La salle phare de Bab El-Oued dans la capitale a été prise d'assaut, de quoi donner de folles ambitions au plus vieux parti de l'opposition. Une démonstration de force qui se veut également une réponse sans équivoque aux partisans des marches du samedi encadrés par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie. La salle phare de Bab El-Oued dans la capitale a été prise d'assaut, de quoi donner de folles ambitions au plus vieux parti de l'opposition. Une démonstration de force qui se veut également une réponse sans équivoque aux partisans des marches du samedi encadrés par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie. La salle Atlas a vibré hier au rythme des slogans d'antan chers au Front des forces socialistes (FFS). Elle s'est même avérée trop exiguë pour contenir le nombre impressionnant de militants et de sympathisants venus en masse assister au meeting auquel avait appelé leur parti. En effet, la salle phare de Bab El-Oued dans la capitale a été prise d'assaut, de quoi donner de folles ambitions au plus vieux parti de l'opposition. Une démonstration de force qui se veut également une réponse sans équivoque aux partisans des marches du samedi encadrés par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie. N'empêche que Mustapha Bouchachi, l'un des animateurs importants de CNDC était présent aux côtés de Karim Tabbou, Premier secrétaire du FFS et autres militants de partis démocratiques et populaires venus de Tunisie et du Maroc. Pour l'ordre du jour de ce meeting, le premier depuis années de disette du parti de Hocine Ait Ahmed, les différents intervenants qui se sont succédé à la tribune ont appelé à un « changement pacifique » dans le pays, afin de réussir la transition vers la démocratie la vraie et la consécration des libertés individuelles et collectives. « Pour la liberté, la dignité, l'équité et la solidarité », « Pour un grand Maghreb démocratique », Pour une deuxième République », « Pour un pays libre, un Etat souverain et une société humaine », « Les Algériens et les Algériennes veulent un changement pacifique et radical », sont autant de slogans avec lesquels s'est ornée la salle Atlas à l'occasion du meeting populaire du FFS. Il convient de relever que les participants ont rendu un vibrant hommage aux peuples tunisien et libyen pour les sacrifices qu'ils ont consentis lors de leurs révoltes respectives pour le changement démocratique. Une minute de silence a été observée à la mémoire des victimes de Kadhafi et de Ben Ali et une gerbe de fleurs a été symboliquement déposée, après avoir écouté les hymnes nationaux algérien, tunisien et marocain. La rencontre a été rehaussée par la présence de cadres de partis démocratiques de Tunisie et du Maroc, qui ont tour à tour pris la parole pour exprimer leur « fierté » des luttes menées par ces peuples. Le pupitre de la salle Atlas a été également prêté à des étudiants, des militants de droits de l'homme, des représentants d'organisations diverses qui ont exposé leurs préoccupations, avant de céder en dernier la parole au Premier secrétaire du FFS pour présenter son speech. L'assistance a rétorqué par des applaudissements à répétition à chacune des interventions, et scandé des vieux slogans qui n'ont pas quitté pour le moins le plus vieux parti de l'opposition. Un vibrant hommage a été rendu au fondateur du parti, Hocine Ait Ahmed, par tout le monde. Le FFS devrait se frotter les mains à l'issue de cette démonstration réussie qui, outre la volonté de se replacer parmi des partis d'opposition qui occupent le terrain, dégage un parfum de précampagne. M. C. La salle Atlas a vibré hier au rythme des slogans d'antan chers au Front des forces socialistes (FFS). Elle s'est même avérée trop exiguë pour contenir le nombre impressionnant de militants et de sympathisants venus en masse assister au meeting auquel avait appelé leur parti. En effet, la salle phare de Bab El-Oued dans la capitale a été prise d'assaut, de quoi donner de folles ambitions au plus vieux parti de l'opposition. Une démonstration de force qui se veut également une réponse sans équivoque aux partisans des marches du samedi encadrés par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie. N'empêche que Mustapha Bouchachi, l'un des animateurs importants de CNDC était présent aux côtés de Karim Tabbou, Premier secrétaire du FFS et autres militants de partis démocratiques et populaires venus de Tunisie et du Maroc. Pour l'ordre du jour de ce meeting, le premier depuis années de disette du parti de Hocine Ait Ahmed, les différents intervenants qui se sont succédé à la tribune ont appelé à un « changement pacifique » dans le pays, afin de réussir la transition vers la démocratie la vraie et la consécration des libertés individuelles et collectives. « Pour la liberté, la dignité, l'équité et la solidarité », « Pour un grand Maghreb démocratique », Pour une deuxième République », « Pour un pays libre, un Etat souverain et une société humaine », « Les Algériens et les Algériennes veulent un changement pacifique et radical », sont autant de slogans avec lesquels s'est ornée la salle Atlas à l'occasion du meeting populaire du FFS. Il convient de relever que les participants ont rendu un vibrant hommage aux peuples tunisien et libyen pour les sacrifices qu'ils ont consentis lors de leurs révoltes respectives pour le changement démocratique. Une minute de silence a été observée à la mémoire des victimes de Kadhafi et de Ben Ali et une gerbe de fleurs a été symboliquement déposée, après avoir écouté les hymnes nationaux algérien, tunisien et marocain. La rencontre a été rehaussée par la présence de cadres de partis démocratiques de Tunisie et du Maroc, qui ont tour à tour pris la parole pour exprimer leur « fierté » des luttes menées par ces peuples. Le pupitre de la salle Atlas a été également prêté à des étudiants, des militants de droits de l'homme, des représentants d'organisations diverses qui ont exposé leurs préoccupations, avant de céder en dernier la parole au Premier secrétaire du FFS pour présenter son speech. L'assistance a rétorqué par des applaudissements à répétition à chacune des interventions, et scandé des vieux slogans qui n'ont pas quitté pour le moins le plus vieux parti de l'opposition. Un vibrant hommage a été rendu au fondateur du parti, Hocine Ait Ahmed, par tout le monde. Le FFS devrait se frotter les mains à l'issue de cette démonstration réussie qui, outre la volonté de se replacer parmi des partis d'opposition qui occupent le terrain, dégage un parfum de précampagne. M. C.