Les vingt-cinq travailleurs de l'entreprsie Socothyd, spécialisée dans la fabrication du coton hydrophile, dans la commune des Issers, à 23 km à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ne décolèrent toujours pas. Après avoir observé des sit-in et rassemblements devant le siège de la wilaya et devant le siège de la direction à Issers, la semaine écoulée, les travailleurs ont érigé et ce, depuis mercredi dernier, une tente devant la direction de Socothyd, pour réclamer leur réintégration dans leurs postes d'emploi. Ils ont été licenciés au lendemain d'une grève illimitée enclenchée par les travailleurs en 2006. Selon les protestataires, le mouvement de grève d'alors avait été lancé suite à une exigence faite par les travailleurs concernant la constitution d'une commission d'enquête sur la gestion de l'entreprise ainsi que les conflits qui rongeaient la section syndicale en 2005. Une délégation avait été reçue récemment par les responsables de l'entreprise qui lui ont assuré d'étudier leur revendication et ce, après la tenue d'une réunion du conseil de l'administration aujourd'hui dimanche. Les travailleurs, de leur côté, ont lancé un ultimatum pour demain aux responsables de l'entreprise de trouver une issue favorable. « nous allons poursuivre notre action jusqu'à satisfaction de nos revendication et s'il est nécessaire de passer à d'autres formes d'actions, nous le ferons », nous dira un des travailleurs licenciés. T.O. Les vingt-cinq travailleurs de l'entreprsie Socothyd, spécialisée dans la fabrication du coton hydrophile, dans la commune des Issers, à 23 km à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ne décolèrent toujours pas. Après avoir observé des sit-in et rassemblements devant le siège de la wilaya et devant le siège de la direction à Issers, la semaine écoulée, les travailleurs ont érigé et ce, depuis mercredi dernier, une tente devant la direction de Socothyd, pour réclamer leur réintégration dans leurs postes d'emploi. Ils ont été licenciés au lendemain d'une grève illimitée enclenchée par les travailleurs en 2006. Selon les protestataires, le mouvement de grève d'alors avait été lancé suite à une exigence faite par les travailleurs concernant la constitution d'une commission d'enquête sur la gestion de l'entreprise ainsi que les conflits qui rongeaient la section syndicale en 2005. Une délégation avait été reçue récemment par les responsables de l'entreprise qui lui ont assuré d'étudier leur revendication et ce, après la tenue d'une réunion du conseil de l'administration aujourd'hui dimanche. Les travailleurs, de leur côté, ont lancé un ultimatum pour demain aux responsables de l'entreprise de trouver une issue favorable. « nous allons poursuivre notre action jusqu'à satisfaction de nos revendication et s'il est nécessaire de passer à d'autres formes d'actions, nous le ferons », nous dira un des travailleurs licenciés. T.O.