Le parquet de la ville de Milan (nord de l'Italie) a indiqué hier que le procès du président du Conseil italien, Silvio Berlusconi accusé de corruption, se poursuivra le 11 mars prochain. Ce procès avait été suspendu en avril dernier en raison de la loi sur l'immunité qui protège Berlusconi de poursuites judiciaires. Selon l'acte d'accusation, M. Berlusconi a versé 600.000 dollars à son ex-avocat David Mills qui avait reconnu avoir reçu de l'argent du gouvernement italien, mais "à titre de reconnaissance" pour son travail, avant de se rétracter par la suite et changer ses aveux. Mills a été déjà condamné à quatre ans et demi de prison, en première instance ainsi qu'en appel. Silvio Berlusconi qui était protégé pendant la durée de son mandat par une loi d'immunité, a vu reprendre les poursuites judiciaires à son encontre après le rejet de cette loi par la Cour constitutionnelle. Outre cette affaire, il est également soupçonné d'abus de fonction dans l'affaire dite "Rubygate", impliquant une jeune fille, en intervenant pour la faire libérer en mai après son interpellation pour un vol présumé. Le parquet de la ville de Milan (nord de l'Italie) a indiqué hier que le procès du président du Conseil italien, Silvio Berlusconi accusé de corruption, se poursuivra le 11 mars prochain. Ce procès avait été suspendu en avril dernier en raison de la loi sur l'immunité qui protège Berlusconi de poursuites judiciaires. Selon l'acte d'accusation, M. Berlusconi a versé 600.000 dollars à son ex-avocat David Mills qui avait reconnu avoir reçu de l'argent du gouvernement italien, mais "à titre de reconnaissance" pour son travail, avant de se rétracter par la suite et changer ses aveux. Mills a été déjà condamné à quatre ans et demi de prison, en première instance ainsi qu'en appel. Silvio Berlusconi qui était protégé pendant la durée de son mandat par une loi d'immunité, a vu reprendre les poursuites judiciaires à son encontre après le rejet de cette loi par la Cour constitutionnelle. Outre cette affaire, il est également soupçonné d'abus de fonction dans l'affaire dite "Rubygate", impliquant une jeune fille, en intervenant pour la faire libérer en mai après son interpellation pour un vol présumé.