Pour que la pomme de terre algérienne soit commercialisable sur le marché extérieur, notamment européen, elle doit obéir à des normes, selon le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, qui précise que «l'exportation de la pomme de terre est possible à condition d'améliorer les conditions d'ensachage et de calibrage (triage et étalonnage) car les normes et standards internationaux exigent la qualité du produit et la conformité avec les conditions édictées par le marché européen». Il s'agit, bien entendu, explique, le ministre, de placer sur le marché international des quantités de pomme de terre dégagées comme excédent de la récolte nationale, sans toutefois causer des tensions ou des perturbations sur le marché domestique et local. Mais, d'ores et déjà, avec les pluies précoces de l'automne et le début de la campagne labours- semailles qui sera lancé officiellement jeudi prochain à Sétif, on peut s'attendre à de bons rendements à l'hectare concernant la production de ce tubercule très consommé en Europe. Le ministre a mis l'accent sur la production et la productivité de la pomme de terre afin d'assurer la sécurité alimentaire et, le cas échéant, exporter des quantités appréciables. Néanmoins ce qui est certain, c'est que l'Algérie a l'intention de vendre sa pomme de terre sur le marché de l'Union européenne où elle est prisée, tant la qualité des produits agricoles algérien (primeurs et agrumes) est très sollicitée par les consommateurs du Vieux Continent. Des statistiques montrent que l'évolution des exportations de la pomme de terre algérienne reste tributaire du cahier des charges et des impératifs de qualité et d'emballages exigés par la communauté européenne, sachant que l'Algérie a placé sur le marché européen près de 2.600 tonnes de pommes de terre en 2004 contre 10 mille tonnes en 2003. Toutefois, avec une politique de bon rendement et une mécanisation moderne de l'agriculture, le pays est en mesure d'exporter plus de 20 mille tonnes de ce produit. Pour que la pomme de terre algérienne soit commercialisable sur le marché extérieur, notamment européen, elle doit obéir à des normes, selon le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, qui précise que «l'exportation de la pomme de terre est possible à condition d'améliorer les conditions d'ensachage et de calibrage (triage et étalonnage) car les normes et standards internationaux exigent la qualité du produit et la conformité avec les conditions édictées par le marché européen». Il s'agit, bien entendu, explique, le ministre, de placer sur le marché international des quantités de pomme de terre dégagées comme excédent de la récolte nationale, sans toutefois causer des tensions ou des perturbations sur le marché domestique et local. Mais, d'ores et déjà, avec les pluies précoces de l'automne et le début de la campagne labours- semailles qui sera lancé officiellement jeudi prochain à Sétif, on peut s'attendre à de bons rendements à l'hectare concernant la production de ce tubercule très consommé en Europe. Le ministre a mis l'accent sur la production et la productivité de la pomme de terre afin d'assurer la sécurité alimentaire et, le cas échéant, exporter des quantités appréciables. Néanmoins ce qui est certain, c'est que l'Algérie a l'intention de vendre sa pomme de terre sur le marché de l'Union européenne où elle est prisée, tant la qualité des produits agricoles algérien (primeurs et agrumes) est très sollicitée par les consommateurs du Vieux Continent. Des statistiques montrent que l'évolution des exportations de la pomme de terre algérienne reste tributaire du cahier des charges et des impératifs de qualité et d'emballages exigés par la communauté européenne, sachant que l'Algérie a placé sur le marché européen près de 2.600 tonnes de pommes de terre en 2004 contre 10 mille tonnes en 2003. Toutefois, avec une politique de bon rendement et une mécanisation moderne de l'agriculture, le pays est en mesure d'exporter plus de 20 mille tonnes de ce produit.