Le groupe de contact bilatéral de coopération algéro-américain dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité connexes tiendra aujourd'hui sa première réunion à Alger. Ce mécanisme, à caractère informel, a été mis en place pour structurer le dialogue et la concertation entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique sur l'ensemble des questions liées à la lutte contre le terrorisme transnational et, également, pour «dégager des modalités en vue d'approfondir la coopération bilatérale dans ses dimensions multiples qu'elles soient politique, diplomatique, judiciaire, financière, opérationnelle et d'assistance technique», précise-t-on de sources proches de ce groupe de contact biatéral. Lors de cette première réunion, qui prendra fin demain, les deux parties doivent procéder, notamment, à une évaluation et à un échange d'analyses et d'informations sur l'évolution de la lutte antiterroriste dans les deux pays et sa projection sur leur environnement régional et international. Elles auront, également, l'opportunité de développer certaines questions débattues au sein des instances des Nations unies dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie mondiale de l'Onu de lutte contre le terrorisme. Kamel Rezag Bara, conseiller auprès du président de la République, et l'ambassadeur américain, Daniel Benjamin, coordonnateur pour le contre-terrorisme au département d'Etat des Etats-Unis d'Amérique, coprésideront les travaux de la rencontre qui sera sanctionnée par la signature d'un procès-verbal, selon le groupe de contact. La coopération algéro-américaine dans le domaine de la lutte antiterroriste ne date pas d'hier, puisque les deux pays se concertent de façon permanente, par un échange d'informations et d'expériences en la matière. D'ailleurs, la longue expérience de l'Algérie dans la lutte contre ce phénomène transnational est fortement sollicitée par les Etats-Unis. La coordinatrice adjointe des programmes au Bureau américain de la coordination de la lutte contre le terrorisme (structure dépendant du Département d'Etat), Mme Gina Abercrombie-Winstanley, l'avait réitéré il y a quelques jours, lors d'une conférence de presse animée au siège de l'ambassade des Etats-Unis à Alger, en soutenant que l'Algérie et les Etats-Unis ont dépassé, dans leurs échanges, le stade des discussions politiques et commencé à aborder le volet opérationnel de leur coopération sécuritaire. Cependant, un élément nouveau vient s'ajouter à la donne, c'est la poursuite des efforts dans le cadre de la lutte antiterroriste après la levée de l'Etat d'urgence en Algérie. M. C. Le groupe de contact bilatéral de coopération algéro-américain dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité connexes tiendra aujourd'hui sa première réunion à Alger. Ce mécanisme, à caractère informel, a été mis en place pour structurer le dialogue et la concertation entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique sur l'ensemble des questions liées à la lutte contre le terrorisme transnational et, également, pour «dégager des modalités en vue d'approfondir la coopération bilatérale dans ses dimensions multiples qu'elles soient politique, diplomatique, judiciaire, financière, opérationnelle et d'assistance technique», précise-t-on de sources proches de ce groupe de contact biatéral. Lors de cette première réunion, qui prendra fin demain, les deux parties doivent procéder, notamment, à une évaluation et à un échange d'analyses et d'informations sur l'évolution de la lutte antiterroriste dans les deux pays et sa projection sur leur environnement régional et international. Elles auront, également, l'opportunité de développer certaines questions débattues au sein des instances des Nations unies dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie mondiale de l'Onu de lutte contre le terrorisme. Kamel Rezag Bara, conseiller auprès du président de la République, et l'ambassadeur américain, Daniel Benjamin, coordonnateur pour le contre-terrorisme au département d'Etat des Etats-Unis d'Amérique, coprésideront les travaux de la rencontre qui sera sanctionnée par la signature d'un procès-verbal, selon le groupe de contact. La coopération algéro-américaine dans le domaine de la lutte antiterroriste ne date pas d'hier, puisque les deux pays se concertent de façon permanente, par un échange d'informations et d'expériences en la matière. D'ailleurs, la longue expérience de l'Algérie dans la lutte contre ce phénomène transnational est fortement sollicitée par les Etats-Unis. La coordinatrice adjointe des programmes au Bureau américain de la coordination de la lutte contre le terrorisme (structure dépendant du Département d'Etat), Mme Gina Abercrombie-Winstanley, l'avait réitéré il y a quelques jours, lors d'une conférence de presse animée au siège de l'ambassade des Etats-Unis à Alger, en soutenant que l'Algérie et les Etats-Unis ont dépassé, dans leurs échanges, le stade des discussions politiques et commencé à aborder le volet opérationnel de leur coopération sécuritaire. Cependant, un élément nouveau vient s'ajouter à la donne, c'est la poursuite des efforts dans le cadre de la lutte antiterroriste après la levée de l'Etat d'urgence en Algérie. M. C.