir. Il convient de noter que les organisateurs, qui prévoient 10.000 visiteurs, vont organiser deux autres salons similaires à l'est et l'ouest du pays. La première édition du salon de recrutement «Talents et emplois», qui a débuté hier et prendra fin aujourd'hui à 19h, a également mis en contact les responsables de ressources humaines d'une trentaine d'entreprises, opérant dans différents domaines, avec les jeunes potentielles recrues. «C'est une opportunité pour les chercheurs d'emploi de prouver leurs capacités mais, aussi cette rencontre permet d'expliquer aux demandeurs d'emploi les raisons pour lesquelles leurs candidatures peuvent être refusées», dira Nadia Amara Korba, directrice de communication et marketing au portail algérien, dédié à l'emploi et au recrutement, «emploitic.com», qui est rappelons- le, parmi les organisateurs de cette manifestation. Sur un autre plan, «c'est une occasion aussi pour les entreprises de se rapprocher des jeunes talents et de les recruter plus facilement» a-t-elle ajouté, expliquant ainsi le choix du slogan «Talents et emplois». Il faut dire que ce salon s'est adressé à toutes les catégories de demandeurs d'emplois, incluant les étudiants, les jeunes diplômés et les primo-demandeurs d'emploi de même que les employés confirmés et les cadres moyens. Pour leur part, les visiteurs, dont la majorité était de la tranche juvénile, espéraient, par cette occasion, rentrer chez eux avec en amin un contrat de recrutement paraphé. Ces jeunes, dont le nombre a, a-t-on constaté, visiblement dépassé mille, étaient optimistes. «Ici, (au Salon) le piston n'a pas sa place, on ne doit montrer que notre savoir- faire pour être recruté» déclare Amel, jeune diplômée à la recherche d'un emploi. Par ailleurs, d'autres raisons sont mises en évidence par ces postulants, «je préfère me déplacer, à chaque fois, et déposer ma candidature plutôt que de payer, avant chaque concours de la Fonction publique, les frais de candidature» explique un autre jeune. En outre, «le salaire au sein des sociétés privés est beaucoup plus élevé que celui des établissements étatiques» a-t-il indiqué. Pour ce qui est des exposants, outre les entreprises, spécialisées dans divers domaines, à l'image de l'agroalimentaire, l'automobile, les finances..., l'Agence nationale de l'emploi (Anem) était également au rendez-vous. D'autres exposants ont préféré apprendre aux jeunes à pêcher le poisson au lieu de le leur offrir. Il convient de noter que les organisateurs, qui prévoient 10.000 visiteurs, vont organiser deux autres salons similaires à l'est et l'ouest du pays.