Le Front des forces socialistes a finalement fixé la date de son meeting populaire pour le 4 mars prochain à la salle Atlas à Bab El-Oued dans la capitale. Le vieux parti de l'opposition a opté pour les rassemblements au lendemain de son démarquage de l'initiative de marcher chaque samedi à Alger tel que décidé par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD). Cette dernière étant scindée en deux fractions, le FFS a bondi sur l'occasion dans l'espoir de drainer un maximum de sympathisants à ce rassemblement. L'heure est aux dernières retouches, indique-t-on d'une source proche du parti. En effet, le FFS a entamé une série de réunions des bureaux communaux et des Fédérations dans le cadre des préparatifs au rendez-vous de vendredi prochain, qui se veut une grande manifestation qui marquera le grand retour de la formation de Hocine Aït Ahmed sur les devants de la scène politique nationale. Bien entendu, ce rassemblement populaire est également un baromètre susceptible de jauger le degré de mobilisation du plus vieux parti de l'opposition, en perspective des prochaines échéances électorales, les municipales et les législatives de 2012 en l'occurrence. Un rassemblement qui intervient, signalons-le, dans un contexte assez particulier, marqué par une course effrénée des partis de l'opposition pour se repositionner dans un terrain duquel ils se sont éloignés il y a plusieurs années. Le FFS entamera également une série de rassemblements régionaux avant la tenue d'une conférence nationale au courant de cette année, dont la date n'a pas encore été fixée. Les révoltes des populations des pays arabes et la situation en Algérie à la lumière de ces événements seront au menu du rassemblement populaire du FFS. Il s'agit aussi de sensibiliser les militants et sympathisants du parti sur l'attitude à entreprendre face aux développements de la situation politique et sociale en Algérie, notamment les mesures d'apaisement données par les pouvoirs publics, plus précisément la levée de l'état d'urgence. M. C. Le Front des forces socialistes a finalement fixé la date de son meeting populaire pour le 4 mars prochain à la salle Atlas à Bab El-Oued dans la capitale. Le vieux parti de l'opposition a opté pour les rassemblements au lendemain de son démarquage de l'initiative de marcher chaque samedi à Alger tel que décidé par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD). Cette dernière étant scindée en deux fractions, le FFS a bondi sur l'occasion dans l'espoir de drainer un maximum de sympathisants à ce rassemblement. L'heure est aux dernières retouches, indique-t-on d'une source proche du parti. En effet, le FFS a entamé une série de réunions des bureaux communaux et des Fédérations dans le cadre des préparatifs au rendez-vous de vendredi prochain, qui se veut une grande manifestation qui marquera le grand retour de la formation de Hocine Aït Ahmed sur les devants de la scène politique nationale. Bien entendu, ce rassemblement populaire est également un baromètre susceptible de jauger le degré de mobilisation du plus vieux parti de l'opposition, en perspective des prochaines échéances électorales, les municipales et les législatives de 2012 en l'occurrence. Un rassemblement qui intervient, signalons-le, dans un contexte assez particulier, marqué par une course effrénée des partis de l'opposition pour se repositionner dans un terrain duquel ils se sont éloignés il y a plusieurs années. Le FFS entamera également une série de rassemblements régionaux avant la tenue d'une conférence nationale au courant de cette année, dont la date n'a pas encore été fixée. Les révoltes des populations des pays arabes et la situation en Algérie à la lumière de ces événements seront au menu du rassemblement populaire du FFS. Il s'agit aussi de sensibiliser les militants et sympathisants du parti sur l'attitude à entreprendre face aux développements de la situation politique et sociale en Algérie, notamment les mesures d'apaisement données par les pouvoirs publics, plus précisément la levée de l'état d'urgence. M. C.