La RN 26 au niveau du village Colonel-Amirouche ex-Riquet qui se situe ente Akbou et Tazmalt à plus de 80 km au sud du chef -lieu de wilaya Bejaia, a été coupée par des manifestants.Ces personnes ne sont autres que le collectif d'une laiterie située à Tazmalt. Les raisons de cette obstruction demeurent inconnues. Se rapportent-elles au sempiternel problème de lait ? Sinon à des conditions socio-professionnelles ? Au moment où nous mettons sous presse, nous croyons savoir que le motif n'est autre que l'approvisionnement de leurs unités en poudre de lait.Cette route est l'unique voie d'accès à Bejaia et Jijel. Les usagers, surtout les conducteurs de poids lourds, auront du mal à dénicher un itinéraire d'évitement. Ce tronçon est maintenant bien connu comme étant un goulot d'étranglemnt fort indiqué pour les revendications de tout genre. Il a été utilisé par tous et continue de l'être. Faute d'existence d'autres voies, le citoyen demeure sous la menace perpétuelle de ne pouvoir faire ce chemin et les plus pénalisés sont ceux qui travaillent à Béjaia et qui font la navette en plus des étudiants. A la mi-journée, aucune autorité ne s'est manifestée. Pour rappel, ce collectif a, le mois dernier, observé un sit-in devant le siège de la wilaya de Béjaia pour le même motif. La RN 26 au niveau du village Colonel-Amirouche ex-Riquet qui se situe ente Akbou et Tazmalt à plus de 80 km au sud du chef -lieu de wilaya Bejaia, a été coupée par des manifestants.Ces personnes ne sont autres que le collectif d'une laiterie située à Tazmalt. Les raisons de cette obstruction demeurent inconnues. Se rapportent-elles au sempiternel problème de lait ? Sinon à des conditions socio-professionnelles ? Au moment où nous mettons sous presse, nous croyons savoir que le motif n'est autre que l'approvisionnement de leurs unités en poudre de lait.Cette route est l'unique voie d'accès à Bejaia et Jijel. Les usagers, surtout les conducteurs de poids lourds, auront du mal à dénicher un itinéraire d'évitement. Ce tronçon est maintenant bien connu comme étant un goulot d'étranglemnt fort indiqué pour les revendications de tout genre. Il a été utilisé par tous et continue de l'être. Faute d'existence d'autres voies, le citoyen demeure sous la menace perpétuelle de ne pouvoir faire ce chemin et les plus pénalisés sont ceux qui travaillent à Béjaia et qui font la navette en plus des étudiants. A la mi-journée, aucune autorité ne s'est manifestée. Pour rappel, ce collectif a, le mois dernier, observé un sit-in devant le siège de la wilaya de Béjaia pour le même motif.