De nouvelles mesures concernant l'exportation de la pomme de terre de consommation ont été édictées par la direction de la protection des végétaux et des contrôles techniques du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, selon l'Algex. Celles-ci visent le respect des normes phytosanitaires par les exportateurs ainsi qu'à sécuriser les expéditions en direction des marchés étrangers. Toute exportation de pomme de terre de consommation est désormais soumise à une demande d'exportation auprès de la Direction des services agricoles (DSA) ainsi qu'à divers contrôles spécifiques donnant lieu, notamment, à l'établissement du certificat phytosanitaire par l'autorité compétente. Rappelons que le ministre de l'Agriculture, Rachid Benaîssa, et Jan Gijs Schouten, ambassadeur du Royaume des Pays-Bas à Alger ont eu, récemment, des entretiens et des pourparlers, dans le but essentiel « d'intensifier et renforcer la coopération et le partenariat dans le domaine de l'agriculture afin de développer une collaboration qualitative entre les deux pays ». L'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur souligne également « qu'après l'orge et eu égard au seuil d'autosuffisance dépassé dans certaines zones du pays, l'Algérie, à travers la Société de gestion des participations des productions animales (SGP PRODA) se fait fort d'exporter de la pomme de terre ». Aussi, « une exportation de 56 tonnes de pomme de terre hors saison produites à Ourmes dans la wilaya d'El Oued à destination de la Russie serait d'ailleurs en cours», selon Ouacif Alouane chef de service de la production et du soutien technique à la DSA d'El Oued. Ce responsable affirme qu'«en termes de calibre et de qualité nutritive, la pomme de terre produite à El Oued répond aux normes exigées par le marché international et européen en particulier ». Avec le respect des contrats de performance et des hauts rendements à l'hectare, l'Algérie pourrait exporter de grandes quantités de pomme de terre vers les marchés africain et méditerranéen. A. A. De nouvelles mesures concernant l'exportation de la pomme de terre de consommation ont été édictées par la direction de la protection des végétaux et des contrôles techniques du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, selon l'Algex. Celles-ci visent le respect des normes phytosanitaires par les exportateurs ainsi qu'à sécuriser les expéditions en direction des marchés étrangers. Toute exportation de pomme de terre de consommation est désormais soumise à une demande d'exportation auprès de la Direction des services agricoles (DSA) ainsi qu'à divers contrôles spécifiques donnant lieu, notamment, à l'établissement du certificat phytosanitaire par l'autorité compétente. Rappelons que le ministre de l'Agriculture, Rachid Benaîssa, et Jan Gijs Schouten, ambassadeur du Royaume des Pays-Bas à Alger ont eu, récemment, des entretiens et des pourparlers, dans le but essentiel « d'intensifier et renforcer la coopération et le partenariat dans le domaine de l'agriculture afin de développer une collaboration qualitative entre les deux pays ». L'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur souligne également « qu'après l'orge et eu égard au seuil d'autosuffisance dépassé dans certaines zones du pays, l'Algérie, à travers la Société de gestion des participations des productions animales (SGP PRODA) se fait fort d'exporter de la pomme de terre ». Aussi, « une exportation de 56 tonnes de pomme de terre hors saison produites à Ourmes dans la wilaya d'El Oued à destination de la Russie serait d'ailleurs en cours», selon Ouacif Alouane chef de service de la production et du soutien technique à la DSA d'El Oued. Ce responsable affirme qu'«en termes de calibre et de qualité nutritive, la pomme de terre produite à El Oued répond aux normes exigées par le marché international et européen en particulier ». Avec le respect des contrats de performance et des hauts rendements à l'hectare, l'Algérie pourrait exporter de grandes quantités de pomme de terre vers les marchés africain et méditerranéen. A. A.