Aujourd'hui encore, et dans les quelques jours à venir aussi, le mouvement associatif de l'ouest du pays continue la fête de célébration du Mawlid ennabaoui echarif et ce, en organisant de nombreuses activités culturelles, religieuses et éducatives, sur fond de la manifestation internationale "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011" dont le coup d'envoi a été donné avant-hier. Aujourd'hui encore, et dans les quelques jours à venir aussi, le mouvement associatif de l'ouest du pays continue la fête de célébration du Mawlid ennabaoui echarif et ce, en organisant de nombreuses activités culturelles, religieuses et éducatives, sur fond de la manifestation internationale "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011" dont le coup d'envoi a été donné avant-hier. Dans la wilaya de Mascara, "l'association Cheikh El Allawi de l'éducation et de la culture soufie" de la ville de Tighennif célèbre cette fête par l'organisation de manifestations culturelles et religieuses visant notamment à faire connaître le rôle éducatif de la Tariqa Soufie. La commune de Ain Chorfa s'apprête à célébrer cette fête comme il se doit, après avoir enregistré un retour massif de ses habitants qui l'ont quittée depuis plusieurs années. Cette fête est marquée par la récitation du Saint Coran et la sortie des habitants, la veille de cette fête après la prière de Icha, sillonnant les rues et entonnant des madihs. D'autre part, 70 récitants du Coran sur 120 concurrents ont été honorés dans la mosquée "Mustapha Ben Touhami", connue sous le nom de la grande mosquée sise au centre-ville de Mascara. Cette cérémonie a été marquée par une remise de cadeaux (sommes d'argent et livres), a souligné le directeur des affaires religieuses et des wakfs. En outre, les zaouias allawia, Habibia, Sidi Bousekrine et Hebbala abritent plusieurs activités religieuses et culturelles qui ont débuté depuis le 4 février dernier et s'étaleront jusqu'aux jours à venir. Dans la wilaya de Mostaganem, la célébration du mawlid est marquée par la tradition "Tbouchir" privilégiée par les habitants locaux pour fêter la naissance du Prophète (QSSSL). Cheikh Senoussi, résidant de la commune de Bouguirat a expliqué que la célébration "Tbouchir" est la tradition préférée chez les habitants du plateau de Mostaganem, perpétuée de génération en génération. Les wilayas d'Oran, Tiaret, Relizane, Ain Temouchent, Tissemsilt et Saida ont connu, elles aussi, la même ambiance de liesse et de recueillement. Dans la wilaya de Mascara, "l'association Cheikh El Allawi de l'éducation et de la culture soufie" de la ville de Tighennif célèbre cette fête par l'organisation de manifestations culturelles et religieuses visant notamment à faire connaître le rôle éducatif de la Tariqa Soufie. La commune de Ain Chorfa s'apprête à célébrer cette fête comme il se doit, après avoir enregistré un retour massif de ses habitants qui l'ont quittée depuis plusieurs années. Cette fête est marquée par la récitation du Saint Coran et la sortie des habitants, la veille de cette fête après la prière de Icha, sillonnant les rues et entonnant des madihs. D'autre part, 70 récitants du Coran sur 120 concurrents ont été honorés dans la mosquée "Mustapha Ben Touhami", connue sous le nom de la grande mosquée sise au centre-ville de Mascara. Cette cérémonie a été marquée par une remise de cadeaux (sommes d'argent et livres), a souligné le directeur des affaires religieuses et des wakfs. En outre, les zaouias allawia, Habibia, Sidi Bousekrine et Hebbala abritent plusieurs activités religieuses et culturelles qui ont débuté depuis le 4 février dernier et s'étaleront jusqu'aux jours à venir. Dans la wilaya de Mostaganem, la célébration du mawlid est marquée par la tradition "Tbouchir" privilégiée par les habitants locaux pour fêter la naissance du Prophète (QSSSL). Cheikh Senoussi, résidant de la commune de Bouguirat a expliqué que la célébration "Tbouchir" est la tradition préférée chez les habitants du plateau de Mostaganem, perpétuée de génération en génération. Les wilayas d'Oran, Tiaret, Relizane, Ain Temouchent, Tissemsilt et Saida ont connu, elles aussi, la même ambiance de liesse et de recueillement.