Plusieurs centaines d'habitants venus des quatre coins de la commune de Chabet El Ameur, à 35 km au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont organisé, dans la matinée d'hier, un sit-in devant le siège de l'APC pour réclamer le départ du P/APC ainsi que de l'assemblée. Les manifestants ont scandé des slogans hostiles à l'actuel maire qu'ils accusent d'être à l'origine du marasme dans lequel leur localité est plongée depuis plusieurs années. Ils ont brandi des banderoles sur lesquelles on peut lire : « la commune est sinistrée où sont les promesses », « la population réclament le départ du maire ». Parallèlement à cette action, une grève générale a été entamée par tous les commerçants de la ville qui ont baissé rideau dès les premières heures de la matinée. Les initiateurs de cette journée de protestation, qui ont insisté sur la poursuite de la protesta, ont qualifié la journée d'hier de « la journée du départ ». Les protestataires réclament entre autres l'amélioration du cadre de vie en général et la mise sur rails des roues du développement. « Notre commune est la dernière en matière de développement », nous dira un protestataire avant d'ajouter que « nous pataugeons dans des problèmes insurmontables depuis plus de cinq ans et le staff communal actuel n'a rien fait pour changer un tant soit peu la situation. Au contraire, depuis son installation à la tête de l'APC, notre commune est devenue sinistrée ». Et un autre d'ajouter qu'« ils sont (les responsables de l'APC) défaillants qu'ils démissionnent et laissent la place aux autres qui sont capables de sortir notre commune de torpeur et le sous développement ». Le chef-lieu communal offre une image des plus désolante. L'aménagement urbain est souffrant, les trottoirs sont quasiment squattés, l'éclairage public est défaillant et les habitants pataugent dans la gadoue particulièrement en ces moments pluvieux. Les axes routiers reliant les villages au chef-lieu sont quasiment dégradés à l'instar de l'axe menant au village Ait Saïd. Les protestataires, particulièrement ceux habitant les zones rurales, disent que leur localité souffre depuis plusieurs années du manque d'eau potable. Ce qui fait que le stress hydrique est loin d'être contenu et que les habitants vivront encore le scénario de la pénurie d'eau. T. O. Plusieurs centaines d'habitants venus des quatre coins de la commune de Chabet El Ameur, à 35 km au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont organisé, dans la matinée d'hier, un sit-in devant le siège de l'APC pour réclamer le départ du P/APC ainsi que de l'assemblée. Les manifestants ont scandé des slogans hostiles à l'actuel maire qu'ils accusent d'être à l'origine du marasme dans lequel leur localité est plongée depuis plusieurs années. Ils ont brandi des banderoles sur lesquelles on peut lire : « la commune est sinistrée où sont les promesses », « la population réclament le départ du maire ». Parallèlement à cette action, une grève générale a été entamée par tous les commerçants de la ville qui ont baissé rideau dès les premières heures de la matinée. Les initiateurs de cette journée de protestation, qui ont insisté sur la poursuite de la protesta, ont qualifié la journée d'hier de « la journée du départ ». Les protestataires réclament entre autres l'amélioration du cadre de vie en général et la mise sur rails des roues du développement. « Notre commune est la dernière en matière de développement », nous dira un protestataire avant d'ajouter que « nous pataugeons dans des problèmes insurmontables depuis plus de cinq ans et le staff communal actuel n'a rien fait pour changer un tant soit peu la situation. Au contraire, depuis son installation à la tête de l'APC, notre commune est devenue sinistrée ». Et un autre d'ajouter qu'« ils sont (les responsables de l'APC) défaillants qu'ils démissionnent et laissent la place aux autres qui sont capables de sortir notre commune de torpeur et le sous développement ». Le chef-lieu communal offre une image des plus désolante. L'aménagement urbain est souffrant, les trottoirs sont quasiment squattés, l'éclairage public est défaillant et les habitants pataugent dans la gadoue particulièrement en ces moments pluvieux. Les axes routiers reliant les villages au chef-lieu sont quasiment dégradés à l'instar de l'axe menant au village Ait Saïd. Les protestataires, particulièrement ceux habitant les zones rurales, disent que leur localité souffre depuis plusieurs années du manque d'eau potable. Ce qui fait que le stress hydrique est loin d'être contenu et que les habitants vivront encore le scénario de la pénurie d'eau. T. O.