Le Département d'Etat américain a relevé, jeudi, que le gouvernement algérien engageait de "gros efforts" dans sa lutte contre la drogue, avec notamment une stratégie quinquennale allant jusqu'à 2015 pour traiter ce fléau. Dans son rapport 2010 sur la Stratégie internationale de contrôle des stupéfiants (INCSR), publié jeudi, le Département d'Etat a examiné les politiques nationales antidrogue de près de 200 pays. A ce propos, le Département d'Etat note que le gouvernement algérien "œuvre activement à résoudre le problème de la drogue avec l'augmentation des ressources consacrées à l'éducation, l'interdiction et le traitement, et ce, en plus des efforts de ses forces de sécurité principalement axés sur la lutte contre le terrorisme". Le rapport indique également que "l'Algérie est essentiellement un pays de transit pour les drogues illicites à destination de l'Europe. Le gros de la drogue transitant par l'Algérie se compose de cannabis d'origine marocaine (en particulier le cannabis et résine de haschisch) et une quantité croissante de cocaïne sud-américaine et de l'héroïne". "Le gouvernement algérien développe de plus en plus les moyens et les équipements pour le traitement de la toxicomanie et envisage d'installer cette année des structures de traitement ambulatoires de toxicomanes à travers plusieurs régions du pays", ajoute-t-il. APS Le Département d'Etat américain a relevé, jeudi, que le gouvernement algérien engageait de "gros efforts" dans sa lutte contre la drogue, avec notamment une stratégie quinquennale allant jusqu'à 2015 pour traiter ce fléau. Dans son rapport 2010 sur la Stratégie internationale de contrôle des stupéfiants (INCSR), publié jeudi, le Département d'Etat a examiné les politiques nationales antidrogue de près de 200 pays. A ce propos, le Département d'Etat note que le gouvernement algérien "œuvre activement à résoudre le problème de la drogue avec l'augmentation des ressources consacrées à l'éducation, l'interdiction et le traitement, et ce, en plus des efforts de ses forces de sécurité principalement axés sur la lutte contre le terrorisme". Le rapport indique également que "l'Algérie est essentiellement un pays de transit pour les drogues illicites à destination de l'Europe. Le gros de la drogue transitant par l'Algérie se compose de cannabis d'origine marocaine (en particulier le cannabis et résine de haschisch) et une quantité croissante de cocaïne sud-américaine et de l'héroïne". "Le gouvernement algérien développe de plus en plus les moyens et les équipements pour le traitement de la toxicomanie et envisage d'installer cette année des structures de traitement ambulatoires de toxicomanes à travers plusieurs régions du pays", ajoute-t-il. APS